Le ministère délégué chargé de la Famille et de la condition féminine vient de lancer un plan national de l'enfance qui s'étalera sur 2008/ 2015. Le plan lancé par la ministre, Mme Nouara Saadia Djaafar a été réalisé en collaboration avec des représentants ministériels et des institutions nationales. Prenant en considération les nouvelles données de la société algérienne, l'application de ce plan, selon M. Boucherf. Kamel, sociologue et chercheur au CREAD, passera par plusieurs étapes tout au long de la durée de ce plan qui s'étale sur sept ans. Le plan devra prendre en compte le programme de travail dans le cadre du dispositif lancé par l'UNICEF. La création d'un observatoire national de l'enfance et d'une structure de coordination pour le suivi de l'enfant seront misent en œuvre durant ce plan. Le développement d'un système financier qui a pour visée prendre en charge cette tranche de la société est entre autres projets de ce plan. Le plan d'action devra aussi veiller sur application des droits de l'enfant en matière de santé, d'éducation, de loisirs et de protection contre toutes formes de violence. Selon notre interlocuteur M. Boucherf, former les parents ainsi que la société civile au respect de l'enfant en tant qu'individu à part entière, aux respects de ses droits élémentaires est l'idée fondamentale de ce plan. Par ailleurs, le sociologue appelle à l'intégration d'un module qui enseigne, à l'école, les droits de l'enfant, car selon ses dires, connaître ses droits permet de les exercer. Les associations des droits de l'enfant comptent beaucoup sur ce plan prometteur. Mme Si Amer présidente de l'association Sourire d'enfant estime que si ce plan d'action sera strictement appliqué, il opèrera un changement positif au sein de la société et diminuera le pourcentage de l'enfance exploitée. Le ministère délégué chargé de la Famille et de la condition féminine vient de lancer un plan national de l'enfance qui s'étalera sur 2008/ 2015. Le plan lancé par la ministre, Mme Nouara Saadia Djaafar a été réalisé en collaboration avec des représentants ministériels et des institutions nationales. Prenant en considération les nouvelles données de la société algérienne, l'application de ce plan, selon M. Boucherf. Kamel, sociologue et chercheur au CREAD, passera par plusieurs étapes tout au long de la durée de ce plan qui s'étale sur sept ans. Le plan devra prendre en compte le programme de travail dans le cadre du dispositif lancé par l'UNICEF. La création d'un observatoire national de l'enfance et d'une structure de coordination pour le suivi de l'enfant seront misent en œuvre durant ce plan. Le développement d'un système financier qui a pour visée prendre en charge cette tranche de la société est entre autres projets de ce plan. Le plan d'action devra aussi veiller sur application des droits de l'enfant en matière de santé, d'éducation, de loisirs et de protection contre toutes formes de violence. Selon notre interlocuteur M. Boucherf, former les parents ainsi que la société civile au respect de l'enfant en tant qu'individu à part entière, aux respects de ses droits élémentaires est l'idée fondamentale de ce plan. Par ailleurs, le sociologue appelle à l'intégration d'un module qui enseigne, à l'école, les droits de l'enfant, car selon ses dires, connaître ses droits permet de les exercer. Les associations des droits de l'enfant comptent beaucoup sur ce plan prometteur. Mme Si Amer présidente de l'association Sourire d'enfant estime que si ce plan d'action sera strictement appliqué, il opèrera un changement positif au sein de la société et diminuera le pourcentage de l'enfance exploitée.