Nouara Saadia Djaafar, ministre déléguée chargée de la Famille et de la Condition féminine a souligné la nécessité de coordonner les efforts entre les différentes institutions étatiques, la société civile, la famille et les enfants afin de protéger ces derniers contre les différentes formes de violence. Nouara Saadia Djaafar, ministre déléguée chargée de la Famille et de la Condition féminine a souligné la nécessité de coordonner les efforts entre les différentes institutions étatiques, la société civile, la famille et les enfants afin de protéger ces derniers contre les différentes formes de violence. Intervenant lors d'une rencontre organisée, hier à Alger, à l'occasion de la célébration du 21e anniversaire de la promulgation de la Convention internationale sur les droits de l'enfant, Nouara Saadia Djaafar, ministre déléguée chargée de la Famille et de la Condition féminine a souligné la nécessité de coordonner les efforts entre les différentes institutions étatiques, la société civile, la famille et les enfants afin de protéger ces derniers contre les différentes formes de violence. Pour cela, Mme Djaafar a, en outre, appelé à fournir à la société civile les moyens nécessaires. Lors de cette rencontre, organisée par la Fondation nationale pour la promotion de la santé et le développement de la recherche FOREM, la ministre a également appelé à la réhabilitation des « comités de quartier » et des cellules de proximité qui, faut-il le souligner, jouaient un rôle important dans la protection de l'enfance. Il y a lieu de noter que l'Algérie a promulgué différentes lois portant à la protection des enfants à l'image de celle condamnant les personnes poussant les enfants à la mendicité ainsi que celle criminalisant le travail des enfants. Sur ce dernier point, il est toutefois utile de rappeler que ce phénomène n'existe pas dans les entreprises publiques contrairement au marché parallèle. Par ailleurs, la responsable a déclaré qu'une charte pour la protection de l'enfance contre les effets négatifs des nouvelles technologies à l'instar de l'Internet, sera prochainement publiée. Cette charte, a-t-elle expliqué, est issue d'une convention signée entre son département et les ministères de la Justice, de la Solidarité nationale et de la Famille, et celui de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication. Mme Djaâfar a aussi annoncé la publication imminente d'un livret comprenant tous les volets législatifs, sociaux et préventifs consacrés par l'Algérie pour l'enfance. D'autre part, la ministre a déclaré qu'un plan de communication pour la promotion des droits de l'enfant de 2009 à 2011 a été mis en place, et ce, a-t-elle expliqué, afin de faire connaître davantage les droits de l'enfant et accompagner les familles et les professionnels, tels que les éducateurs et les journalistes, en matière de formation, de sensibilisation et de qualification. Mme Djaafar a également fait savoir que ce plan s'inscrit dans le cadre du renforcement de l'opération de sensibilisation qui englobe la publication d'un dossier de presse et l'organisation d'une expo photo itinérante sur les droits de l'enfant. De son côté, le président de la FOREM, Mustapha Khiati a salué les efforts consentis par l'Algérie pour la protection de l'enfance. Intervenant lors d'une rencontre organisée, hier à Alger, à l'occasion de la célébration du 21e anniversaire de la promulgation de la Convention internationale sur les droits de l'enfant, Nouara Saadia Djaafar, ministre déléguée chargée de la Famille et de la Condition féminine a souligné la nécessité de coordonner les efforts entre les différentes institutions étatiques, la société civile, la famille et les enfants afin de protéger ces derniers contre les différentes formes de violence. Pour cela, Mme Djaafar a, en outre, appelé à fournir à la société civile les moyens nécessaires. Lors de cette rencontre, organisée par la Fondation nationale pour la promotion de la santé et le développement de la recherche FOREM, la ministre a également appelé à la réhabilitation des « comités de quartier » et des cellules de proximité qui, faut-il le souligner, jouaient un rôle important dans la protection de l'enfance. Il y a lieu de noter que l'Algérie a promulgué différentes lois portant à la protection des enfants à l'image de celle condamnant les personnes poussant les enfants à la mendicité ainsi que celle criminalisant le travail des enfants. Sur ce dernier point, il est toutefois utile de rappeler que ce phénomène n'existe pas dans les entreprises publiques contrairement au marché parallèle. Par ailleurs, la responsable a déclaré qu'une charte pour la protection de l'enfance contre les effets négatifs des nouvelles technologies à l'instar de l'Internet, sera prochainement publiée. Cette charte, a-t-elle expliqué, est issue d'une convention signée entre son département et les ministères de la Justice, de la Solidarité nationale et de la Famille, et celui de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication. Mme Djaâfar a aussi annoncé la publication imminente d'un livret comprenant tous les volets législatifs, sociaux et préventifs consacrés par l'Algérie pour l'enfance. D'autre part, la ministre a déclaré qu'un plan de communication pour la promotion des droits de l'enfant de 2009 à 2011 a été mis en place, et ce, a-t-elle expliqué, afin de faire connaître davantage les droits de l'enfant et accompagner les familles et les professionnels, tels que les éducateurs et les journalistes, en matière de formation, de sensibilisation et de qualification. Mme Djaafar a également fait savoir que ce plan s'inscrit dans le cadre du renforcement de l'opération de sensibilisation qui englobe la publication d'un dossier de presse et l'organisation d'une expo photo itinérante sur les droits de l'enfant. De son côté, le président de la FOREM, Mustapha Khiati a salué les efforts consentis par l'Algérie pour la protection de l'enfance.