Le professeur Youcef Khoudja, spécialiste en urologie, s'exprimant en marge d'une rencontre médicale organisée dernièrement à Alger portant sur la fréquence du trouble de l'impuissance sexuelle chez les hommes en Algérie, a mis l'accent sur l'importance du diagnostic précoce de cette pathologie sexuelle souvent reliés aux maladies chroniques sévères comme le diabète et l'hypertension artérielle. Le professeur Youcef Khoudja, spécialiste en urologie, s'exprimant en marge d'une rencontre médicale organisée dernièrement à Alger portant sur la fréquence du trouble de l'impuissance sexuelle chez les hommes en Algérie, a mis l'accent sur l'importance du diagnostic précoce de cette pathologie sexuelle souvent reliés aux maladies chroniques sévères comme le diabète et l'hypertension artérielle. Deux millions et demi d'Algériens serait atteints d'impuissance sexuelle, indique le Dr Khodja. Un chiffre important qui serait imputable en premier lieu «au tabou qui entoure la sexualité des algériens, car de plus en plus de malades souffrants d'impuissance se refusent à reconnaître leur maladie aux premiers stades par honte, malgré la disponibilité de traitement efficace dans la prise en charge des troubles érectiles, ce qui complique leur état et rend leur accompagnement difficile», atteste-t-il. En effet, les chiffres annoncés par le ministère de la Santé, d la Population et de la Réforme hospitalière témoignent de la fréquence de ce trouble considéré par les spécialistes comme une manifestation symptomatique de certaines pathologies tel le diabète. En ce sens, près de 3 millions de personnes dont 75 % âgés de plus de 40 ans sont atteints de diabète, ce qui les expose automatiquement au risque de présenter des troubles érectiles plus ou moins sévères. Concernant, le diabète, ils seraient, selon l'association algérienne des diabétiques, près de 2,5 millions d'Algériens atteints dont 21 % sont insulinodépendants. Le ministère de la Santé indique, sur le même chapitre, que le diabète type 2 (non insulinodépendant) est fréquemment accompagné d'hypertension artérielle, ce qui complique la prise en charge, notamment quand le patient ignore tout de sa maladie. Quant à l'hypertension artérielle, l'une des causes principales de l'impuissance sexuelle, elle toucherait, selon une étude réalisée au CHU Mustapha Bacha par l'association algérienne des maladies artérielles près de 10 millions de diabétiques dont 52 % ignore jusqu'à leur atteinte. Le professeur Khoudja ajoute que la médecine algérienne dispose aujourd'hui de médicaments fort actifs comme le «Cialis» efficient pendant près de 36 heures. Ce traitement, poursuit Dr Khoudja, «en plus de son efficacité thérapeutique permet aussi de réduire les complications causés par d'anciens médicaments moins agissants.». «Il permet aussi de placer le patient à l'abri des pressions engendrées par le trouble érectile et ce grâce aux caractéristiques thérapeutiques du Cialis qui a prouvé son efficacité auprès des cas les plus sévères, notamment les diabétiques et ce, selon des études minutieuses effectués dans le domaine sur les malade», ajoute, par ailleurs, M. Khoudja. En vue de donner plus de précisions scientifiques sur le médicament, le professeur précise que «le Cialis appartient à la famille des médicaments nommée les inhibiteurs de la BDI.5 consommés par voie orale, qu'il est strictement interdit à toute personne souffrant de certaines maladies héréditaires comme la sensibilité au Galaktoz». Pour nombre de spécialistes, d'autres études ont prouvé la grande efficacité du Cialis auprès des diabétiques, des patients ayant subi une ablation de la prostate, ou chez les cardiaques manifestant des troubles érectiles, ce qui fait de lui un traitement incontournable de l'impuissance sexuelle. Deux millions et demi d'Algériens serait atteints d'impuissance sexuelle, indique le Dr Khodja. Un chiffre important qui serait imputable en premier lieu «au tabou qui entoure la sexualité des algériens, car de plus en plus de malades souffrants d'impuissance se refusent à reconnaître leur maladie aux premiers stades par honte, malgré la disponibilité de traitement efficace dans la prise en charge des troubles érectiles, ce qui complique leur état et rend leur accompagnement difficile», atteste-t-il. En effet, les chiffres annoncés par le ministère de la Santé, d la Population et de la Réforme hospitalière témoignent de la fréquence de ce trouble considéré par les spécialistes comme une manifestation symptomatique de certaines pathologies tel le diabète. En ce sens, près de 3 millions de personnes dont 75 % âgés de plus de 40 ans sont atteints de diabète, ce qui les expose automatiquement au risque de présenter des troubles érectiles plus ou moins sévères. Concernant, le diabète, ils seraient, selon l'association algérienne des diabétiques, près de 2,5 millions d'Algériens atteints dont 21 % sont insulinodépendants. Le ministère de la Santé indique, sur le même chapitre, que le diabète type 2 (non insulinodépendant) est fréquemment accompagné d'hypertension artérielle, ce qui complique la prise en charge, notamment quand le patient ignore tout de sa maladie. Quant à l'hypertension artérielle, l'une des causes principales de l'impuissance sexuelle, elle toucherait, selon une étude réalisée au CHU Mustapha Bacha par l'association algérienne des maladies artérielles près de 10 millions de diabétiques dont 52 % ignore jusqu'à leur atteinte. Le professeur Khoudja ajoute que la médecine algérienne dispose aujourd'hui de médicaments fort actifs comme le «Cialis» efficient pendant près de 36 heures. Ce traitement, poursuit Dr Khoudja, «en plus de son efficacité thérapeutique permet aussi de réduire les complications causés par d'anciens médicaments moins agissants.». «Il permet aussi de placer le patient à l'abri des pressions engendrées par le trouble érectile et ce grâce aux caractéristiques thérapeutiques du Cialis qui a prouvé son efficacité auprès des cas les plus sévères, notamment les diabétiques et ce, selon des études minutieuses effectués dans le domaine sur les malade», ajoute, par ailleurs, M. Khoudja. En vue de donner plus de précisions scientifiques sur le médicament, le professeur précise que «le Cialis appartient à la famille des médicaments nommée les inhibiteurs de la BDI.5 consommés par voie orale, qu'il est strictement interdit à toute personne souffrant de certaines maladies héréditaires comme la sensibilité au Galaktoz». Pour nombre de spécialistes, d'autres études ont prouvé la grande efficacité du Cialis auprès des diabétiques, des patients ayant subi une ablation de la prostate, ou chez les cardiaques manifestant des troubles érectiles, ce qui fait de lui un traitement incontournable de l'impuissance sexuelle.