Les exportations algériennes hors hydrocarbures pourront atteindre à moyen terme les 4 milliards de dollars «si toutes les potentialités des PME algériennes sont exploitées», a estimé hier, le directeur général de l'Agence nationale de promotion du commerce extérieur (Algex), en marge du lancement du programme algéro-français de renforcement des capacités exportatrices des PME algériennes. Il s'agit-là, d'un «objectif réaliste», a souligné Bennini, bien que l'année précédente, les exportations algériennes hors hydrocarbures n'ont atteint que 1,3 milliard de dollars. "Dans cette optique, le Conseil national consultatif de promotion des exportations devrait se réunir dans les semaines à venir, afin d'instaurer une coordination intersectorielle, susceptible de promouvoir les capacités exportatrices des entreprises performantes en la matière", a-t-il ajouté. Ledit conseil, créé en 2004, présidé par le Chef du gouvernement, s'est assigné comme mission de définir une politique nationale de diversification des exportations nationales, dominées par les produits pétroliers. Pour ce faire, le DG de l'ALGEX a expliqué que la priorité actuelle pour les exportateurs nationaux consiste à chercher les voies et moyens pour améliorer la productivité, la qualité et l'expertise des entreprises nationales, en vue de les rendre plus compétitives sur le marché international. Pour cela, les secteurs des produits alimentaires frais, des produits de pêche ainsi que les produits manufacturés doivent retenir tout l'intérêt des chefs d'entreprise, a préconisé Bennini. Pour exemple, le DG de l'ALGEX a estimé les capacités algériennes à l'exportation dans l'agriculture à 430 millions de dollars par an, alors que dans la réalité, elles ne dépassent pas les 30 millions de dollars. C'est dire la nécessité de redoubler d'efforts, afin de réaliser les meilleures performances possibles. D'où l'utilité du programme «Optimexport», que viennent de lancer le ministère algérien du Commerce et l'Agence française de développement, financé à hauteur 400.000 euros par la partie algérienne et 2,1 millions d'euros par de la partie algérienne. En effet, le programme «Challenge Optimexport» a été lancé hier à Alger, par un appel à candidatures en direction des entreprises activant dans les secteurs hors hydrocarbures pour la sélection du premier groupe pilote qui devrait être composé de près de 40 entreprises qui participeront à cette initiative. Les exportations algériennes hors hydrocarbures pourront atteindre à moyen terme les 4 milliards de dollars «si toutes les potentialités des PME algériennes sont exploitées», a estimé hier, le directeur général de l'Agence nationale de promotion du commerce extérieur (Algex), en marge du lancement du programme algéro-français de renforcement des capacités exportatrices des PME algériennes. Il s'agit-là, d'un «objectif réaliste», a souligné Bennini, bien que l'année précédente, les exportations algériennes hors hydrocarbures n'ont atteint que 1,3 milliard de dollars. "Dans cette optique, le Conseil national consultatif de promotion des exportations devrait se réunir dans les semaines à venir, afin d'instaurer une coordination intersectorielle, susceptible de promouvoir les capacités exportatrices des entreprises performantes en la matière", a-t-il ajouté. Ledit conseil, créé en 2004, présidé par le Chef du gouvernement, s'est assigné comme mission de définir une politique nationale de diversification des exportations nationales, dominées par les produits pétroliers. Pour ce faire, le DG de l'ALGEX a expliqué que la priorité actuelle pour les exportateurs nationaux consiste à chercher les voies et moyens pour améliorer la productivité, la qualité et l'expertise des entreprises nationales, en vue de les rendre plus compétitives sur le marché international. Pour cela, les secteurs des produits alimentaires frais, des produits de pêche ainsi que les produits manufacturés doivent retenir tout l'intérêt des chefs d'entreprise, a préconisé Bennini. Pour exemple, le DG de l'ALGEX a estimé les capacités algériennes à l'exportation dans l'agriculture à 430 millions de dollars par an, alors que dans la réalité, elles ne dépassent pas les 30 millions de dollars. C'est dire la nécessité de redoubler d'efforts, afin de réaliser les meilleures performances possibles. D'où l'utilité du programme «Optimexport», que viennent de lancer le ministère algérien du Commerce et l'Agence française de développement, financé à hauteur 400.000 euros par la partie algérienne et 2,1 millions d'euros par de la partie algérienne. En effet, le programme «Challenge Optimexport» a été lancé hier à Alger, par un appel à candidatures en direction des entreprises activant dans les secteurs hors hydrocarbures pour la sélection du premier groupe pilote qui devrait être composé de près de 40 entreprises qui participeront à cette initiative.