Pour répondre aux besoins des citoyens, le ministre de la Justice, garde des Sceaux vient de donner des «instructions fermes » à tous les responsables des cours et tribunaux ayant une relation directe avec le public, en vue de «faciliter » la tâche à l'ensemble des citoyens par le règlement rapide de leurs affaires et autres problèmes. Prévoyant, M. Belaïz table notamment sur la prochaine rentrée sociale, où la demande des citoyens devient croissante. C'est du moins ce qu'a indiqué Mme Bisker, chargée de l'information et de la communication au ministère de la Justice, hier à Alger, en marge des deux journées d'études, organisées par ledit département ministériel au profit des secrétaires généraux exerçant au niveau des 36 cours de justice. A titre illustratif, Mme Bisker dira qu'avec la généralisation du système informatique, «désormais, le citoyen algérien peut, (par exemple), obtenir son casier judicaire seulement en un petit quart d'heure», non sans dénonce, au passage l'attitude de certains citoyens traînant des réflexes «archaïques» qui croient encore aux « connaissances et aux pots-de-vin !». Appelant ainsi les citoyens à se comporter avec plus de civisme, d'autant que les tribunaux relèvent avant tout du service public. Pour sa part, Tighezza Nacereddine, DG des finances au ministère de la Justice, a fait remarquer « la nette amélioration dans la gestion administrative répondant aux besoins du fonctionnement du département, la bonne gestion des biens et transactions publiques et la maîtrise des dépenses ». Cette évaluation «positive » esquissée par notre interlocuteur résulte notamment du rôle « important » que jouent les 36 secrétaires généraux depuis leur installation, dans le cadre de la réforme de la justice, en 2001. Ainsi, la rencontre de ces derniers, qui se poursuit aujourd'hui, la première du genre, a pour objectif essentiel, selon M. Tighezza, de «mettre le point sur le fonctionnement, le management et la gestion des 36 secrétaires généraux, et leur mise à niveau». Rappelant dans ce sens, que les secrétaires généraux ont déjà bénéficié de cycles (4 phases), de formation organisés par le ministère de la Justice, en 2007 et au premier semestre 2008, le même responsable a indiqué que le programme de ces deux journées d'études comporte des thèmes relatifs à la décentralisation de la gestion des cycles de formation et de l'action des systèmes informatiques et des réseaux d'interconnexion entre les différentes juridictions. Ceci, enchaîne-t-il, dans le but de renforcer et de consolider le capital connaissance de cette catégorie de fonctionnaires du secteur de la justice et d'approfondir leurs compétences en matière de gestion administrative et financière des cours de justice. La rencontre évoquera également les moyens de contrôle assuré par la Cour des comptes, l'action et l'organisation du secrétariat général de la Cour de justice, le rôle du secrétaire général dans la gestion des ressources humaines et l'organisation des épreuves professionnelles. Par ailleurs, Tighezza Nacereddine a laissé entendre que quelque « 72 projets, entre cours et tribunaux seront livrés d'ici 2009 », avant de rappeler l'existence déjà de 193 tribunaux et 36 cours, dont le nombre de fonctionnaires, les magistrats non compris, dépasse les 14.000. Pour répondre aux besoins des citoyens, le ministre de la Justice, garde des Sceaux vient de donner des «instructions fermes » à tous les responsables des cours et tribunaux ayant une relation directe avec le public, en vue de «faciliter » la tâche à l'ensemble des citoyens par le règlement rapide de leurs affaires et autres problèmes. Prévoyant, M. Belaïz table notamment sur la prochaine rentrée sociale, où la demande des citoyens devient croissante. C'est du moins ce qu'a indiqué Mme Bisker, chargée de l'information et de la communication au ministère de la Justice, hier à Alger, en marge des deux journées d'études, organisées par ledit département ministériel au profit des secrétaires généraux exerçant au niveau des 36 cours de justice. A titre illustratif, Mme Bisker dira qu'avec la généralisation du système informatique, «désormais, le citoyen algérien peut, (par exemple), obtenir son casier judicaire seulement en un petit quart d'heure», non sans dénonce, au passage l'attitude de certains citoyens traînant des réflexes «archaïques» qui croient encore aux « connaissances et aux pots-de-vin !». Appelant ainsi les citoyens à se comporter avec plus de civisme, d'autant que les tribunaux relèvent avant tout du service public. Pour sa part, Tighezza Nacereddine, DG des finances au ministère de la Justice, a fait remarquer « la nette amélioration dans la gestion administrative répondant aux besoins du fonctionnement du département, la bonne gestion des biens et transactions publiques et la maîtrise des dépenses ». Cette évaluation «positive » esquissée par notre interlocuteur résulte notamment du rôle « important » que jouent les 36 secrétaires généraux depuis leur installation, dans le cadre de la réforme de la justice, en 2001. Ainsi, la rencontre de ces derniers, qui se poursuit aujourd'hui, la première du genre, a pour objectif essentiel, selon M. Tighezza, de «mettre le point sur le fonctionnement, le management et la gestion des 36 secrétaires généraux, et leur mise à niveau». Rappelant dans ce sens, que les secrétaires généraux ont déjà bénéficié de cycles (4 phases), de formation organisés par le ministère de la Justice, en 2007 et au premier semestre 2008, le même responsable a indiqué que le programme de ces deux journées d'études comporte des thèmes relatifs à la décentralisation de la gestion des cycles de formation et de l'action des systèmes informatiques et des réseaux d'interconnexion entre les différentes juridictions. Ceci, enchaîne-t-il, dans le but de renforcer et de consolider le capital connaissance de cette catégorie de fonctionnaires du secteur de la justice et d'approfondir leurs compétences en matière de gestion administrative et financière des cours de justice. La rencontre évoquera également les moyens de contrôle assuré par la Cour des comptes, l'action et l'organisation du secrétariat général de la Cour de justice, le rôle du secrétaire général dans la gestion des ressources humaines et l'organisation des épreuves professionnelles. Par ailleurs, Tighezza Nacereddine a laissé entendre que quelque « 72 projets, entre cours et tribunaux seront livrés d'ici 2009 », avant de rappeler l'existence déjà de 193 tribunaux et 36 cours, dont le nombre de fonctionnaires, les magistrats non compris, dépasse les 14.000.