«Le Fonds de soutien à l'investissement pour l'emploi (FSIE) est enfin né », a déclaré, hier à l'Ecole supérieure de banque à Alger, Karim Djoudi, ministre des Finances, lors de la journée d'étude, organisée à l'occasion du lancement officiel de cet organisme. Le FSIE est une institution à caractère économique et social, qui, selon Karim Djoudi, a vu le jour suite à une concertation exemplaire entre les pouvoirs publics, l'UGTA et les organisations des employeurs. Notons, aussi, que ce Fonds dérive d'une approche basée, notamment, sur l'effort collectif et apparaîtra au fil des ans comme une innovation dans la sphère économique et financière. A ce sujet, le ministre dira que le fonds représente, par conséquent, une nouvelle institution financière, qui aura un rôle important dans les prochaines années, car il sera, a-t-il expliqué, au service des entreprises. Ces dernières auront, d'après le ministre, la facilité d'accès à cette source de financement. Ce fonds s'inscrit, assure-t-il, dans le système financier national, mis au service des épargnants. «C'est un instrument novateur participant à la création d'emplois et à sauvegarder l'emploi», a encore fait savoir le ministre. Soulignant à ce propos que l'apport de l'Etat à ce fonds est de 150 millions de DA. Parmi ses principaux objectifs à en croire le premier responsable du secteur des finances : canaliser les épargnants et opérer des investissements dans les petites et moyennes entreprises, dispenser aux travailleurs des différents secteurs une formation économique et financière, voire augmenter le capital de la retraite. De son côté, le secrétaire général de l'UGTA, M. Sidi Saïd, a indiqué que le FSIE, dont l'UGTA est partie prenante, s'est inspiré de l'expérience du Fonds de solidarité FTQ (Canada). Ce dernier est, d'ailleurs, d'après le SG de l'UGTA, prêt à apporter un appui à la mise en place des fonctions stratégiques du FSIE, à savoir l'actionnariat, l'investissement et la formation économique et financière. A noter que le FTQ est un pôle d'excellence en matière de capital d'investissement et joue, par conséquent, un rôle de leader au sein du monde des affaires dans la société canadienne. Dans le même sillage, le directeur général du Fonds de soutien à l'investissement, M. Tissa Mohamed, a soutenu, pour sa part, que les pouvoirs publics et l'UGTA ont joué un rôle capital dans la création de ce fonds. En outre, M. Tissa a précisé que son institution s'adresse à tous les citoyens et aux travailleurs en particulier et que l'adhésion au FSIE et les souscriptions s'effectuent par l'achat d'actions de 200 DA chacune. Ces dernières, précise le premier responsable du fonds, sont remboursables à la retraite, en cas d'invalidité ou de décès. Chaque action reçoit une bonification de l'Etat de 10% de son coût et à laquelle s'ajoutent des exonérations fiscales. Il a relevé aussi que la participation à l'épargne des travailleurs est fixée à un plafond de 22.000 DA annuellement. Enfin, M. Tissa a commenté, également, que la politique d'investissement du FSIE consacrera la moitié de ses ressources des fonds investis dans les petites et moyennes entreprises. Cependant, le reste des fonds feront, assure-t-il, l'objet de placements dans des organismes hautement sécurisés. «Le Fonds de soutien à l'investissement pour l'emploi (FSIE) est enfin né », a déclaré, hier à l'Ecole supérieure de banque à Alger, Karim Djoudi, ministre des Finances, lors de la journée d'étude, organisée à l'occasion du lancement officiel de cet organisme. Le FSIE est une institution à caractère économique et social, qui, selon Karim Djoudi, a vu le jour suite à une concertation exemplaire entre les pouvoirs publics, l'UGTA et les organisations des employeurs. Notons, aussi, que ce Fonds dérive d'une approche basée, notamment, sur l'effort collectif et apparaîtra au fil des ans comme une innovation dans la sphère économique et financière. A ce sujet, le ministre dira que le fonds représente, par conséquent, une nouvelle institution financière, qui aura un rôle important dans les prochaines années, car il sera, a-t-il expliqué, au service des entreprises. Ces dernières auront, d'après le ministre, la facilité d'accès à cette source de financement. Ce fonds s'inscrit, assure-t-il, dans le système financier national, mis au service des épargnants. «C'est un instrument novateur participant à la création d'emplois et à sauvegarder l'emploi», a encore fait savoir le ministre. Soulignant à ce propos que l'apport de l'Etat à ce fonds est de 150 millions de DA. Parmi ses principaux objectifs à en croire le premier responsable du secteur des finances : canaliser les épargnants et opérer des investissements dans les petites et moyennes entreprises, dispenser aux travailleurs des différents secteurs une formation économique et financière, voire augmenter le capital de la retraite. De son côté, le secrétaire général de l'UGTA, M. Sidi Saïd, a indiqué que le FSIE, dont l'UGTA est partie prenante, s'est inspiré de l'expérience du Fonds de solidarité FTQ (Canada). Ce dernier est, d'ailleurs, d'après le SG de l'UGTA, prêt à apporter un appui à la mise en place des fonctions stratégiques du FSIE, à savoir l'actionnariat, l'investissement et la formation économique et financière. A noter que le FTQ est un pôle d'excellence en matière de capital d'investissement et joue, par conséquent, un rôle de leader au sein du monde des affaires dans la société canadienne. Dans le même sillage, le directeur général du Fonds de soutien à l'investissement, M. Tissa Mohamed, a soutenu, pour sa part, que les pouvoirs publics et l'UGTA ont joué un rôle capital dans la création de ce fonds. En outre, M. Tissa a précisé que son institution s'adresse à tous les citoyens et aux travailleurs en particulier et que l'adhésion au FSIE et les souscriptions s'effectuent par l'achat d'actions de 200 DA chacune. Ces dernières, précise le premier responsable du fonds, sont remboursables à la retraite, en cas d'invalidité ou de décès. Chaque action reçoit une bonification de l'Etat de 10% de son coût et à laquelle s'ajoutent des exonérations fiscales. Il a relevé aussi que la participation à l'épargne des travailleurs est fixée à un plafond de 22.000 DA annuellement. Enfin, M. Tissa a commenté, également, que la politique d'investissement du FSIE consacrera la moitié de ses ressources des fonds investis dans les petites et moyennes entreprises. Cependant, le reste des fonds feront, assure-t-il, l'objet de placements dans des organismes hautement sécurisés.