Cet important ouvrage hydrique qui a coûté à l'Etat 60 milliards de dinars sera opérationnel, au plus tard, fin février 2009. Le ministre a mis en garde les parties engagées dans la réalisation de ce projet contre tout retard. Cet important ouvrage hydrique qui a coûté à l'Etat 60 milliards de dinars sera opérationnel, au plus tard, fin février 2009. Le ministre a mis en garde les parties engagées dans la réalisation de ce projet contre tout retard. La fin des travaux du méga-projet hydrique Mostaganem- Arzew- Oran (MAO) est prévue avant la fin de l'année en cours, a indiqué, jeudi dernier, Abdelmalek Sellal, ministre des Ressources en eau, lors d'une visite de travail qui l'a conduit dans la wilaya de Mostaganem. En effet, cet important ouvrage hydrique qui a coûté à l'Etat 60 milliards de dinars sera opérationnel, a-t-il précisé, en mettant en garde les parties engagées dans la réalisation de ce projet contre tout retard, au plus tard, fin février 2009. Dans un point de presse animé en marge de cette visite, le ministre, tout en rappelant que la réalisation de ce mégaprojet a été confiée à plusieurs entreprises nationales et étrangères, a qualifié cet ouvrage « de grand rêve qui s'est réalisé après la concrétisation des barrages de Beni Haroun et Taksebt ». « Ce projet qui s'inscrit dans le cadre d'une stratégie régionale de développement, en mesure de multiplier les ressources hydriques, notamment potable, au profit de plusieurs wilayas, comblera définitivement, et pour de longues décennies, le déficit en eau potable enregistré à Oran et aux wilayas limitrophes », a-t-il encore déclaré. Par ailleurs, il est prévu que ce projet mobilisera, annuellement, plus de 155 millions de mètres-cubes d'eau, dont 100 millions de mètres cubes seront destinés à la couverture des besoins de la wilaya d'Oran, et le reste sera affecté à la satisfaction de la demande en alimentation en eau potable de la population de la wilaya de Mostaganem. Cette capacité de mobilisation sera appuyée, en outre, par les apports des barrages du Cheliff et de Keddara. Ces apports, a souligné Sellal, seront transférés grâce à un ensemble d'installations dont des réservoirs de stockage, des stations de traitement, de pompage et de distribution pour être acheminés vers deux réservoirs secondaires de stockage à Mostaganem et quatre autres à Oran. Ces derniers sont d'une capacité de 60.000 mètres cubes chacun. Se voulant rassurant à l'égard des populations des deux wilayas d'Oran et de Mostaganem, quand à la prise en charge de leurs besoins en matière d'alimentation en eau potable, le ministre, a annoncé, en substance, la réalisation prochaine de la station de traitement et de dessalement d'eau de mer de Mers El-hadjadj, à l'Est d'Oran dont la capacité de production sera de 500.000 mètres cubes/jour. Il a annoncé, également, la réalisation d'une autre station similaire à Mostaganem dont la production quotidienne dépassera les 100.000 mètres cubes d'eau de mer dessalée. Sur un autre volet, le ministre a révélé que son département confiera la gestion des ressources hydriques de cette région Ouest du pays à une entreprise espagnole, spécialisée dans le domaine. « Cette démarche, a-t-il expliqué, vise une meilleure valorisation des ressources hydriques ainsi que des équipements techniques ». A la fin de sa visite, le ministre a inspecté le barrage de Keddara d'une capacité de stockage de 70 millions de mètres cubes et la station de pompage de Sidi Ali dotée, d'une capacité de 300.000 mètres cubes. Il s'est rendu ensuite au chantier de réalisation de deux réservoirs de stockage d'un volume global de 120.000 mètres cubes à Mostaganem. La fin des travaux du méga-projet hydrique Mostaganem- Arzew- Oran (MAO) est prévue avant la fin de l'année en cours, a indiqué, jeudi dernier, Abdelmalek Sellal, ministre des Ressources en eau, lors d'une visite de travail qui l'a conduit dans la wilaya de Mostaganem. En effet, cet important ouvrage hydrique qui a coûté à l'Etat 60 milliards de dinars sera opérationnel, a-t-il précisé, en mettant en garde les parties engagées dans la réalisation de ce projet contre tout retard, au plus tard, fin février 2009. Dans un point de presse animé en marge de cette visite, le ministre, tout en rappelant que la réalisation de ce mégaprojet a été confiée à plusieurs entreprises nationales et étrangères, a qualifié cet ouvrage « de grand rêve qui s'est réalisé après la concrétisation des barrages de Beni Haroun et Taksebt ». « Ce projet qui s'inscrit dans le cadre d'une stratégie régionale de développement, en mesure de multiplier les ressources hydriques, notamment potable, au profit de plusieurs wilayas, comblera définitivement, et pour de longues décennies, le déficit en eau potable enregistré à Oran et aux wilayas limitrophes », a-t-il encore déclaré. Par ailleurs, il est prévu que ce projet mobilisera, annuellement, plus de 155 millions de mètres-cubes d'eau, dont 100 millions de mètres cubes seront destinés à la couverture des besoins de la wilaya d'Oran, et le reste sera affecté à la satisfaction de la demande en alimentation en eau potable de la population de la wilaya de Mostaganem. Cette capacité de mobilisation sera appuyée, en outre, par les apports des barrages du Cheliff et de Keddara. Ces apports, a souligné Sellal, seront transférés grâce à un ensemble d'installations dont des réservoirs de stockage, des stations de traitement, de pompage et de distribution pour être acheminés vers deux réservoirs secondaires de stockage à Mostaganem et quatre autres à Oran. Ces derniers sont d'une capacité de 60.000 mètres cubes chacun. Se voulant rassurant à l'égard des populations des deux wilayas d'Oran et de Mostaganem, quand à la prise en charge de leurs besoins en matière d'alimentation en eau potable, le ministre, a annoncé, en substance, la réalisation prochaine de la station de traitement et de dessalement d'eau de mer de Mers El-hadjadj, à l'Est d'Oran dont la capacité de production sera de 500.000 mètres cubes/jour. Il a annoncé, également, la réalisation d'une autre station similaire à Mostaganem dont la production quotidienne dépassera les 100.000 mètres cubes d'eau de mer dessalée. Sur un autre volet, le ministre a révélé que son département confiera la gestion des ressources hydriques de cette région Ouest du pays à une entreprise espagnole, spécialisée dans le domaine. « Cette démarche, a-t-il expliqué, vise une meilleure valorisation des ressources hydriques ainsi que des équipements techniques ». A la fin de sa visite, le ministre a inspecté le barrage de Keddara d'une capacité de stockage de 70 millions de mètres cubes et la station de pompage de Sidi Ali dotée, d'une capacité de 300.000 mètres cubes. Il s'est rendu ensuite au chantier de réalisation de deux réservoirs de stockage d'un volume global de 120.000 mètres cubes à Mostaganem.