Le rôle et l'apport des assurances dans le développement de la petite et moyenne entreprise et la couverture en matière d'assurance et sécurité des crédits de garantie, ont été les thèmes abordés, hier, à l'hôtel Mercure, lors d'une journée d'étude consacrée à l'incontournable assurance pour la couverture des risques des PME. Les responsables de la compagnie d'assurances des hydrocarbures, CASH, co-organisatrice de cette rencontre avec le Fonds de garantie des assurances risques, FGAR et l'Agence nationale de développement de la PME, ANDPME, estiment que «l'apport de l'assurance dans la sauvegarde de l'outil de production et la continuité, en toute circonstance, de l'exploitation, fait du rôle de l'assurance un volet important dans toute politique de mise à niveau des PME et de leur promotion». L'objectif essentiel de cette journée d'étude réside dans la mise en place d'une coopération entre ces institutions et la contribution à apporter, en partageant et en mettant à profit le savoir-faire et les connaissances des uns et des autres. Il s'agit également de sensibiliser les acteurs économiques sur les risques guettant les entreprises susceptibles de mettre en péril leur propre existence. Pas moins de 1.000 PME ont déjà adhéré au programme de mise à niveau avec la contribution financière de 40 millions d'euros octroyés dans le cadre du programme MEDA II de la Commission européenne. Aussi, l'assurance joue un rôle non négligeable dans la préservation des projets d'investissement avec son apport financier en cas d'évènements dommageables. Nacer Sais, P-DG de la CASH, précise que «la création d'une entreprise, de taille petite ou moyenne, obéit à un certain nombre de préalables, à commencer par l'investisseur, lui-même, et le banquier qui examine le dossier sur la base d'éléments de solvabilité et d'étude de risques». Ainsi, tout intervenant dans l'octroi des financements aux PME, que ce soit les pouvoirs publics, le FGAR ou l'ANDPME, encourage la concrétisation de projets d'investissement ou la création d'entreprises dont l'objectif primordial tend à la création de richesse et le développement économique. Mais le rôle de l'assurance risques vise également le maintien en exploitation des PME en faisant le nécessaire pour les prémunir contre les risques de économique et d'autres accidents. Autrement dit, l'assurance permet aux PME de fonctionner normalement en toutes circonstances : tels que, les tremblements de terre, inondations, ou tout autre évènement imprévisible, fâcheux et préjudiciable. Pour le DG du FGAR, Abdennour Houaoui, «l'approche est purement économique et commerciale, puisque nous projetons toujours d'implanter des PME dans les différentes régions du pays en créant des emplois. De 2005 à 2007, nous avons accompagné plus de 78 entreprises tandis qu'en 2008, 100 PME ont bénéficié de l'apport des assurances dans la gestion de leur outil de production. Et notre rôle consiste à intervenir en cas de manque de garanties». Quant à Rachid Moussaoui, directeur de l'ANDPME, il estime qu'«il existe un éveil chez nos PME, notamment après la prochaine adhésion à l'Organisation mondiale du commerce (OMC) et l'accord d'association avec l'Union européenne. En effet, pas moins de 1.000 entreprises ont adhéré à ce programme de mise à niveau. Nous avons sélectionné les industriels ayant dépassé les 50 salariés. Cependant, nous encourageons beaucoup la formation des cadres et des personnels qualifiés, puisque nous avons réussi à perfectionner 2.000 employés relevant de PME, notamment dans le secteur du bâtiment et des travaux publics». Le rôle et l'apport des assurances dans le développement de la petite et moyenne entreprise et la couverture en matière d'assurance et sécurité des crédits de garantie, ont été les thèmes abordés, hier, à l'hôtel Mercure, lors d'une journée d'étude consacrée à l'incontournable assurance pour la couverture des risques des PME. Les responsables de la compagnie d'assurances des hydrocarbures, CASH, co-organisatrice de cette rencontre avec le Fonds de garantie des assurances risques, FGAR et l'Agence nationale de développement de la PME, ANDPME, estiment que «l'apport de l'assurance dans la sauvegarde de l'outil de production et la continuité, en toute circonstance, de l'exploitation, fait du rôle de l'assurance un volet important dans toute politique de mise à niveau des PME et de leur promotion». L'objectif essentiel de cette journée d'étude réside dans la mise en place d'une coopération entre ces institutions et la contribution à apporter, en partageant et en mettant à profit le savoir-faire et les connaissances des uns et des autres. Il s'agit également de sensibiliser les acteurs économiques sur les risques guettant les entreprises susceptibles de mettre en péril leur propre existence. Pas moins de 1.000 PME ont déjà adhéré au programme de mise à niveau avec la contribution financière de 40 millions d'euros octroyés dans le cadre du programme MEDA II de la Commission européenne. Aussi, l'assurance joue un rôle non négligeable dans la préservation des projets d'investissement avec son apport financier en cas d'évènements dommageables. Nacer Sais, P-DG de la CASH, précise que «la création d'une entreprise, de taille petite ou moyenne, obéit à un certain nombre de préalables, à commencer par l'investisseur, lui-même, et le banquier qui examine le dossier sur la base d'éléments de solvabilité et d'étude de risques». Ainsi, tout intervenant dans l'octroi des financements aux PME, que ce soit les pouvoirs publics, le FGAR ou l'ANDPME, encourage la concrétisation de projets d'investissement ou la création d'entreprises dont l'objectif primordial tend à la création de richesse et le développement économique. Mais le rôle de l'assurance risques vise également le maintien en exploitation des PME en faisant le nécessaire pour les prémunir contre les risques de économique et d'autres accidents. Autrement dit, l'assurance permet aux PME de fonctionner normalement en toutes circonstances : tels que, les tremblements de terre, inondations, ou tout autre évènement imprévisible, fâcheux et préjudiciable. Pour le DG du FGAR, Abdennour Houaoui, «l'approche est purement économique et commerciale, puisque nous projetons toujours d'implanter des PME dans les différentes régions du pays en créant des emplois. De 2005 à 2007, nous avons accompagné plus de 78 entreprises tandis qu'en 2008, 100 PME ont bénéficié de l'apport des assurances dans la gestion de leur outil de production. Et notre rôle consiste à intervenir en cas de manque de garanties». Quant à Rachid Moussaoui, directeur de l'ANDPME, il estime qu'«il existe un éveil chez nos PME, notamment après la prochaine adhésion à l'Organisation mondiale du commerce (OMC) et l'accord d'association avec l'Union européenne. En effet, pas moins de 1.000 entreprises ont adhéré à ce programme de mise à niveau. Nous avons sélectionné les industriels ayant dépassé les 50 salariés. Cependant, nous encourageons beaucoup la formation des cadres et des personnels qualifiés, puisque nous avons réussi à perfectionner 2.000 employés relevant de PME, notamment dans le secteur du bâtiment et des travaux publics».