Les responsables des banques publiques réclament plus d'attributions dans la gestion de leurs institutions. « La réforme financière devrait conduire à la consolidation des organes d'administration et de direction des banques », ont-ils appelé jeudi dernier à l'issue d'une rencontre tenue à Alger. Selon un communiqué du ministère des Finances, les banquiers ont demandé aussi « la valorisation des ressources humaines du secteur par le renforcement des formations et le développement des cadres de stimulation. » Il faut dire que le rapport dudit atelier s'est inspiré des critiques que les acteurs de la sphère économique n'ont pas cessé d'adresser aux banques. Karim Djoudi, rappelons-le, avait incité les responsables de son secteur, lors du lancement, le 30 juin dernier, des travaux d'évaluation de la réforme bancaire, à faire part de leurs suggestions pour corriger l'action du gouvernement. Les participants à l'atelier des banques ont appelé, en ce sens, à « la mise en place des instruments essentiels concernant l'éthique, la sécurité bancaire et l'extension des réseaux ». Les banquiers ont recommandé, en outre, « l'amélioration des capacités d'engagement et d'expansion des crédits notamment au profit des entreprises ». Les professionnels des banques ont appelé, d'autre part, à « la modernisation des paiements et l'élargissement de la sphère des paiements électroniques et scripturaux ». Laquelle modernisation, précise-t-on, exige la rénovation des procédures, des supports et des canaux de traitement et de contrôle des opérations. Les banquiers ont souligné, dans ce contexte, que la mise en place de plate-forme de traitement électronique des opérations bancaires « permet dès à présent de développer la bancarisation des opérateurs et des ménages. » La qualité de service, ajoute-t-on, fera l'objet « d'une prise en charge particulière tant au niveau de chaque banque qu'au niveau de la place dans son ensemble ». Karim Djoudi, indique le communiqué de son département, a demandé de formuler l'ensemble des mesures et actions préconisées à travers une « feuille de route avec identification précise des parties qui en ont la charge et d'un calendrier défini ». Les responsables des banques publiques réclament plus d'attributions dans la gestion de leurs institutions. « La réforme financière devrait conduire à la consolidation des organes d'administration et de direction des banques », ont-ils appelé jeudi dernier à l'issue d'une rencontre tenue à Alger. Selon un communiqué du ministère des Finances, les banquiers ont demandé aussi « la valorisation des ressources humaines du secteur par le renforcement des formations et le développement des cadres de stimulation. » Il faut dire que le rapport dudit atelier s'est inspiré des critiques que les acteurs de la sphère économique n'ont pas cessé d'adresser aux banques. Karim Djoudi, rappelons-le, avait incité les responsables de son secteur, lors du lancement, le 30 juin dernier, des travaux d'évaluation de la réforme bancaire, à faire part de leurs suggestions pour corriger l'action du gouvernement. Les participants à l'atelier des banques ont appelé, en ce sens, à « la mise en place des instruments essentiels concernant l'éthique, la sécurité bancaire et l'extension des réseaux ». Les banquiers ont recommandé, en outre, « l'amélioration des capacités d'engagement et d'expansion des crédits notamment au profit des entreprises ». Les professionnels des banques ont appelé, d'autre part, à « la modernisation des paiements et l'élargissement de la sphère des paiements électroniques et scripturaux ». Laquelle modernisation, précise-t-on, exige la rénovation des procédures, des supports et des canaux de traitement et de contrôle des opérations. Les banquiers ont souligné, dans ce contexte, que la mise en place de plate-forme de traitement électronique des opérations bancaires « permet dès à présent de développer la bancarisation des opérateurs et des ménages. » La qualité de service, ajoute-t-on, fera l'objet « d'une prise en charge particulière tant au niveau de chaque banque qu'au niveau de la place dans son ensemble ». Karim Djoudi, indique le communiqué de son département, a demandé de formuler l'ensemble des mesures et actions préconisées à travers une « feuille de route avec identification précise des parties qui en ont la charge et d'un calendrier défini ».