La star tunisienne Latifa Arfawi et la diva du raï chaba Zahwania ont animé, vendredi dernier la dixième et ultime soirée de la 30e édition du Festival international de Timgad qui n'a pas failli à sa réputation internationale avec une programmation des musiques des trois continents d'Afrique, d'Asie et d'Amérique latine. La star tunisienne et arabe Latifa Arfawi a ravi l'assistance venue de plusieurs wilayas de la région qui a dansé et vibré sur les sons de Akthar min rouhi bahebak (je t'aime plus que moi-même) et autres ballades romantiques dont la présence particulière sur scène de Latifa leur rajoute plus de lyrisme. A son tour, Zahwania a enflammé le public dont les jeunes et moins jeunes ont dansé pendant près d'une heure sur les rythmes enfiévrés de H'bibi darha biya, Ahleft manoualik et autres dans leur sillage. L'ouverture de la soirée a été en outre faite par le chanteur auréssien Hamid Belbech qui est monté le premier sur la scène du vieux théâtre romain sous les applaudissements d'environ quatre mille spectateurs qui ont dansé et répété avec lui les séculaires chansonnettes puisées du folklore populaire chaoui. Lui succédant, Nasr Eddine Gualiz a excellé en exécutant les célèbres chansons des ténors du genre chaâbi dont Tir M'rabih (un oiseau que j'avais élevé) et El barah (hier, j'avais 20 ans). Pendant dix soirées successives, le fidèle public de Timgad a dansé dans la même ambiance festive sur les musiques des trois continents africain, asiatique et latino-américain des artistes et troupes de la renommée de Amadou et Mariame, Sherifa-Lun et Zaho, Salasa Celtica, Asma Menouar, Khaled, Waïl Jassar et Nawal Zoughbi. Le rideau est ainsi tombé sur la 30e édition de Timgad et déjà les regards sont braqués sur l'édition 2009 dont les soirées pourraient bel et bien se tenir sur la future réplique du théâtre romain en cours de construction à proximité du site archéologique. La star tunisienne Latifa Arfawi et la diva du raï chaba Zahwania ont animé, vendredi dernier la dixième et ultime soirée de la 30e édition du Festival international de Timgad qui n'a pas failli à sa réputation internationale avec une programmation des musiques des trois continents d'Afrique, d'Asie et d'Amérique latine. La star tunisienne et arabe Latifa Arfawi a ravi l'assistance venue de plusieurs wilayas de la région qui a dansé et vibré sur les sons de Akthar min rouhi bahebak (je t'aime plus que moi-même) et autres ballades romantiques dont la présence particulière sur scène de Latifa leur rajoute plus de lyrisme. A son tour, Zahwania a enflammé le public dont les jeunes et moins jeunes ont dansé pendant près d'une heure sur les rythmes enfiévrés de H'bibi darha biya, Ahleft manoualik et autres dans leur sillage. L'ouverture de la soirée a été en outre faite par le chanteur auréssien Hamid Belbech qui est monté le premier sur la scène du vieux théâtre romain sous les applaudissements d'environ quatre mille spectateurs qui ont dansé et répété avec lui les séculaires chansonnettes puisées du folklore populaire chaoui. Lui succédant, Nasr Eddine Gualiz a excellé en exécutant les célèbres chansons des ténors du genre chaâbi dont Tir M'rabih (un oiseau que j'avais élevé) et El barah (hier, j'avais 20 ans). Pendant dix soirées successives, le fidèle public de Timgad a dansé dans la même ambiance festive sur les musiques des trois continents africain, asiatique et latino-américain des artistes et troupes de la renommée de Amadou et Mariame, Sherifa-Lun et Zaho, Salasa Celtica, Asma Menouar, Khaled, Waïl Jassar et Nawal Zoughbi. Le rideau est ainsi tombé sur la 30e édition de Timgad et déjà les regards sont braqués sur l'édition 2009 dont les soirées pourraient bel et bien se tenir sur la future réplique du théâtre romain en cours de construction à proximité du site archéologique.