Radovan Karadzic, l'ancien chef politique des Serbes de Bosnie et l'un des fugitifs les plus recherchés au monde, attendait hier, à Belgrade, après son arrestation, son transfert au Tribunal pénal international (TPI) pour l'ex-Yougoslavie qui l'a inculpé de génocide. Les 27 pays membres de l'UE considèrent que les aspirations européennes de la Serbie ne pourront aller résolument de l'avant que si Belgrade «coopère pleinement» avec le TPI. Radovan Karadzic, l'ancien chef politique des Serbes de Bosnie et l'un des fugitifs les plus recherchés au monde, attendait hier, à Belgrade, après son arrestation, son transfert au Tribunal pénal international (TPI) pour l'ex-Yougoslavie qui l'a inculpé de génocide. Les 27 pays membres de l'UE considèrent que les aspirations européennes de la Serbie ne pourront aller résolument de l'avant que si Belgrade «coopère pleinement» avec le TPI.