Ce qui est remarquable, c'est la présence sur place d'agents d'accueil des passagers. Ces agents veillent à réserver un accueil de qualité aux arrivants. C'est en quelque sorte la vitrine de la fameuse campagne « Je préfère l'Algérie » lancée par le ministère de l'Aménagement du territoire. Ce qui est remarquable, c'est la présence sur place d'agents d'accueil des passagers. Ces agents veillent à réserver un accueil de qualité aux arrivants. C'est en quelque sorte la vitrine de la fameuse campagne « Je préfère l'Algérie » lancée par le ministère de l'Aménagement du territoire. En cette matinée, sous un soleil de plomb, l'aéroport international Houari Boumediene, Alger, suffoque et grouille de monde. Le thermomètre affiche 36°. A 10h, le parking est déjà plein et les voyageurs affluent par dizaines. D'autres, ceux qui sont venus attendre leurs proches arrivent aussi par groupe et se pressent devant les entrées de l'enceinte de cette infrastructure. A l'intérieur, hommes, femmes et enfants, trainant des chariots à bagages, se bousculent devant les halls pour accueillir les passagers. 26 arrivées sont programmées. Devant le premier hall réservé aux passagers des compagnies aériennes étrangères, des dizaines de citoyens attendent. « Je suis ici depuis une heure et je l'attend toujours. Il y a trois ans qu'il n'est pas venu », nous dit une vielle femme, accostée au niveau de ce hall, entrain d'attendre son fils qui devait arriver du lointain Canada. Une heure après, quant les passagers sont entrés officiellement sur le territoire national, la joie était générale. Des scènes d'émotions et de passions indescriptibles. Des embrassades interminables sont échangées entre les immigrés, rentrés au pays pour passer leurs vacances, et leurs proches. Même les youyous et les larmes étaient aux rendez-vous. « Tout va bien, tout s'est bien passé », crie Nadir, venu de Montréal. Le temps de prendre un café, nous avons rencontré Nadir; la joie de retrouver son pays se lisait sur son visage, dans le parking avec sa famille. Questionné sur les conditions de son arrivée en Algérie, il ne manquera pas de dire sa satisfaction. « Il y a plusieurs scanners cette année, ce qui a fait que je n'ai pas attendu beaucoup mes bagages », a-t-il dit précisant que les formalités de sortie de la zone des comptoirs des douanes n'ont pas dépassé 40 minutes. Ces formalités consistaient en le contrôle du passeport, la déclaration de devises et la récupération des bagages au niveau du tapis. Nadir a expliqué, également, que les hôtesses d'accueil l'ont accompagné jusqu'aux emplacements réservés aux transferts par taxi. Ce qui est également remarquable, c'est la présence sur place d'agents d'accueil des passagers. Ces agents veillent à réserver un accueil de qualité aux arrivants. Ce personnel est reconnaissable à son uniforme spécifique. C'est en quelque sorte la vitrine de la fameuse campagne « Je préfère l'Algérie » lancée par le ministère de l'Aménagement du territoire, de l'environnement et du tourisme. Ces jeunes gens, qui ont eu pour seule instruction de veiller au bien-être des voyageurs, sont déployés au niveau des plates formes d'entrées au pays, à savoir les aéroports et les ports. Dans ce sens aussi, des passagers, se disant satisfait par la qualité d'accueil qui leur est réservée, ont salué ce geste. « C'est la première fois que je suis reçu de cette manière ici en Algérie », nous a informé un touriste français visiblement familiarisé avec l'Algérie. En effet, ces agents, le sourire toujours aux lèvres, réservent un accueil chaleureux aux touristes. En plus des services qu'ils offrent, ils distribuent des dépliants promotionnels et de bienvenue pour tout le monde. « Nous sommes tout à fait heureux d'avoir accueilli les premiers, les touristes qui viennent en Algérie », nous dit l'un d'eux. Et à un autre d'ajouter que les touristes, en majorité, des émigrés, sont bien contents qu'on leur réserve un accueil aussi chaleureux. Pourvu que ça dure. En cette matinée, sous un soleil de plomb, l'aéroport international Houari Boumediene, Alger, suffoque et grouille de monde. Le thermomètre affiche 36°. A 10h, le parking est déjà plein et les voyageurs affluent par dizaines. D'autres, ceux qui sont venus attendre leurs proches arrivent aussi par groupe et se pressent devant les entrées de l'enceinte de cette infrastructure. A l'intérieur, hommes, femmes et enfants, trainant des chariots à bagages, se bousculent devant les halls pour accueillir les passagers. 26 arrivées sont programmées. Devant le premier hall réservé aux passagers des compagnies aériennes étrangères, des dizaines de citoyens attendent. « Je suis ici depuis une heure et je l'attend toujours. Il y a trois ans qu'il n'est pas venu », nous dit une vielle femme, accostée au niveau de ce hall, entrain d'attendre son fils qui devait arriver du lointain Canada. Une heure après, quant les passagers sont entrés officiellement sur le territoire national, la joie était générale. Des scènes d'émotions et de passions indescriptibles. Des embrassades interminables sont échangées entre les immigrés, rentrés au pays pour passer leurs vacances, et leurs proches. Même les youyous et les larmes étaient aux rendez-vous. « Tout va bien, tout s'est bien passé », crie Nadir, venu de Montréal. Le temps de prendre un café, nous avons rencontré Nadir; la joie de retrouver son pays se lisait sur son visage, dans le parking avec sa famille. Questionné sur les conditions de son arrivée en Algérie, il ne manquera pas de dire sa satisfaction. « Il y a plusieurs scanners cette année, ce qui a fait que je n'ai pas attendu beaucoup mes bagages », a-t-il dit précisant que les formalités de sortie de la zone des comptoirs des douanes n'ont pas dépassé 40 minutes. Ces formalités consistaient en le contrôle du passeport, la déclaration de devises et la récupération des bagages au niveau du tapis. Nadir a expliqué, également, que les hôtesses d'accueil l'ont accompagné jusqu'aux emplacements réservés aux transferts par taxi. Ce qui est également remarquable, c'est la présence sur place d'agents d'accueil des passagers. Ces agents veillent à réserver un accueil de qualité aux arrivants. Ce personnel est reconnaissable à son uniforme spécifique. C'est en quelque sorte la vitrine de la fameuse campagne « Je préfère l'Algérie » lancée par le ministère de l'Aménagement du territoire, de l'environnement et du tourisme. Ces jeunes gens, qui ont eu pour seule instruction de veiller au bien-être des voyageurs, sont déployés au niveau des plates formes d'entrées au pays, à savoir les aéroports et les ports. Dans ce sens aussi, des passagers, se disant satisfait par la qualité d'accueil qui leur est réservée, ont salué ce geste. « C'est la première fois que je suis reçu de cette manière ici en Algérie », nous a informé un touriste français visiblement familiarisé avec l'Algérie. En effet, ces agents, le sourire toujours aux lèvres, réservent un accueil chaleureux aux touristes. En plus des services qu'ils offrent, ils distribuent des dépliants promotionnels et de bienvenue pour tout le monde. « Nous sommes tout à fait heureux d'avoir accueilli les premiers, les touristes qui viennent en Algérie », nous dit l'un d'eux. Et à un autre d'ajouter que les touristes, en majorité, des émigrés, sont bien contents qu'on leur réserve un accueil aussi chaleureux. Pourvu que ça dure.