Un patient sur quatre atteints de dysfonction érectile dans le monde consulte un médecin, a affirmé mercredi à Alger M. Youcef Khodja, spécialiste en urologie. Intervenant lors d'une conférence sur le thème "la qualité de vie et le dysfonctionnement érectile", M. Khodja a indiqué que le patient atteint de dysfonction érectile consulte le médecin un an après l'apparition des premiers signes et l'aggravation de son état psychologique et social. Entre 5 et 50% d'hommes dans le monde souffrent de dysfonction érectile, selon le spécialiste qui met la complication du problème sur le compte du manque de communication même avec les médecins. Pour l'Organisation mondiale de la santé (OMS), la dysfonction érectile est un problème de santé publique à l'origine de la détérioration de l'état psychique et socioprofessionnel du patient. L'homme atteint de dysfonction érectile perd l'estime de soi et souffre d'anxiété, de dépression et de fatigue ce qui influe de manière négative sur sa relation avec le partenaire et sur son rendement au travail. Les progrès de la médecine et l'amélioration de la qualité de vie ont permis l'augmentation de l'espérance de vie qui est passée de 45 ans en 1900 à 76 ans en 2007. Pour le bien-être de l'homme, le spécialiste en urologie préconise l'amélioration de la vie sexuelle et de la qualité de l'alimentation outre le sport qui contribue à préserver la santé de l'individu. Beaucoup d'hommes à l'âge de 40 ans consultent avant le mariage un médecin pour s'assurer du bon fonctionnement de leur vie sexuelle, d'autant que le mariage est tardif, a indiqué M. Khodja. Un tiers des patients diabétiques souffrent de dysfonction érectile, selon le spécialiste qui précise que le problème est aggravé chez les personnes souffrant d'un diabète congénital. L'amélioration de la qualité de vie y compris la vie sexuelle contribue à l'augmentation de l'espérance de vie et influe de manière positive sur la vie socioprofessionnelle et psychologique de l'individu, selon ce spécialiste. Un patient sur quatre atteints de dysfonction érectile dans le monde consulte un médecin, a affirmé mercredi à Alger M. Youcef Khodja, spécialiste en urologie. Intervenant lors d'une conférence sur le thème "la qualité de vie et le dysfonctionnement érectile", M. Khodja a indiqué que le patient atteint de dysfonction érectile consulte le médecin un an après l'apparition des premiers signes et l'aggravation de son état psychologique et social. Entre 5 et 50% d'hommes dans le monde souffrent de dysfonction érectile, selon le spécialiste qui met la complication du problème sur le compte du manque de communication même avec les médecins. Pour l'Organisation mondiale de la santé (OMS), la dysfonction érectile est un problème de santé publique à l'origine de la détérioration de l'état psychique et socioprofessionnel du patient. L'homme atteint de dysfonction érectile perd l'estime de soi et souffre d'anxiété, de dépression et de fatigue ce qui influe de manière négative sur sa relation avec le partenaire et sur son rendement au travail. Les progrès de la médecine et l'amélioration de la qualité de vie ont permis l'augmentation de l'espérance de vie qui est passée de 45 ans en 1900 à 76 ans en 2007. Pour le bien-être de l'homme, le spécialiste en urologie préconise l'amélioration de la vie sexuelle et de la qualité de l'alimentation outre le sport qui contribue à préserver la santé de l'individu. Beaucoup d'hommes à l'âge de 40 ans consultent avant le mariage un médecin pour s'assurer du bon fonctionnement de leur vie sexuelle, d'autant que le mariage est tardif, a indiqué M. Khodja. Un tiers des patients diabétiques souffrent de dysfonction érectile, selon le spécialiste qui précise que le problème est aggravé chez les personnes souffrant d'un diabète congénital. L'amélioration de la qualité de vie y compris la vie sexuelle contribue à l'augmentation de l'espérance de vie et influe de manière positive sur la vie socioprofessionnelle et psychologique de l'individu, selon ce spécialiste.