Fatigué, vanné, épuisé. Coups de barre à répétition, manque d'énergie. Occasionnelle ou persistante, la fatigue peut parfois être vaincue. Des traitements et des solutions existent. Fatigué, vanné, épuisé. Coups de barre à répétition, manque d'énergie. Occasionnelle ou persistante, la fatigue peut parfois être vaincue. Des traitements et des solutions existent. Mais attention : il y a fatigue et fatigue ! Il faut impérativement distinguer une fatigue occasionnelle et de courte durée dont vous connaissez le motif (charge de travail supplémentaire, surmenage familial passager…), d'une fatigue intense, qui s'installe et persiste. Mieux résister à la fatigue occasionnelle Votre patron vient de vous confier un dossier chaud dont le rapport final est à remettre dans deux jours. Promotion garantie à l'appui. En dépit de la réduction du temps de travail, vous relevez le défi et ne comptez plus vos heures. Pour vous aider à passer ce cap délicat et à lutter contre les coups de barre à répétitions, quelques stimulants et autres cocktails vitaminés devraient suffire. Café et thé vont vous fournir un bon coup de fouet, mais à condition de réserver ces boissons à la matinée ou au tout début de l'après-midi. Passée une certaine heure, ces nectars risquent de vous empêcher totalement de dormir. Et vos quelques heures de sommeil réparateur, même si elles ne sont pas assez nombreuses, restent sacrées. Quelques petits carrés de chocolat peuvent aussi faire des merveilles. Riche en phényléthylamine, une molécule aux propriétés psychostimulantes reconnues, le chocolat contient également de la caféine qui augmente votre résistance à la fatigue, et de la théobromine, un stimulant du système nerveux et cérébral. De plus, sa richesse en magnésium (140 mg/100 g), en potassium (400 mg/100g), en phosphore (230mg/100g), en calcium (220mg/100g pour le chocolat au lait), et en fer (2,9 mg) en font un excellent aliment régénérateur. Le meilleur allié, votre alimentation ! Dans ces moments de surmenage occasionnel, évitez de sauter des repas, et tentez de préserver une alimentation équilibrée. Les fruits frais, très riches en vitamines C, doivent avoir une place prépondérante, ainsi que les légumes et les céréales, véritables aliments énergétiques. Si ça ne suffit pas, demandez conseil à votre pharmacien. Une supplémentation en vitamine C, un cocktail de vitamines, oligo-éléments et sels minéraux, ou un anti-asthénique associant glucuronamide, vitamine C et caféine peut vous être conseillé mais pour une courte durée seulement. Surtout, proscrivez alcool et tabac ! Ces stimulants ont une efficacité très ponctuelle. En revanche, ils contribuent à dégrader très vite les vitamines dans l'organisme. Dès le coup de bourre terminé, optez pour une bonne hygiène de vie : alimentation variée et équilibrée, sommeil de qualité et relaxation. Quand consulter ? Si la fatigue s'installe, il est impératif de consulter votre médecin. Il est le seul apte à poser un diagnostic et à évaluer les causes de votre fatigue qui peuvent être multiples et souvent cacher une maladie. Dans ce cas, l'automédication à grands renforts de stimulants et de cocktails vitaminés n'est jamais une bonne solution. Elle risque de retarder la mise en route d'un traitement adapté à votre cas. La plupart du temps, votre médecin vous prescrira un bilan sanguin complet. Si ce bilan ne traduit ni infection, ni pathologie chronique, votre médecin continuera son enquête de détective qui peut aboutir à la mise en évidence d'une dépression ou d'un syndrome de fatigue chronique. Mais attention : il y a fatigue et fatigue ! Il faut impérativement distinguer une fatigue occasionnelle et de courte durée dont vous connaissez le motif (charge de travail supplémentaire, surmenage familial passager…), d'une fatigue intense, qui s'installe et persiste. Mieux résister à la fatigue occasionnelle Votre patron vient de vous confier un dossier chaud dont le rapport final est à remettre dans deux jours. Promotion garantie à l'appui. En dépit de la réduction du temps de travail, vous relevez le défi et ne comptez plus vos heures. Pour vous aider à passer ce cap délicat et à lutter contre les coups de barre à répétitions, quelques stimulants et autres cocktails vitaminés devraient suffire. Café et thé vont vous fournir un bon coup de fouet, mais à condition de réserver ces boissons à la matinée ou au tout début de l'après-midi. Passée une certaine heure, ces nectars risquent de vous empêcher totalement de dormir. Et vos quelques heures de sommeil réparateur, même si elles ne sont pas assez nombreuses, restent sacrées. Quelques petits carrés de chocolat peuvent aussi faire des merveilles. Riche en phényléthylamine, une molécule aux propriétés psychostimulantes reconnues, le chocolat contient également de la caféine qui augmente votre résistance à la fatigue, et de la théobromine, un stimulant du système nerveux et cérébral. De plus, sa richesse en magnésium (140 mg/100 g), en potassium (400 mg/100g), en phosphore (230mg/100g), en calcium (220mg/100g pour le chocolat au lait), et en fer (2,9 mg) en font un excellent aliment régénérateur. Le meilleur allié, votre alimentation ! Dans ces moments de surmenage occasionnel, évitez de sauter des repas, et tentez de préserver une alimentation équilibrée. Les fruits frais, très riches en vitamines C, doivent avoir une place prépondérante, ainsi que les légumes et les céréales, véritables aliments énergétiques. Si ça ne suffit pas, demandez conseil à votre pharmacien. Une supplémentation en vitamine C, un cocktail de vitamines, oligo-éléments et sels minéraux, ou un anti-asthénique associant glucuronamide, vitamine C et caféine peut vous être conseillé mais pour une courte durée seulement. Surtout, proscrivez alcool et tabac ! Ces stimulants ont une efficacité très ponctuelle. En revanche, ils contribuent à dégrader très vite les vitamines dans l'organisme. Dès le coup de bourre terminé, optez pour une bonne hygiène de vie : alimentation variée et équilibrée, sommeil de qualité et relaxation. Quand consulter ? Si la fatigue s'installe, il est impératif de consulter votre médecin. Il est le seul apte à poser un diagnostic et à évaluer les causes de votre fatigue qui peuvent être multiples et souvent cacher une maladie. Dans ce cas, l'automédication à grands renforts de stimulants et de cocktails vitaminés n'est jamais une bonne solution. Elle risque de retarder la mise en route d'un traitement adapté à votre cas. La plupart du temps, votre médecin vous prescrira un bilan sanguin complet. Si ce bilan ne traduit ni infection, ni pathologie chronique, votre médecin continuera son enquête de détective qui peut aboutir à la mise en évidence d'une dépression ou d'un syndrome de fatigue chronique.