En dépit des campagnes de sensibilisation portant sur la propreté des plages, certaines stations balnéaires restent encore touchées par les mauvaises conditions d'hygiène. En effet, au niveau de certaines plages d'Alger, nous avons constaté que l'hygiène fait défaut. Des sachets en plastique, des bouteilles vides, voire des tessons de bouteilles de vin et des détritus jonchent les lieux. Ce constat est pratiquement, le même à travers l'ensemble des plages de la capitale. Mis à part certaines plages, à l'instar de Palm Beach, Sidi Fredj et La Madrague qui passent pour être des plages modèles au niveau de la capitale, les autres sont, remarque-t-on, laissées à l'abandon et peinent à sortir des mauvaises conditions d'hygiène. Cette situation, s'explique, selon des citoyens déçus devant cet état de fait, par l'incivisme de certains estivants. «Les gens ne respectent pas les lieux, ils jettent les emballages de leurs commissions partout. Ils ne prennent pas en considération les règles d'hygiène», souligne Hocine, un citoyen rencontré à El-Kittani, qui souligne, également, qu'ils sont rares ceux qui jettent leurs détritus dans les poubelles que les services de la commune ont installées à cette fin. Lui emboîtant le pas, Farid souligne pour sa part, qu'outre l'incivisme de certains citoyens, il y a aussi le rôle des autorités, qui devraient assurer d'une manière ou d'une autre la propreté des lieux. «Il faut que les autorités prennent en charge le nettoyage des plages, comme c'est le cas à Palm Beach, où les autorités ont veillé fermement à ce que la propreté soit quotidienne, et ce, en dépit de l'incivisme des citoyens», relève Farid. En outre, l'on note, aussi, que le manque d'hygiène au niveau des plages est provoqué, aux dires des citoyens rencontrés sur les lieux, par les marchands ambulants et les commerces ouverts à l'occasion de la saison estivale. En l'absence d'un service quotidien des éboueurs, les gargotiers notent qu'ils sont dans l'obligation de déposer les détritus dans des coins, en attendant le passage de ces derniers. «Ces immondices sont, généralement, dispersés par des chiens errants, qui investissent les lieux », déplore Karim, propriétaire d'un fast-food, à la plage de Baïnem, indiquant par ailleurs que la responsabilité du manque d'hygiène dans les lieux incombe en partie aux autorités, qui ne font leur travail qu'occasionnellement. En dépit des campagnes de sensibilisation portant sur la propreté des plages, certaines stations balnéaires restent encore touchées par les mauvaises conditions d'hygiène. En effet, au niveau de certaines plages d'Alger, nous avons constaté que l'hygiène fait défaut. Des sachets en plastique, des bouteilles vides, voire des tessons de bouteilles de vin et des détritus jonchent les lieux. Ce constat est pratiquement, le même à travers l'ensemble des plages de la capitale. Mis à part certaines plages, à l'instar de Palm Beach, Sidi Fredj et La Madrague qui passent pour être des plages modèles au niveau de la capitale, les autres sont, remarque-t-on, laissées à l'abandon et peinent à sortir des mauvaises conditions d'hygiène. Cette situation, s'explique, selon des citoyens déçus devant cet état de fait, par l'incivisme de certains estivants. «Les gens ne respectent pas les lieux, ils jettent les emballages de leurs commissions partout. Ils ne prennent pas en considération les règles d'hygiène», souligne Hocine, un citoyen rencontré à El-Kittani, qui souligne, également, qu'ils sont rares ceux qui jettent leurs détritus dans les poubelles que les services de la commune ont installées à cette fin. Lui emboîtant le pas, Farid souligne pour sa part, qu'outre l'incivisme de certains citoyens, il y a aussi le rôle des autorités, qui devraient assurer d'une manière ou d'une autre la propreté des lieux. «Il faut que les autorités prennent en charge le nettoyage des plages, comme c'est le cas à Palm Beach, où les autorités ont veillé fermement à ce que la propreté soit quotidienne, et ce, en dépit de l'incivisme des citoyens», relève Farid. En outre, l'on note, aussi, que le manque d'hygiène au niveau des plages est provoqué, aux dires des citoyens rencontrés sur les lieux, par les marchands ambulants et les commerces ouverts à l'occasion de la saison estivale. En l'absence d'un service quotidien des éboueurs, les gargotiers notent qu'ils sont dans l'obligation de déposer les détritus dans des coins, en attendant le passage de ces derniers. «Ces immondices sont, généralement, dispersés par des chiens errants, qui investissent les lieux », déplore Karim, propriétaire d'un fast-food, à la plage de Baïnem, indiquant par ailleurs que la responsabilité du manque d'hygiène dans les lieux incombe en partie aux autorités, qui ne font leur travail qu'occasionnellement.