Boubkeur Ben Bouzid, ministre de l'Education nationale, a consenti, enfin, de recevoir les représentants des enneigements contractuels. « Le ministre est prêt à vous recevoir », ont répondu hier les services du ministre à l'adresse du Conseil des enseignants contractuels (Cnec) qui a eu à formuler plusieurs demandes d'audience. Ce geste de « bienveillance » de Ben Bouzid, faut-il le rappeler, est intervenu après qu'il ait fait la « sourde oreille », pendant prés de 2 mois quant à la revendication des enseignants contractuels ayant entamé une grève de la faim qui a durée 43 jours. Une période pendant laquelle, le ministre de l'Education n'a pas daigné bouger le petit doigt. Le ministre, parait-il, n'a pas voulu négocier sous le chantage de la grève et il a préféré attendre la suspension de cette protestation pour, enfin, « ouvrir la porte du dialogue. » Rappelons, en ce sens, que pas moins de 4 sit-in de solidarité avec les grévistes ont été empêchés par la police, devant le siège du ministère et de la Présidence. Il faut dire, aussi, que la rencontre d'aujourd'hui, tant réclamée, ne devrait pas déboucher sur de grands changements dans la situation des 40.000 enseignants contractuels, recensés à l'échelle nationale. D'autant plus que Ben Bouzid n'a pas cesser de marteler, que le concours qu'organise son département, est « la seule voie de titularisation pour les contractuels » Les pourparlers porteront plutôt, estiment des sources proches du dossier, sur le règlement des salaires impayés et le renouvellement des contrats de travail. « Il est exclu que l'on procède à une régularisation massive de ces enseignants », affirme-t-on. De son coté, le Cnec a indiqué dans un communiqué parvenu hier à notre rédaction, avoir tenu plusieurs rencontres depuis la suspension de la grève de la faim. Les réunions, a-t-on précisé, ont porté sur la définition des actions de protestation à entreprendre très prochainement. Par ailleurs, le Cnec tiendra à infirmer les déclarations faites récemment par le porte-parole du gouvernement. Selon le Conseil, l'administration de l'Education a refusé de renouveler les contrats de travail pour de nombreux contractuels, contrairement à ce qui avait été avancé par Boukerzaza. Selon la même source, il a été constaté, également, que la grande partie des admis aux concours de titularisation sont de nouveaux diplômés. Ces derniers, a-t-on laissé entendre, ont pris les places des contractuels ayant servi des années durant, dans le secteur de l'Education. Boubkeur Ben Bouzid, ministre de l'Education nationale, a consenti, enfin, de recevoir les représentants des enneigements contractuels. « Le ministre est prêt à vous recevoir », ont répondu hier les services du ministre à l'adresse du Conseil des enseignants contractuels (Cnec) qui a eu à formuler plusieurs demandes d'audience. Ce geste de « bienveillance » de Ben Bouzid, faut-il le rappeler, est intervenu après qu'il ait fait la « sourde oreille », pendant prés de 2 mois quant à la revendication des enseignants contractuels ayant entamé une grève de la faim qui a durée 43 jours. Une période pendant laquelle, le ministre de l'Education n'a pas daigné bouger le petit doigt. Le ministre, parait-il, n'a pas voulu négocier sous le chantage de la grève et il a préféré attendre la suspension de cette protestation pour, enfin, « ouvrir la porte du dialogue. » Rappelons, en ce sens, que pas moins de 4 sit-in de solidarité avec les grévistes ont été empêchés par la police, devant le siège du ministère et de la Présidence. Il faut dire, aussi, que la rencontre d'aujourd'hui, tant réclamée, ne devrait pas déboucher sur de grands changements dans la situation des 40.000 enseignants contractuels, recensés à l'échelle nationale. D'autant plus que Ben Bouzid n'a pas cesser de marteler, que le concours qu'organise son département, est « la seule voie de titularisation pour les contractuels » Les pourparlers porteront plutôt, estiment des sources proches du dossier, sur le règlement des salaires impayés et le renouvellement des contrats de travail. « Il est exclu que l'on procède à une régularisation massive de ces enseignants », affirme-t-on. De son coté, le Cnec a indiqué dans un communiqué parvenu hier à notre rédaction, avoir tenu plusieurs rencontres depuis la suspension de la grève de la faim. Les réunions, a-t-on précisé, ont porté sur la définition des actions de protestation à entreprendre très prochainement. Par ailleurs, le Cnec tiendra à infirmer les déclarations faites récemment par le porte-parole du gouvernement. Selon le Conseil, l'administration de l'Education a refusé de renouveler les contrats de travail pour de nombreux contractuels, contrairement à ce qui avait été avancé par Boukerzaza. Selon la même source, il a été constaté, également, que la grande partie des admis aux concours de titularisation sont de nouveaux diplômés. Ces derniers, a-t-on laissé entendre, ont pris les places des contractuels ayant servi des années durant, dans le secteur de l'Education.