La rencontre ayant réunis hier les représentants des enseignants contractuels avec Boubkeur Khaldi, secrétaire général du ministère de l'Education, n'a rien donnée. «Le SG a passé tout son temps à nous parler des concours avant de nous signifier qu'il n'y aura aucun autre moyen de titularisation en dehors de ces épreuves.» Plus loin, le commis de l'Etat a bien profité de cette entrevue, tant réclamée par les grévistes de la faim, pour leur donner ce qui ressemble à une « leçon de morale ». « Arrêtez de perdre du temps et passez les concours de titularisation » ou encore «ne sacrifiez pas» a Conseillé Khaldi à ses hôtes. Selon Maarouf Meriem, Khaldi n'a fait que se conformer aux déclarations précédentes du Ministre. Le vis-à-vis des 5 représentants des enseignants contractuels, a défendu, à cette occasion, que « l'administration de l'Education n'est pas tenue de reprendre l'année prochaine les enseignants contractuels. Les contrats de travail prennent fin, le 30 juin de chaque année. » Selon notre interlocutrice, le SG du ministère de l'Education s'est engagé à ouvrir une enquête au sujet de l'application de la bonification concernant l'expérience professionnelle. Le Cnec, avait relevé que la grande partie des admis dans les concours de titularisation étaient de nouveaux diplômés. Un fait qui laisse comprendre que la bonification en question n'a pas été prise en considération par les différentes directions de l'éducation. La dite bonification, rappelons-le, a été décidée par Benbouzid, à la fin du mois dernier quand la grève de la faim des contractuels battait son plein. Notre interlocutrice fera savoir que le Cnec possède les listes des admis de plusieurs wilayas et nous savons que les contractuels n'ont bénéficié d'aucune bonification. Interrogé par les représentants du Cnec au sujet de la titularisation massive de 2001 et qui a profité à la majorité des enseignants contractuels exerçant à ce moment là, Khaldi répondra que cette opération « était une erreur». Selon ce responsable, il s'est avéré par la suite que prés de la moitié des enseignants ayant bénéficiés de cette opération n'avaient pas de diplômes. Un argument de plus pour Khaldi qui veut pousser ses vis-à-vis, à renoncer à leurs revendications. Le représentant de Benbouzid n'a pas manqué lors de cette rencontre de signifier à ses hôtes que le Cnec est une organisation illégale puisqu'il n'a pas obtenu d'agrément. Par ailleurs, Maarouf Meriem nous indiquera que le bureau du Cnec se réunira prochainement pour décider de la réponse à donner au ministère de l'Education. « Il y aura assurément d'autres actions de protestation», a-t-elle affirmé. La rencontre ayant réunis hier les représentants des enseignants contractuels avec Boubkeur Khaldi, secrétaire général du ministère de l'Education, n'a rien donnée. «Le SG a passé tout son temps à nous parler des concours avant de nous signifier qu'il n'y aura aucun autre moyen de titularisation en dehors de ces épreuves.» Plus loin, le commis de l'Etat a bien profité de cette entrevue, tant réclamée par les grévistes de la faim, pour leur donner ce qui ressemble à une « leçon de morale ». « Arrêtez de perdre du temps et passez les concours de titularisation » ou encore «ne sacrifiez pas» a Conseillé Khaldi à ses hôtes. Selon Maarouf Meriem, Khaldi n'a fait que se conformer aux déclarations précédentes du Ministre. Le vis-à-vis des 5 représentants des enseignants contractuels, a défendu, à cette occasion, que « l'administration de l'Education n'est pas tenue de reprendre l'année prochaine les enseignants contractuels. Les contrats de travail prennent fin, le 30 juin de chaque année. » Selon notre interlocutrice, le SG du ministère de l'Education s'est engagé à ouvrir une enquête au sujet de l'application de la bonification concernant l'expérience professionnelle. Le Cnec, avait relevé que la grande partie des admis dans les concours de titularisation étaient de nouveaux diplômés. Un fait qui laisse comprendre que la bonification en question n'a pas été prise en considération par les différentes directions de l'éducation. La dite bonification, rappelons-le, a été décidée par Benbouzid, à la fin du mois dernier quand la grève de la faim des contractuels battait son plein. Notre interlocutrice fera savoir que le Cnec possède les listes des admis de plusieurs wilayas et nous savons que les contractuels n'ont bénéficié d'aucune bonification. Interrogé par les représentants du Cnec au sujet de la titularisation massive de 2001 et qui a profité à la majorité des enseignants contractuels exerçant à ce moment là, Khaldi répondra que cette opération « était une erreur». Selon ce responsable, il s'est avéré par la suite que prés de la moitié des enseignants ayant bénéficiés de cette opération n'avaient pas de diplômes. Un argument de plus pour Khaldi qui veut pousser ses vis-à-vis, à renoncer à leurs revendications. Le représentant de Benbouzid n'a pas manqué lors de cette rencontre de signifier à ses hôtes que le Cnec est une organisation illégale puisqu'il n'a pas obtenu d'agrément. Par ailleurs, Maarouf Meriem nous indiquera que le bureau du Cnec se réunira prochainement pour décider de la réponse à donner au ministère de l'Education. « Il y aura assurément d'autres actions de protestation», a-t-elle affirmé.