Les prix des fruits et légumes pratiqués sur le marché national commencent à connaître une certaine stabilité. C'est ce que nous avons constaté le week-end dernier au niveau des marchés des Trois horloges, Bachdjarah et à Baraki où l'affluence des citoyens est toujours de mise. Les prix sont plus abordables et à la portée de toutes les bourses et ce, comparativement aux premiers jours du mois de jeûne. « La majorité des fruits et légumes ont enrégistré une chute de prix conséquente», notera Amine, un commerçant au marché de Baraki. Au marché des Trois horloge, le piment vendu à 100 dinars le kg au début du mois, est cédé aujourd'hui à 50 dinars. Les dattes ayant atteint les 350 dinars le kg, sont proposées, 13 jours après, sur les mêmes marchés, à 180 dinars le kg. Même évolution à la baisse dans le marché de Baraki où les fruits se vendent à des prix défiant toute concurrence. Ainsi, la pomme de terre est proposée à entre 20 à 25 dinars le kg, la carotte et la courgette sont cédées à 20 dinars. Au rayon des produits carnés, les prix des viandes rouges varient, à l'heure actuelle, entre 600 à 620 dinars le kg, tandis qu'elles étaient affichées à des prix avoisinant, il y a à peine une semaine, 850 dinars le kg. Les viandes congelées sont proposées à des prix allant entre 300 à 320 dinars le kg au moment où les viandes blanches varient entre 200 et 220 dinars le kg. Cette situation s'explique, selon bon nombre de spécialistes, par la diminution des pratiques de spéculation suite aux différents dispositifs de lutte mis en place par l'Etat. Pour les commerçants, la stabilité des prix est due essentiellement à l'abondance de la production des récoltes au niveau national et suite au nouveau système de régulation du marché national introduit par l'Etat. «Le système mis en place permet le contrôle de la mobilité des produits et lutte efficacement contre les pratiques de spéculation qui gangrènent le marché national», relèvera Djamel, un commerçant à Bach djarah. Concernant la spéculation et les conditions inhérentes à la commercialisation des marchandises, les directions de la concurrence et des prix (DCP) se sont déclarées satisfaites de l'amélioration enregistrée au niveau des marchés. Pour parer à ces risques susceptibles de créer des situations de crise, le ministère du Commerce a mis, croit-on savoir, sur pied des brigades chargées de veiller sur l'application des mesures d'hygiène et les conditions de conservation pour les denrée alimentaires et à la régulation des cours des prix des produits de large consommation. A ce propos, il est à signaler que les dites brigades ont opéré à la saisie de plusieurs centaines de tonnes de produits alimentaires avariés, proposés sur les étals des marchés. A titre d'exemple, l'on signale que les services du ministère du Commerce, dans la wilaya d'Alger, ont procédé, durant la première semaine du mois de Ramadhan, à la fermeture de 26 boucheries, et ce, suite aux anomalies liées à l'hygiène et du fait des viandes avariées proposées à la consommation. Les prix des fruits et légumes pratiqués sur le marché national commencent à connaître une certaine stabilité. C'est ce que nous avons constaté le week-end dernier au niveau des marchés des Trois horloges, Bachdjarah et à Baraki où l'affluence des citoyens est toujours de mise. Les prix sont plus abordables et à la portée de toutes les bourses et ce, comparativement aux premiers jours du mois de jeûne. « La majorité des fruits et légumes ont enrégistré une chute de prix conséquente», notera Amine, un commerçant au marché de Baraki. Au marché des Trois horloge, le piment vendu à 100 dinars le kg au début du mois, est cédé aujourd'hui à 50 dinars. Les dattes ayant atteint les 350 dinars le kg, sont proposées, 13 jours après, sur les mêmes marchés, à 180 dinars le kg. Même évolution à la baisse dans le marché de Baraki où les fruits se vendent à des prix défiant toute concurrence. Ainsi, la pomme de terre est proposée à entre 20 à 25 dinars le kg, la carotte et la courgette sont cédées à 20 dinars. Au rayon des produits carnés, les prix des viandes rouges varient, à l'heure actuelle, entre 600 à 620 dinars le kg, tandis qu'elles étaient affichées à des prix avoisinant, il y a à peine une semaine, 850 dinars le kg. Les viandes congelées sont proposées à des prix allant entre 300 à 320 dinars le kg au moment où les viandes blanches varient entre 200 et 220 dinars le kg. Cette situation s'explique, selon bon nombre de spécialistes, par la diminution des pratiques de spéculation suite aux différents dispositifs de lutte mis en place par l'Etat. Pour les commerçants, la stabilité des prix est due essentiellement à l'abondance de la production des récoltes au niveau national et suite au nouveau système de régulation du marché national introduit par l'Etat. «Le système mis en place permet le contrôle de la mobilité des produits et lutte efficacement contre les pratiques de spéculation qui gangrènent le marché national», relèvera Djamel, un commerçant à Bach djarah. Concernant la spéculation et les conditions inhérentes à la commercialisation des marchandises, les directions de la concurrence et des prix (DCP) se sont déclarées satisfaites de l'amélioration enregistrée au niveau des marchés. Pour parer à ces risques susceptibles de créer des situations de crise, le ministère du Commerce a mis, croit-on savoir, sur pied des brigades chargées de veiller sur l'application des mesures d'hygiène et les conditions de conservation pour les denrée alimentaires et à la régulation des cours des prix des produits de large consommation. A ce propos, il est à signaler que les dites brigades ont opéré à la saisie de plusieurs centaines de tonnes de produits alimentaires avariés, proposés sur les étals des marchés. A titre d'exemple, l'on signale que les services du ministère du Commerce, dans la wilaya d'Alger, ont procédé, durant la première semaine du mois de Ramadhan, à la fermeture de 26 boucheries, et ce, suite aux anomalies liées à l'hygiène et du fait des viandes avariées proposées à la consommation.