Profitant d'un projet de loi, répercuté par la presse nationale, conçu par le ministère des Transports mais non encore adopté par le gouvernement et l'APN, les gérants d'auto-écoles ont rapidement profité du filon. Profitant d'un projet de loi, répercuté par la presse nationale, conçu par le ministère des Transports mais non encore adopté par le gouvernement et l'APN, les gérants d'auto-écoles ont rapidement profité du filon. Décidément, les auto-écoles escroquent sans scrupules les citoyens. Ces derniers sont amenés à débourser entre 18.000 et 20.000 dinars pour les cours consacrés à l'obtention du permis de conduire. Des tarifs mirobolants qui ne sont guère justifiés. Pis encore, ces sommes exigées aux citoyens de la part des gérants des auto-écoles sont en réalité tout bonnement illégales. Profitant d'un projet de loi, répercuté par la presse nationale, conçu par le ministère du Transport mais non encore adopté par le gouvernement et l'APN, les gérants d'auto-écoles ont rapidement profité du filon. En effet, depuis que le sujet de révision du coût d'inscription au permis de conduire a été évoquée par le ministère des Transports, toutes les auto-écoles ont recouru à l'augmentation de leurs tarifs arguant de l'amélioration des prestations, mais sans qu'un nouveau code ne soit pour autant adopté par les pouvoirs publics. Les auto-écoles ont par ailleurs été prises d'assaut ces derniers mois après la circulation d'une information faisant état d'un coût de 30.000 dinars pour l'obtention du permis de conduire. De nombreux candidats ont préféré déposer leur dossier avant que l'augmentation n'entre en vigueur, alors qu'en réalité, la hausse est tributaire de la promulgation d'un nouveau code de la route fixant l'activité des auto-écoles. En effet, l'augmentation du coût ne se fait pas sans contrepartie puisque la prestation doit aussi être revue. A ce propos, plusieurs responsables du ministère des Transports ont reconnu récemment que l'augmentation du coût d'inscription au permis de conduire n'entrera pas en vigueur ce mois-ci car le projet de loi relatif au code de la route n'a pas encore été inclus dans la liste des projets de loi qui seront débattus et votés durant la session d'automne du parlement. Le coût d'inscription au permis de conduire ne devra pas par conséquent dépasser les dix mille dinars comme il est prévu par la réglementation actuelle. Or, de cette réglementation, les gérants des auto-écoles n'en ont cure puisque ils pratiquent depuis l'été des tarifications illégales qui ont généré une grande anarchie, plus dangereuse que celle des transports, de l'avis de Mohammed Ben Hamou, ancien président de la commission des transports à l'Assemblée Populaire Nationale, qui n'hésite plus à tirer la sonnette d'alarme dans les colonnes de la presse nationale tout en appelant les autorités à réagir aux dépassements des gérants d'auto-écoles. Pour s'enquérir encore plus de cette situation, nous nous sommes rendus dans plusieurs auto-écoles de la capitale. La plupart des gérants que nous avons rencontrés n'ont pas souhaité nous fournir la moindre justification quant aux augmentations de tarifs imposées à nos citoyens. « C'est le ministère qui nous a poussé à ces augmentations. C'est lui qui veut la pagaille », nous lance un gérant d'une auto-école à Birkhadem qui, lui aussi, n'étale pourtant aucun document, note ministérielle ou un quelconque arrêté, expliquant ou justifiant ces nouvelles augmentations. D'autres gérants nous ont confié que c'est le comité national des auto-écoles qui a appelé ses adhérents à opérer cette nouvelle tarification. C'est dire donc que les augmentations appliquées par les auto-écoles sont illégales car ne s'appuyant sur aucun texte de loi. De leur côté, les citoyens prennent leur mal en patience et acceptent de subir la loi de l'arbitraire. « Que voulez-vous qu'on fasse. J'ai vraiment besoin de ce permis. De nombreuses entreprises l'exigent désormais pour un poste de travail. Je suis donc obligé de payer le prix qu'il faut. Ce n'est pas quand même pas aux citoyens de veiller au respect de loi ! », Commente Amin, 24 ans, qui espère que les prix n'augmenteront pas encore dans les jours à venir. Décidément, les auto-écoles escroquent sans scrupules les citoyens. Ces derniers sont amenés à débourser entre 18.000 et 20.000 dinars pour les cours consacrés à l'obtention du permis de conduire. Des tarifs mirobolants qui ne sont guère justifiés. Pis encore, ces sommes exigées aux citoyens de la part des gérants des auto-écoles sont en réalité tout bonnement illégales. Profitant d'un projet de loi, répercuté par la presse nationale, conçu par le ministère du Transport mais non encore adopté par le gouvernement et l'APN, les gérants d'auto-écoles ont rapidement profité du filon. En effet, depuis que le sujet de révision du coût d'inscription au permis de conduire a été évoquée par le ministère des Transports, toutes les auto-écoles ont recouru à l'augmentation de leurs tarifs arguant de l'amélioration des prestations, mais sans qu'un nouveau code ne soit pour autant adopté par les pouvoirs publics. Les auto-écoles ont par ailleurs été prises d'assaut ces derniers mois après la circulation d'une information faisant état d'un coût de 30.000 dinars pour l'obtention du permis de conduire. De nombreux candidats ont préféré déposer leur dossier avant que l'augmentation n'entre en vigueur, alors qu'en réalité, la hausse est tributaire de la promulgation d'un nouveau code de la route fixant l'activité des auto-écoles. En effet, l'augmentation du coût ne se fait pas sans contrepartie puisque la prestation doit aussi être revue. A ce propos, plusieurs responsables du ministère des Transports ont reconnu récemment que l'augmentation du coût d'inscription au permis de conduire n'entrera pas en vigueur ce mois-ci car le projet de loi relatif au code de la route n'a pas encore été inclus dans la liste des projets de loi qui seront débattus et votés durant la session d'automne du parlement. Le coût d'inscription au permis de conduire ne devra pas par conséquent dépasser les dix mille dinars comme il est prévu par la réglementation actuelle. Or, de cette réglementation, les gérants des auto-écoles n'en ont cure puisque ils pratiquent depuis l'été des tarifications illégales qui ont généré une grande anarchie, plus dangereuse que celle des transports, de l'avis de Mohammed Ben Hamou, ancien président de la commission des transports à l'Assemblée Populaire Nationale, qui n'hésite plus à tirer la sonnette d'alarme dans les colonnes de la presse nationale tout en appelant les autorités à réagir aux dépassements des gérants d'auto-écoles. Pour s'enquérir encore plus de cette situation, nous nous sommes rendus dans plusieurs auto-écoles de la capitale. La plupart des gérants que nous avons rencontrés n'ont pas souhaité nous fournir la moindre justification quant aux augmentations de tarifs imposées à nos citoyens. « C'est le ministère qui nous a poussé à ces augmentations. C'est lui qui veut la pagaille », nous lance un gérant d'une auto-école à Birkhadem qui, lui aussi, n'étale pourtant aucun document, note ministérielle ou un quelconque arrêté, expliquant ou justifiant ces nouvelles augmentations. D'autres gérants nous ont confié que c'est le comité national des auto-écoles qui a appelé ses adhérents à opérer cette nouvelle tarification. C'est dire donc que les augmentations appliquées par les auto-écoles sont illégales car ne s'appuyant sur aucun texte de loi. De leur côté, les citoyens prennent leur mal en patience et acceptent de subir la loi de l'arbitraire. « Que voulez-vous qu'on fasse. J'ai vraiment besoin de ce permis. De nombreuses entreprises l'exigent désormais pour un poste de travail. Je suis donc obligé de payer le prix qu'il faut. Ce n'est pas quand même pas aux citoyens de veiller au respect de loi ! », Commente Amin, 24 ans, qui espère que les prix n'augmenteront pas encore dans les jours à venir.