Autant l'Unasur que préside le Chili, que le groupe de Rio, viennent d'exprimer leur attachement au respect de l'ordre constitutionnel et de l'intégrité territoriale de la Bolivie en proie à une sédition menée par les gouverneurs des cinq provinces les plus riches. Autant l'Unasur que préside le Chili, que le groupe de Rio, viennent d'exprimer leur attachement au respect de l'ordre constitutionnel et de l'intégrité territoriale de la Bolivie en proie à une sédition menée par les gouverneurs des cinq provinces les plus riches. La nationalisation par Evo Morales des hydrocarbures, la restitution des terres aux paysans et l'expulsion de l'ambassadeur américain soupçonné de pousser à un coup d'état civil contre le président ont achevé de diviser ce pays traditionnellement arrière cour des Etats-Unis . La crise ouverte entre le président bolivien Evo Morales et les cinq gouverneurs des provinces frondeuses qui contestent la quasi-totalité de ses projets, entre autres, la nationalisation des hydrocarbures, la redistribution des terres aux pays pauvres et la révision constitutionnelle, a largement dépassé les frontières du pays puisque deux réunion continentales ont été convoquées à l'effet de se pencher sur les possibilités de mettre fin à cette situation d'instabilité et de violence. Une première réunion vient tout juste de prendre fin à Santiago, la capitale chilienne qui assure présentement la présidence tournante de l'Union des nations sud américaines (Unasur). Cette réunion extraordinaire a été convoquée par la présidente chilienne Michelle Bachelet et a regroupé les neuf pays concernés. La déclaration lue à la presse à la fin de cette réunion fait état de « l'appel au dialogue entre les deux parties en conflit pour parvenir à une solution durable qui puisse mettre fin à la grave crise politique actuelle. » On sait que les présidents des régions boliviennes ont tenu, en marge de cette réunion, à adresser une motion de soutien total au président élu Evo Morales. Cette déclaration porte le nom symbolique de « déclaration de la Moncada », du nom du palais présidentiel chilien où a été assassiné l'ex président chilien, Salvador Allende. La déclaration rappelle qu'elle « soutient le gouvernement constitutionnel d'Evo Morales dont le mandat a été ratifié par le référendum révocatoire d'août passé. » Pour ce qui la concerne, l'Unasur a rendu publique une déclaration dans laquelle elle affirme sa volonté de ne pas « reconnaître une situation éventuelle de coup d'état civil et de rupture de l'ordre constitutionnel qui puisse compromettre l'union de la république bolivienne. " On sait qu'à l'ouverture des travaux de cette réunion extraordinaire, le président Morales s'était déclaré « victime d'une tentative de coup d'état civil de la part des gouverneurs de régions contrôlées par l'opposition. » Par ailleurs, l'Unasur a également convenu du principe de l'envoi d'une commission d'enquête chargée de faire toute la lumière suer l'origine des violences qui ont entraîné la mort d'une vingtaine de citoyens boliviens ces quatre derniers jours. Le ministre chilien des affaires étrangères a pour sa part proposé l'installation d'une table ronde pour instaurer un dialogue qui pourrait être « accompagné par la présidence actuelle de l'Unasur », c'est-à-dire par le Chili. Le Chili a aussi avancé l'idée de l'envoi d'une mission conjointe Unasur et OEA (l'Organisation des Etats américains), et ce, pour établir un calendrier visant à en finir avec les violences. A Mexico, et il s'agit là de la deuxième réunion consacrée à la situation en Bolivie, le groupe de Rio qui comprend 22 pays d'Amérique latine a exprimé son soutien avec la Bolivie et rappelé le principe de respect de l'intégrité territoriale de ce pays. Rappelons enfin que les violences actuelles sont le fait des cinq gouverneurs des provinces qui contrôlent les principales richesses naturelles Boliviennes et opposées à la politique poursuivie depuis son accession au pouvoir par le président Evo Morales. La nationalisation par Evo Morales des hydrocarbures, la restitution des terres aux paysans et l'expulsion de l'ambassadeur américain soupçonné de pousser à un coup d'état civil contre le président ont achevé de diviser ce pays traditionnellement arrière cour des Etats-Unis . La crise ouverte entre le président bolivien Evo Morales et les cinq gouverneurs des provinces frondeuses qui contestent la quasi-totalité de ses projets, entre autres, la nationalisation des hydrocarbures, la redistribution des terres aux pays pauvres et la révision constitutionnelle, a largement dépassé les frontières du pays puisque deux réunion continentales ont été convoquées à l'effet de se pencher sur les possibilités de mettre fin à cette situation d'instabilité et de violence. Une première réunion vient tout juste de prendre fin à Santiago, la capitale chilienne qui assure présentement la présidence tournante de l'Union des nations sud américaines (Unasur). Cette réunion extraordinaire a été convoquée par la présidente chilienne Michelle Bachelet et a regroupé les neuf pays concernés. La déclaration lue à la presse à la fin de cette réunion fait état de « l'appel au dialogue entre les deux parties en conflit pour parvenir à une solution durable qui puisse mettre fin à la grave crise politique actuelle. » On sait que les présidents des régions boliviennes ont tenu, en marge de cette réunion, à adresser une motion de soutien total au président élu Evo Morales. Cette déclaration porte le nom symbolique de « déclaration de la Moncada », du nom du palais présidentiel chilien où a été assassiné l'ex président chilien, Salvador Allende. La déclaration rappelle qu'elle « soutient le gouvernement constitutionnel d'Evo Morales dont le mandat a été ratifié par le référendum révocatoire d'août passé. » Pour ce qui la concerne, l'Unasur a rendu publique une déclaration dans laquelle elle affirme sa volonté de ne pas « reconnaître une situation éventuelle de coup d'état civil et de rupture de l'ordre constitutionnel qui puisse compromettre l'union de la république bolivienne. " On sait qu'à l'ouverture des travaux de cette réunion extraordinaire, le président Morales s'était déclaré « victime d'une tentative de coup d'état civil de la part des gouverneurs de régions contrôlées par l'opposition. » Par ailleurs, l'Unasur a également convenu du principe de l'envoi d'une commission d'enquête chargée de faire toute la lumière suer l'origine des violences qui ont entraîné la mort d'une vingtaine de citoyens boliviens ces quatre derniers jours. Le ministre chilien des affaires étrangères a pour sa part proposé l'installation d'une table ronde pour instaurer un dialogue qui pourrait être « accompagné par la présidence actuelle de l'Unasur », c'est-à-dire par le Chili. Le Chili a aussi avancé l'idée de l'envoi d'une mission conjointe Unasur et OEA (l'Organisation des Etats américains), et ce, pour établir un calendrier visant à en finir avec les violences. A Mexico, et il s'agit là de la deuxième réunion consacrée à la situation en Bolivie, le groupe de Rio qui comprend 22 pays d'Amérique latine a exprimé son soutien avec la Bolivie et rappelé le principe de respect de l'intégrité territoriale de ce pays. Rappelons enfin que les violences actuelles sont le fait des cinq gouverneurs des provinces qui contrôlent les principales richesses naturelles Boliviennes et opposées à la politique poursuivie depuis son accession au pouvoir par le président Evo Morales.