L'Ecole normale supérieure (ENS) de Constantine, créée en 1998 est aujourd'hui plus sollicitée par les bacheliers que les branches médicales. Les conditions d'accès à la formation au sein de l'établissement, qui sont des plus sévères, ne semblent pas dissuader les candidats, affirme hier son directeur, M. Mohamed Reghioua. Les candidats à une formation dans cet établissement de l'enseignement supérieur doivent, en effet, justifier d'une moyenne de 14,5 et plus au baccalauréat et réussir à un test psychotechnique destiné à évaluer leur culture générale et surtout leur niveau de motivation à exercer le dur métier d'enseignant. Sur 972 candidats, 672 ont pu réussir le test, pour cette rentrée, a indiqué M. Reghioua. Selon lui, les ENS de Constantine, d'Alger et d'Oran figurent parmi les seuls établissements pédagogiques à garantir l'emploi à leurs diplômés, leurs étudiants étant contractuellement liés avec le ministère de l'Education nationale. Cet avantage de taille a fait que cette année, à l'ENS de Constantine, le nombre de nouveaux étudiants représente plus du double des sortants. Un fait qui a obligé les responsables de l'établissement à recourir à des aménagements et autres solutions palliatives pour créer des salles de classes supplémentaires, nécessaires à l'accueil du surnombre. Ceci, en attendant la réalisation des locaux définitifs de l'école qui compte quelques 4.000 places pédagogiques pour l'ENS au sein de la future ville universitaire de Constantine. Les aménagements entrepris cette année ont également permis de doter l'école d'une salle de visioconférence équipée de matériel sophistiqué, d'une bibliothèque et de deux amphithéâtres de nouvelle génération. Dans ce sillage, des spécialistes du Fonds Spécial Prioritaire (FSP), un programme européen qui vise à améliorer la formation des formateurs en langue française, sont à pied d'œuvre pour entamer une formation de professeurs référents de l'ENS. Ces derniers vont, à leur tour, se multiplier pour assurer la formation d'autres formateurs dans cette langue. On envisage également d'ouvrir progressivement au sein de cette même école, des filières scientifiques et techniques en fonction des moyens disponibles. L'Ecole normale supérieure (ENS) de Constantine, créée en 1998 est aujourd'hui plus sollicitée par les bacheliers que les branches médicales. Les conditions d'accès à la formation au sein de l'établissement, qui sont des plus sévères, ne semblent pas dissuader les candidats, affirme hier son directeur, M. Mohamed Reghioua. Les candidats à une formation dans cet établissement de l'enseignement supérieur doivent, en effet, justifier d'une moyenne de 14,5 et plus au baccalauréat et réussir à un test psychotechnique destiné à évaluer leur culture générale et surtout leur niveau de motivation à exercer le dur métier d'enseignant. Sur 972 candidats, 672 ont pu réussir le test, pour cette rentrée, a indiqué M. Reghioua. Selon lui, les ENS de Constantine, d'Alger et d'Oran figurent parmi les seuls établissements pédagogiques à garantir l'emploi à leurs diplômés, leurs étudiants étant contractuellement liés avec le ministère de l'Education nationale. Cet avantage de taille a fait que cette année, à l'ENS de Constantine, le nombre de nouveaux étudiants représente plus du double des sortants. Un fait qui a obligé les responsables de l'établissement à recourir à des aménagements et autres solutions palliatives pour créer des salles de classes supplémentaires, nécessaires à l'accueil du surnombre. Ceci, en attendant la réalisation des locaux définitifs de l'école qui compte quelques 4.000 places pédagogiques pour l'ENS au sein de la future ville universitaire de Constantine. Les aménagements entrepris cette année ont également permis de doter l'école d'une salle de visioconférence équipée de matériel sophistiqué, d'une bibliothèque et de deux amphithéâtres de nouvelle génération. Dans ce sillage, des spécialistes du Fonds Spécial Prioritaire (FSP), un programme européen qui vise à améliorer la formation des formateurs en langue française, sont à pied d'œuvre pour entamer une formation de professeurs référents de l'ENS. Ces derniers vont, à leur tour, se multiplier pour assurer la formation d'autres formateurs dans cette langue. On envisage également d'ouvrir progressivement au sein de cette même école, des filières scientifiques et techniques en fonction des moyens disponibles.