La Fondation a, dans un communiqué parvenu à notre rédaction, qualifié les déclarations de Sidi Saïd « de surprenantes et infondées ». Pour les représentants de cette association, les déclarations « virulentes » de Sidi Saïd sont donc surprenantes. La Fondation a, dans un communiqué parvenu à notre rédaction, qualifié les déclarations de Sidi Saïd « de surprenantes et infondées ». Pour les représentants de cette association, les déclarations « virulentes » de Sidi Saïd sont donc surprenantes. La Fondation Friedrich Ebert est revenue à la charge, hier, pour répondre à Abdelmadjid Sidi Saïd, secrétaire général de l'Ugta, suite à ses propos «critiques » tenus récemment à l'encontre de l'association. La Fondation a, dans un communiqué parvenu à notre rédaction, qualifié les déclarations de Sidi Saïd « de surprenantes et infondées ». Le patron de la centrale syndicale, rappelons-le, a accusé, mardi dernier, cette association étrangère (allemande) de s' « immiscer dans les affaires internes, propres aux Algériens, outrepassant donc ses prérogatives et missions initiales ». Pour les représentants de cette association, les déclarations « virulentes » de Sidi Saïd sont donc « surprenantes », d'abord au vu « du rôle reconnu de la Fondation en matière de soutien à la Révolution algérienne et particulièrement de l'Ugta dès les années 1950». Et l'hommage, indique-t-on, rendu dans ce sens, par de hauts responsables algériens à feu Hans Jurgen Wischnewski «illustre» à plus d'un titre, la qualité des rapports entre l'Algérie et la Fondation. Aussi, les membres de la Fondation se disent «surpris» vu notamment, «les rapports récents entre la Fondation et l'Ugta» ; « dès l'ouverture de son bureau à Alger, la Fondation a considéré l'Ugta : comme un partenaire privilégié et, pour preuve, l'a intégré dans le projet triennal (2004-2007), un projet soutenu par la commission européenne », lit-on dans le même communiqué. Ensuite, les « accusés » qualifient également les déclarations de Sidi Saïd d' « infondées » pour «la simple raison, dit-on, que la Fondation n'a jamais émis un quelconque jugement de valeur ni sur les questions économiques, sociales ou syndicales, ni sur les personnes ». Ils sont persuadés que leur association exerce ses multiples activités, et évolue dans le « strict respect de la législation algérienne et dans la transparence la plus totale ». De ce fait, les représentant de cette association allemande, créée en 1925, indiquent que la Fondation a visé, depuis l'ouverture de son bureau à Alger, «l'affermissement des capacités algériennes et de ses organisations sociales à affronter les défis d'un monde en plein bouleversements, et ce, conformément à sa mission initiale ». C'est d'ailleurs dans ce sens, ajoute-t-on, que la Fondation a lancé cette année (2008) après avoir «avisé les autorités du pays d'accueil et sollicité la contribution de leurs compétences ; une émission visant à développer des réflexions sur des questions d'actualité aux fins d'alimenter des débats publics auxquels des administrations publiques et les organisations de la société civile ont été conviées». Donc, des actions, souligne-t-on, s'inscrivant bien «dans les missions de la Fondation, notamment celle du renforcement de la démocratie». Par ailleurs, on apprend de source proche de la Fondation que l'ambassadeur d'Allemagne est attendu dimanche prochain, pour prendre part à une conférence-débat programmée par l'association. Une occasion pour répondre au patron de l'Ugta ? La Fondation Friedrich Ebert est revenue à la charge, hier, pour répondre à Abdelmadjid Sidi Saïd, secrétaire général de l'Ugta, suite à ses propos «critiques » tenus récemment à l'encontre de l'association. La Fondation a, dans un communiqué parvenu à notre rédaction, qualifié les déclarations de Sidi Saïd « de surprenantes et infondées ». Le patron de la centrale syndicale, rappelons-le, a accusé, mardi dernier, cette association étrangère (allemande) de s' « immiscer dans les affaires internes, propres aux Algériens, outrepassant donc ses prérogatives et missions initiales ». Pour les représentants de cette association, les déclarations « virulentes » de Sidi Saïd sont donc « surprenantes », d'abord au vu « du rôle reconnu de la Fondation en matière de soutien à la Révolution algérienne et particulièrement de l'Ugta dès les années 1950». Et l'hommage, indique-t-on, rendu dans ce sens, par de hauts responsables algériens à feu Hans Jurgen Wischnewski «illustre» à plus d'un titre, la qualité des rapports entre l'Algérie et la Fondation. Aussi, les membres de la Fondation se disent «surpris» vu notamment, «les rapports récents entre la Fondation et l'Ugta» ; « dès l'ouverture de son bureau à Alger, la Fondation a considéré l'Ugta : comme un partenaire privilégié et, pour preuve, l'a intégré dans le projet triennal (2004-2007), un projet soutenu par la commission européenne », lit-on dans le même communiqué. Ensuite, les « accusés » qualifient également les déclarations de Sidi Saïd d' « infondées » pour «la simple raison, dit-on, que la Fondation n'a jamais émis un quelconque jugement de valeur ni sur les questions économiques, sociales ou syndicales, ni sur les personnes ». Ils sont persuadés que leur association exerce ses multiples activités, et évolue dans le « strict respect de la législation algérienne et dans la transparence la plus totale ». De ce fait, les représentant de cette association allemande, créée en 1925, indiquent que la Fondation a visé, depuis l'ouverture de son bureau à Alger, «l'affermissement des capacités algériennes et de ses organisations sociales à affronter les défis d'un monde en plein bouleversements, et ce, conformément à sa mission initiale ». C'est d'ailleurs dans ce sens, ajoute-t-on, que la Fondation a lancé cette année (2008) après avoir «avisé les autorités du pays d'accueil et sollicité la contribution de leurs compétences ; une émission visant à développer des réflexions sur des questions d'actualité aux fins d'alimenter des débats publics auxquels des administrations publiques et les organisations de la société civile ont été conviées». Donc, des actions, souligne-t-on, s'inscrivant bien «dans les missions de la Fondation, notamment celle du renforcement de la démocratie». Par ailleurs, on apprend de source proche de la Fondation que l'ambassadeur d'Allemagne est attendu dimanche prochain, pour prendre part à une conférence-débat programmée par l'association. Une occasion pour répondre au patron de l'Ugta ?