A l'instar des autres villes du pays, Constantine n'est pas restée insensible à ce qui se passe à Ghardaïa. La catastrophe naturelle qui a secoué les mozabits durant le premier jour de l'Aid El Fitr était effrayante. Elle a suscité l'émoi parmi le peuple algérien. A Constantine, l'acte de solidarité était entaché par une sorte de lenteur inexpliquée. En effet, ce n'est qu'hier soir que la caravane de solidarité constantinoise a pris la route vers Ghardaïa. Il a fallu attendre cinq jours pour accomplir une action, pourtant, spontanée. C'est discourtois ! En plus des denrées alimentaires, des effets vestimentaires et des fournitures scolaires qui ont été dépêchés, hier, vers cette ville sinistrée par le croissant rouge algérien de la wilaya de Constantine, un convoi de matériels de sauvetage et d'intervention a été, aussi, assuré par la direction de la protection civile. Des agents de la protection civile, dirigés par leur capitaine ont été mobilisés et affectés sur les lieux du drame pour venir en aide à la population sinistrée. Selon un responsable de la protection civile, le convoi envoyé par ladite institution est hautement qualifié. Selon ses dires, il a été doté d'un matériel sophistiqué et haut de gamme destiné à ce genre de catastrophe. La ville des ponts a manifesté un autre signe de solidarité avec les citoyens de Ghardaïa : La tragédie qui s'est abattue sur cette ville a fait de la rue de LArbi Ben M'hidi ex-Trik Jdida, une cité sans âme. Les commerçants de cette rue, dont la majorité sont originaires de ghardaia, ont baissé les rideaux de leurs commerces. Depuis la date de la catastrophe, Trik Jdida s'est transformée en un véritable quartier fantôme. K. B. A l'instar des autres villes du pays, Constantine n'est pas restée insensible à ce qui se passe à Ghardaïa. La catastrophe naturelle qui a secoué les mozabits durant le premier jour de l'Aid El Fitr était effrayante. Elle a suscité l'émoi parmi le peuple algérien. A Constantine, l'acte de solidarité était entaché par une sorte de lenteur inexpliquée. En effet, ce n'est qu'hier soir que la caravane de solidarité constantinoise a pris la route vers Ghardaïa. Il a fallu attendre cinq jours pour accomplir une action, pourtant, spontanée. C'est discourtois ! En plus des denrées alimentaires, des effets vestimentaires et des fournitures scolaires qui ont été dépêchés, hier, vers cette ville sinistrée par le croissant rouge algérien de la wilaya de Constantine, un convoi de matériels de sauvetage et d'intervention a été, aussi, assuré par la direction de la protection civile. Des agents de la protection civile, dirigés par leur capitaine ont été mobilisés et affectés sur les lieux du drame pour venir en aide à la population sinistrée. Selon un responsable de la protection civile, le convoi envoyé par ladite institution est hautement qualifié. Selon ses dires, il a été doté d'un matériel sophistiqué et haut de gamme destiné à ce genre de catastrophe. La ville des ponts a manifesté un autre signe de solidarité avec les citoyens de Ghardaïa : La tragédie qui s'est abattue sur cette ville a fait de la rue de LArbi Ben M'hidi ex-Trik Jdida, une cité sans âme. Les commerçants de cette rue, dont la majorité sont originaires de ghardaia, ont baissé les rideaux de leurs commerces. Depuis la date de la catastrophe, Trik Jdida s'est transformée en un véritable quartier fantôme. K. B.