La presse d'Etat zimbabwéenne a accusé hier l'opposition de bloquer les pourparlers à propos de la formation d'un gouvernement d'union en tentant de «rouvrir des dossiers déjà réglés». «Les discussions sur le gouvernement se heurtent à un mur de briques», écrit le quotidien d'Etat The Herald, poursuivant que le Mouvement pour le changement démocratique (MDC), principal part d'opposition, «négocie avec mauvaise foi» et tente de «rouvrir tous les sujets sur lesquels il y déjà eu un accord». Citant des sources proches des pourparlers en cours sur un gouvernement d'union et un partage du pouvoir, le journal accuse le leader du MDC, Morgan Tsvangirai d'être «soumis à des pressions» occidentales pour «créer délibérément un blocage de manière à dessaisir» le médiateur sud-africain Thabo Mbeki de la médiation et la «confier à l'Union africaine et aux Nations unies». «Nous n'avons pas changé de position, nous sommes cohérents dans nos demandes», a indiqué d'autre part Nelson Chamisa, porte-parole du MDC. «Notre position a toujours été d'obtenir une répartition équitable des ministères», a-t-il affirmé. «Nous voulons des responsabilités avec de l'autorité, nous ne ferons pas de compromis là-dessus», a-t-il poursuivi, en accusant le parti au pouvoir de «parler en blanc mais d'agir en noir». La presse d'Etat zimbabwéenne a accusé hier l'opposition de bloquer les pourparlers à propos de la formation d'un gouvernement d'union en tentant de «rouvrir des dossiers déjà réglés». «Les discussions sur le gouvernement se heurtent à un mur de briques», écrit le quotidien d'Etat The Herald, poursuivant que le Mouvement pour le changement démocratique (MDC), principal part d'opposition, «négocie avec mauvaise foi» et tente de «rouvrir tous les sujets sur lesquels il y déjà eu un accord». Citant des sources proches des pourparlers en cours sur un gouvernement d'union et un partage du pouvoir, le journal accuse le leader du MDC, Morgan Tsvangirai d'être «soumis à des pressions» occidentales pour «créer délibérément un blocage de manière à dessaisir» le médiateur sud-africain Thabo Mbeki de la médiation et la «confier à l'Union africaine et aux Nations unies». «Nous n'avons pas changé de position, nous sommes cohérents dans nos demandes», a indiqué d'autre part Nelson Chamisa, porte-parole du MDC. «Notre position a toujours été d'obtenir une répartition équitable des ministères», a-t-il affirmé. «Nous voulons des responsabilités avec de l'autorité, nous ne ferons pas de compromis là-dessus», a-t-il poursuivi, en accusant le parti au pouvoir de «parler en blanc mais d'agir en noir».