Plus d'une cinquantaine d'artistes, toutes disciplines confondues, participent au 1er Salon d'automne, organisé par le palais de la Culture à Alger, et ouvert samedi au public. «Nous voulons faire de ce Salon un important rendez-vous de la création artistique contemporaine algérienne placé sous le signe de la découverte de talents, et surtout, impulser le mouvement créateur (...)», ont indiqué les organisateurs de cette manifestation regroupant des peintres, des sculpteurs, des céramistes, des calligraphes et des photographes, venus de plusieurs wilayas du pays. Ce salon, qui se veut «un mini-panorama» des arts plastiques contemporains algériens, regroupe des oeuvres de différents styles, techniques, genres et tendances artistiques. Benazouz Noureddine a exposé deux peintures abstraites riches en matière, mettant en valeur la beauté des paysages de campagne tandis que Djebabla Kadira a évoqué la ville, ses constructions modernes ainsi que son animation à travers des compositions géométriques rehaussées par des contrastes de couleurs (bleus, jaunes et oranges). Nacer Douadi et Amor Idriss Dokman, pour leur part, ont préféré parler de l'être humain, de ses préoccupations et de ses rapports avec l'autre, comme le montrent les tableaux de style abstrait et symbolique intitulés respectivement «L'acteur» et «Mina». L'être humain est également évoqué par Abla Rettab qui a opté pour la céramique de tendance moderne ainsi que le photographe Rachid Merzougi qui a mis en valeur ses différentes créations par l'ajout de couleurs pastels. Omar Khiter, Hocine Samri et Sebara Khaled ont repris la calligraphie arabe en lui donnant une touche personnelle contemporaine aussi bien du point de vue de la composition que des couleurs. La sculpture a également occupé une place de choix dans cette exposition avec notamment la participation de l'artiste Abdelaziz Amrani qui a présenté deux sculptures sur bois portant les titres «Summum de la valeur humaine» et «Egoïsme» et de Yamina Gouichiche qui a utilisé l'os comme matière de base. «Le rassemblement de ces oeuvres, par-delà leur apparence, est surtout le témoignage de la vitalité de la création artistique dans notre pays», a souligné Driss Lamine Dokman, commissaire de l'exposition, ajoutant qu' «il faut leur donner (aux jeunes artistes) l'occasion d'exposer, de connaître les critiques et surtout le regard posé par le plus grand nombre sur leurs oeuvres». Plus d'une cinquantaine d'artistes, toutes disciplines confondues, participent au 1er Salon d'automne, organisé par le palais de la Culture à Alger, et ouvert samedi au public. «Nous voulons faire de ce Salon un important rendez-vous de la création artistique contemporaine algérienne placé sous le signe de la découverte de talents, et surtout, impulser le mouvement créateur (...)», ont indiqué les organisateurs de cette manifestation regroupant des peintres, des sculpteurs, des céramistes, des calligraphes et des photographes, venus de plusieurs wilayas du pays. Ce salon, qui se veut «un mini-panorama» des arts plastiques contemporains algériens, regroupe des oeuvres de différents styles, techniques, genres et tendances artistiques. Benazouz Noureddine a exposé deux peintures abstraites riches en matière, mettant en valeur la beauté des paysages de campagne tandis que Djebabla Kadira a évoqué la ville, ses constructions modernes ainsi que son animation à travers des compositions géométriques rehaussées par des contrastes de couleurs (bleus, jaunes et oranges). Nacer Douadi et Amor Idriss Dokman, pour leur part, ont préféré parler de l'être humain, de ses préoccupations et de ses rapports avec l'autre, comme le montrent les tableaux de style abstrait et symbolique intitulés respectivement «L'acteur» et «Mina». L'être humain est également évoqué par Abla Rettab qui a opté pour la céramique de tendance moderne ainsi que le photographe Rachid Merzougi qui a mis en valeur ses différentes créations par l'ajout de couleurs pastels. Omar Khiter, Hocine Samri et Sebara Khaled ont repris la calligraphie arabe en lui donnant une touche personnelle contemporaine aussi bien du point de vue de la composition que des couleurs. La sculpture a également occupé une place de choix dans cette exposition avec notamment la participation de l'artiste Abdelaziz Amrani qui a présenté deux sculptures sur bois portant les titres «Summum de la valeur humaine» et «Egoïsme» et de Yamina Gouichiche qui a utilisé l'os comme matière de base. «Le rassemblement de ces oeuvres, par-delà leur apparence, est surtout le témoignage de la vitalité de la création artistique dans notre pays», a souligné Driss Lamine Dokman, commissaire de l'exposition, ajoutant qu' «il faut leur donner (aux jeunes artistes) l'occasion d'exposer, de connaître les critiques et surtout le regard posé par le plus grand nombre sur leurs oeuvres».