Les coureurs cyclistes soumis au passeport biologique ont eu à subir plus de huit tests en moyenne cette saison jusqu'à fin septembre, a indiqué mardi leur association internationale (CPA). Le passeport biologique a été mis en place cette année pour les coureurs de l'élite, soit la totalité des formations sous licence ProTour et quelques équipes de deuxième division. Au total, 749 coureurs ont été concernés par le passeport, selon les chiffres fournis par le CPA, pour un nombre total de 6501 tests, soit une moyenne de 8,6 tests (dont 5,8 contrôles sanguins) par coureur. L'association des coureurs présidée par le Français Cédric Vasseur a précisé que tous les contrôles effectués n'entrent pas dans le cadre du passeport biologique, certains étant seulement des contrôles antidopage classiques. Sur les 6501 tests pratiqués, environ les trois-quarts (4838, répartis en 3906 sanguins et 932 urinaires) l'ont été hors compétition. Par ailleurs, le CPA a fait part des "inquiétudes grandissantes" des coureurs et de la volonté de la majorité d'entre eux "de ne disputer que des compétitions où tous les participants seraient soumis aux mêmes obligations, règles et contrôles médicaux". Une formation telle que la LPR a été récusée lors des deux dernières classiques de la saison (Paris-Tours, Tour de Lombardie), faute d'être en règle par rapport au passeport. En revanche, ses coureurs ont été autorisés à participer à la même époque à d'autres courses. Au récent Tour de Lombardie, deux formations de deuxième division (CSF, Diquigiovanni) ont pu prendre part à la course malgré les interrogations de plusieurs équipes. Selon ces dernières, ces deux formations ont financé réglementairement le passeport mais n'ont pas eu à subir un nombre de tests équivalent à celui des autres. Les coureurs cyclistes soumis au passeport biologique ont eu à subir plus de huit tests en moyenne cette saison jusqu'à fin septembre, a indiqué mardi leur association internationale (CPA). Le passeport biologique a été mis en place cette année pour les coureurs de l'élite, soit la totalité des formations sous licence ProTour et quelques équipes de deuxième division. Au total, 749 coureurs ont été concernés par le passeport, selon les chiffres fournis par le CPA, pour un nombre total de 6501 tests, soit une moyenne de 8,6 tests (dont 5,8 contrôles sanguins) par coureur. L'association des coureurs présidée par le Français Cédric Vasseur a précisé que tous les contrôles effectués n'entrent pas dans le cadre du passeport biologique, certains étant seulement des contrôles antidopage classiques. Sur les 6501 tests pratiqués, environ les trois-quarts (4838, répartis en 3906 sanguins et 932 urinaires) l'ont été hors compétition. Par ailleurs, le CPA a fait part des "inquiétudes grandissantes" des coureurs et de la volonté de la majorité d'entre eux "de ne disputer que des compétitions où tous les participants seraient soumis aux mêmes obligations, règles et contrôles médicaux". Une formation telle que la LPR a été récusée lors des deux dernières classiques de la saison (Paris-Tours, Tour de Lombardie), faute d'être en règle par rapport au passeport. En revanche, ses coureurs ont été autorisés à participer à la même époque à d'autres courses. Au récent Tour de Lombardie, deux formations de deuxième division (CSF, Diquigiovanni) ont pu prendre part à la course malgré les interrogations de plusieurs équipes. Selon ces dernières, ces deux formations ont financé réglementairement le passeport mais n'ont pas eu à subir un nombre de tests équivalent à celui des autres.