De concert avec la Fondation espagnole «Paix et solidarité» de la Catalogne, l'Institut national d'études et de recherches syndicales affilié à l'UGTA a organisé, à Annaba, deux séminaires de formation au profit des cadres syndicalistes et autres travailleurs. Constitués en ateliers pédagogiques, les travaux de ces journées, animées par des experts sur le thème phare «la privatisation et le syndicat en Algérie, état des lieux...» ont pris fin aujourd'hui. plusieurs travailleurs activant dans le secteur économique public, notamment, ont pris part à ces journées où il a été surtout question des tenants et aboutissants des réformes économiques en Algérie et de la stratégie de privatisation adoptée par l'Etat avec ses retombées économiques et sociales. A cet effet, le modèle de privatisation de deux poids lourds de l'industrie en Algérie, comme ASMIDAL et le complexe sidérurgique d'El-Hadjar cédés respectivement aux capitaux espagnols pour le premier et à la firme indienne MITTAL-STEEL pour le second, ont servi de référence et d'exemples d'explicitation du processus de cession de certaines entreprises étatiques aux intérêts étrangers. Le deuxième séminaire s'est particulièrement axé autour d'interventions et de thèmes liés à la promotion et la valorisation des compétences féminines en matière d'activités syndicales. «Les textes prévus par la législation algérienne sur les droits professionnels et syndicaux de la femme ont été mis en exergue» a indiqué Fatma-Zohra, ancienne syndicaliste de SIDER, qui a, à cette occasion, présidé un atelier de formation sur les principaux handicaps existant pour l'intégration réelle de la femme dans les centres de décision dans l'appareil syndical. «Environ 40 femmes issues de plusieurs entreprises ont bénéficié dans ce cadre d'un bref cursus très important pour leur future carrière de cadres syndicales» a souligné Tayeb Hmarnia, secrétaire général de l'Union de wilaya (UGTA) Annaba. R. M. De concert avec la Fondation espagnole «Paix et solidarité» de la Catalogne, l'Institut national d'études et de recherches syndicales affilié à l'UGTA a organisé, à Annaba, deux séminaires de formation au profit des cadres syndicalistes et autres travailleurs. Constitués en ateliers pédagogiques, les travaux de ces journées, animées par des experts sur le thème phare «la privatisation et le syndicat en Algérie, état des lieux...» ont pris fin aujourd'hui. plusieurs travailleurs activant dans le secteur économique public, notamment, ont pris part à ces journées où il a été surtout question des tenants et aboutissants des réformes économiques en Algérie et de la stratégie de privatisation adoptée par l'Etat avec ses retombées économiques et sociales. A cet effet, le modèle de privatisation de deux poids lourds de l'industrie en Algérie, comme ASMIDAL et le complexe sidérurgique d'El-Hadjar cédés respectivement aux capitaux espagnols pour le premier et à la firme indienne MITTAL-STEEL pour le second, ont servi de référence et d'exemples d'explicitation du processus de cession de certaines entreprises étatiques aux intérêts étrangers. Le deuxième séminaire s'est particulièrement axé autour d'interventions et de thèmes liés à la promotion et la valorisation des compétences féminines en matière d'activités syndicales. «Les textes prévus par la législation algérienne sur les droits professionnels et syndicaux de la femme ont été mis en exergue» a indiqué Fatma-Zohra, ancienne syndicaliste de SIDER, qui a, à cette occasion, présidé un atelier de formation sur les principaux handicaps existant pour l'intégration réelle de la femme dans les centres de décision dans l'appareil syndical. «Environ 40 femmes issues de plusieurs entreprises ont bénéficié dans ce cadre d'un bref cursus très important pour leur future carrière de cadres syndicales» a souligné Tayeb Hmarnia, secrétaire général de l'Union de wilaya (UGTA) Annaba. R. M.