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Dans les coulisses d'une émission qui cartonne
Dzair Show
Publié dans Le Midi Libre le 02 - 11 - 2008

Vous voulez découvrir les coulisses d'une émission télévisée ? Vous êtes sur la bonne page. Le Midi Libre a assisté au tournage d'un numéro du talk show «Dzair show» et vous a rapporté le détail de ses coulisses.
Vous voulez découvrir les coulisses d'une émission télévisée ? Vous êtes sur la bonne page. Le Midi Libre a assisté au tournage d'un numéro du talk show «Dzair show» et vous a rapporté le détail de ses coulisses.
C'est la fin de l'après-midi, au moment où le travail de certains se termine, celui d'autres vient juste de commencer. Le Studio d'enregistrement ressemblait à une ruche d'abeilles. Des jeunes hommes et filles, dont la plupart, en T-shirt noir avec le logo «Dzair show» vont et viennent. On se sent presque inutile au milieu de tout ce monde occupé au point de ne pas remarquer notre présence. Avec la chaleur d'une vieille amie, la rédactrice en chef Sophie Aris, qu'on rencontrait pourtant pour la première fois, nous a ouvert les portes du studio et celle de son cœur aussi.
Dans la cabine de maquillage, c'est Sofiane Dani qui précède. Ses invités le suivent un après l'autre. La première émission allait accueillir Djaafer Gassem (réalisateur), Djalel (annimateur) et Merabti Mnouar connu sous le pseudonyme «Slim» (bédéiste).
Le compte à rebours a commencé. Le tournage de l'émission allait démarrer dans peu de temps. La pression augmentait. Elle est interprétée par la rapidité du mouvement de l'équipe technique qui se précipitait à tout vérifier. C'est le deuxième jour de tournage. La rédactrice en chef nous explique que six à sept numéros sont tournés par mois au cours de trois jours. Eh oui, «Dzair show» est diffusée en différé tout comme «Saraha Raha». Le tournage, cependant, se fait en «faux direct».
L'animateur, ses invités et l'équipe technique tournent les séquences comme s'il s'agissait d'un direct. Il n'y a de coupure que si nécessaire. Le faux direct est un mode, d'ailleurs, utilisé dans des programmes télévisés, notamment dans les talk show partout dans le monde. Il grandit les avantages du direct, notamment le rythme et l'interactivité avec le public si public il y a, tout en évitant les inconvénients tels que les pannes techniques ou les erreurs commises par l'animateur ou ses invités, …
Trois, deux, un, ça tourne ! Sofiane Dani est sur le plateau. Il introduit son premier invité : Djaffer Gassem. Les deux autre invités, l'équipe de la rédaction suivaient l'émission sur un écran plasma placé dans une loge indépendante à quelques mètres du plateau. Le thème de la discussion portait sur l'écriture du scénario. Sur ce point, Sophie a fait remarquer que la nouvelle saison de «Dzair show» a pris beaucoup de maturité. «Cela se remarque dans le choix de sujets et dans le débat», précise-t-elle. Cette même responsable a indiqué que la rédaction de l'émission a opté pour débattre de plusieurs sujets qui concernent le monde audiovisuel et culturel. Par cette initiative le «talk show» qui est une nouvelle expérience en Algérie passe à une nouvelle étape. Celle d'un débat consistant. Cette maturité correspond à la maturité de l'animateur même selon Sophie. «Il a beaucoup mûri en tant qu'animateur par rapport à sa première expérience», assure-t-elle. S'agissant de cette nouvelle orientation, Sophie explique qu'il est grand temps de le suivre. Cependant, une stratégie intelligente a été établie pour drainer tous les segments de la société. Le choix des invités joue un rôle très important dans cette stratégie. Certains programmes télévisés préfère répondre aux «goûts de la majorité» en invitant des chanteurs raï par exemple sous prétexte que c'est le style qui marche le mieux. «Dzair show» s'est fixé objectif de ne pas tomber dans ce piège. Son choix stratégique consiste à «ne jamais donner la priorité à la majorité en ignorant la minorité. Bien au contraire, il est plutôt plus intéressant de prendre en considération les goûts de la majorité tout en l'initiant aux goûts de la minorité», selon l'expression de la rédactrice en chef.
«On essaye à travers l'espace qu'occupe notre programme de faire du divertissement constructif», conclut-elle. De plus, le fait de varier les invités est en mesure d'attirer des personnes de goûts différents.
A voir l'émission, il est difficile d'imaginer tout le temps consacré à la préparation. Une équipe de rédaction travaille tout au long d'un mois d'abord, sur le choix des invités, ensuite sur le choix du contenu réservé à chacun d'eux. L'équipe de rédaction est composée de deux journalistes permanents en plus de la rédactrice en chef et plusieurs collaborateurs. Si un travail de recherche assidu suffit pour poser les bonnes questions, celui de trouver de petits «divertissements» auxquels devrait participer les invités requiert beaucoup de créativité. Au cours de cette première émission, par exemple, Djalel a été appelé à préparer des spaghettis avec de la viande de veau et de la sauce tomate. Une mission qu'il a bien réussie. Cette expérience a fait découvrir aux téléspectateurs un aspect qu'ils ne connaissent pas de ce personnage télé. Le premier numéro programmé pour cette journée de tournage s'est achevé. Il est 20 heures. L'équipe quitte le plateau et se dirige vers la salle de restauration. Autour de plusieurs tables, on mange et on discute dans une ambiance presque familiale. Nabil Hamez, journaliste rédacteur sur le même programme, nous explique que les éléments de l'équipe passent beaucoup de temps ensemble. «Il est des semaines où je passe plus de temps avec l'équipe qu'avec ma famille», déclare-t-il. «Vu le temps qu'on passe ensemble, on a intérêt à bien s'entendre entre nous», ajoute-t-il sur un ton plaisantin.
Le dîner est terminé. Il restait environ une heure pour le démarrage du tournage du deuxième numéro. L'équipe technique et celle de rédaction semblaient plus détendues que lors du premier numéro. Le seul qui semblait plus ou moins stressé, c'est l'animateur. Sa démarche et ses gestes témoignaient d'une grande nervosité. C'est ce qu'a d'ailleurs confirmé la rédactrice en chef. «Sofiane a beaucoup de mal à gérer la pression», relève-telle. Pourtant, l'aisance dont fait preuve cet animateur sur le plateau ne laisse pas deviner qu'il «a du mal à gérer la pression». Certaines personnes qui ont travaillé avec Sofiane, ailleurs, affirment qu'il a un caractère assez difficile, notamment avec son équipe. Sophie et d'autres éléments abondent dans un autre sens. «Sofiane est une personne extrêmement loyale qui respecte énormément son équipe», assure-t-elle. «Ce que j'aime personnellement, chez lui, c'est qu'il n'a pas de problème d'ego. Ceci donne à son équipe un grand espace de liberté d'expression», résume-t-elle. Lorsqu'on l'a interrogée sur les défauts de Sofiane, elle s'est contentée de dire avec un rictus moqueur «qu'il leur coûte beaucoup en fond de teint, il a plus de peau que de cheveux». Eh oui ! Sofiane se maquille même le crâne. Sur un ton plus sérieux, la rédactrice de «Dzair Show» juge que Sofiane Dani garde encore certains réflexes de la Radio, ce qui complique un peu la tâche à l'équipe technique pendant le tournage.
Sophie estime, par ailleurs, que Sofiane n'exploite pas ses capacités comme il se doit. «Il est à 20 % seulement de ses capacités». Elle fait remarquer, toutefois, que le côté «show» est très développé chez Sofiane et que l'équipe rêvait de voir ce côté «rugir» de plus en plus sur le plateau. «Sofiane peut vous faire rire même en racontant comment il a acheté sa paire de chaussures», souligne-t-elle. Peut-être qu'à la prochaine saison de «Dzair Show», on verra le côté «one man show» de Sofiane s'affirmer davantage.
Notre visite prend fin sur le plateau de «Dzair Show». Les préparatifs vont bon train avant l'entame du deuxième numéro. Au Menu, Rym Ghazali et Hakim Dekkar.
L. B.
C'est la fin de l'après-midi, au moment où le travail de certains se termine, celui d'autres vient juste de commencer. Le Studio d'enregistrement ressemblait à une ruche d'abeilles. Des jeunes hommes et filles, dont la plupart, en T-shirt noir avec le logo «Dzair show» vont et viennent. On se sent presque inutile au milieu de tout ce monde occupé au point de ne pas remarquer notre présence. Avec la chaleur d'une vieille amie, la rédactrice en chef Sophie Aris, qu'on rencontrait pourtant pour la première fois, nous a ouvert les portes du studio et celle de son cœur aussi.
Dans la cabine de maquillage, c'est Sofiane Dani qui précède. Ses invités le suivent un après l'autre. La première émission allait accueillir Djaafer Gassem (réalisateur), Djalel (annimateur) et Merabti Mnouar connu sous le pseudonyme «Slim» (bédéiste).
Le compte à rebours a commencé. Le tournage de l'émission allait démarrer dans peu de temps. La pression augmentait. Elle est interprétée par la rapidité du mouvement de l'équipe technique qui se précipitait à tout vérifier. C'est le deuxième jour de tournage. La rédactrice en chef nous explique que six à sept numéros sont tournés par mois au cours de trois jours. Eh oui, «Dzair show» est diffusée en différé tout comme «Saraha Raha». Le tournage, cependant, se fait en «faux direct».
L'animateur, ses invités et l'équipe technique tournent les séquences comme s'il s'agissait d'un direct. Il n'y a de coupure que si nécessaire. Le faux direct est un mode, d'ailleurs, utilisé dans des programmes télévisés, notamment dans les talk show partout dans le monde. Il grandit les avantages du direct, notamment le rythme et l'interactivité avec le public si public il y a, tout en évitant les inconvénients tels que les pannes techniques ou les erreurs commises par l'animateur ou ses invités, …
Trois, deux, un, ça tourne ! Sofiane Dani est sur le plateau. Il introduit son premier invité : Djaffer Gassem. Les deux autre invités, l'équipe de la rédaction suivaient l'émission sur un écran plasma placé dans une loge indépendante à quelques mètres du plateau. Le thème de la discussion portait sur l'écriture du scénario. Sur ce point, Sophie a fait remarquer que la nouvelle saison de «Dzair show» a pris beaucoup de maturité. «Cela se remarque dans le choix de sujets et dans le débat», précise-t-elle. Cette même responsable a indiqué que la rédaction de l'émission a opté pour débattre de plusieurs sujets qui concernent le monde audiovisuel et culturel. Par cette initiative le «talk show» qui est une nouvelle expérience en Algérie passe à une nouvelle étape. Celle d'un débat consistant. Cette maturité correspond à la maturité de l'animateur même selon Sophie. «Il a beaucoup mûri en tant qu'animateur par rapport à sa première expérience», assure-t-elle. S'agissant de cette nouvelle orientation, Sophie explique qu'il est grand temps de le suivre. Cependant, une stratégie intelligente a été établie pour drainer tous les segments de la société. Le choix des invités joue un rôle très important dans cette stratégie. Certains programmes télévisés préfère répondre aux «goûts de la majorité» en invitant des chanteurs raï par exemple sous prétexte que c'est le style qui marche le mieux. «Dzair show» s'est fixé objectif de ne pas tomber dans ce piège. Son choix stratégique consiste à «ne jamais donner la priorité à la majorité en ignorant la minorité. Bien au contraire, il est plutôt plus intéressant de prendre en considération les goûts de la majorité tout en l'initiant aux goûts de la minorité», selon l'expression de la rédactrice en chef.
«On essaye à travers l'espace qu'occupe notre programme de faire du divertissement constructif», conclut-elle. De plus, le fait de varier les invités est en mesure d'attirer des personnes de goûts différents.
A voir l'émission, il est difficile d'imaginer tout le temps consacré à la préparation. Une équipe de rédaction travaille tout au long d'un mois d'abord, sur le choix des invités, ensuite sur le choix du contenu réservé à chacun d'eux. L'équipe de rédaction est composée de deux journalistes permanents en plus de la rédactrice en chef et plusieurs collaborateurs. Si un travail de recherche assidu suffit pour poser les bonnes questions, celui de trouver de petits «divertissements» auxquels devrait participer les invités requiert beaucoup de créativité. Au cours de cette première émission, par exemple, Djalel a été appelé à préparer des spaghettis avec de la viande de veau et de la sauce tomate. Une mission qu'il a bien réussie. Cette expérience a fait découvrir aux téléspectateurs un aspect qu'ils ne connaissent pas de ce personnage télé. Le premier numéro programmé pour cette journée de tournage s'est achevé. Il est 20 heures. L'équipe quitte le plateau et se dirige vers la salle de restauration. Autour de plusieurs tables, on mange et on discute dans une ambiance presque familiale. Nabil Hamez, journaliste rédacteur sur le même programme, nous explique que les éléments de l'équipe passent beaucoup de temps ensemble. «Il est des semaines où je passe plus de temps avec l'équipe qu'avec ma famille», déclare-t-il. «Vu le temps qu'on passe ensemble, on a intérêt à bien s'entendre entre nous», ajoute-t-il sur un ton plaisantin.
Le dîner est terminé. Il restait environ une heure pour le démarrage du tournage du deuxième numéro. L'équipe technique et celle de rédaction semblaient plus détendues que lors du premier numéro. Le seul qui semblait plus ou moins stressé, c'est l'animateur. Sa démarche et ses gestes témoignaient d'une grande nervosité. C'est ce qu'a d'ailleurs confirmé la rédactrice en chef. «Sofiane a beaucoup de mal à gérer la pression», relève-telle. Pourtant, l'aisance dont fait preuve cet animateur sur le plateau ne laisse pas deviner qu'il «a du mal à gérer la pression». Certaines personnes qui ont travaillé avec Sofiane, ailleurs, affirment qu'il a un caractère assez difficile, notamment avec son équipe. Sophie et d'autres éléments abondent dans un autre sens. «Sofiane est une personne extrêmement loyale qui respecte énormément son équipe», assure-t-elle. «Ce que j'aime personnellement, chez lui, c'est qu'il n'a pas de problème d'ego. Ceci donne à son équipe un grand espace de liberté d'expression», résume-t-elle. Lorsqu'on l'a interrogée sur les défauts de Sofiane, elle s'est contentée de dire avec un rictus moqueur «qu'il leur coûte beaucoup en fond de teint, il a plus de peau que de cheveux». Eh oui ! Sofiane se maquille même le crâne. Sur un ton plus sérieux, la rédactrice de «Dzair Show» juge que Sofiane Dani garde encore certains réflexes de la Radio, ce qui complique un peu la tâche à l'équipe technique pendant le tournage.
Sophie estime, par ailleurs, que Sofiane n'exploite pas ses capacités comme il se doit. «Il est à 20 % seulement de ses capacités». Elle fait remarquer, toutefois, que le côté «show» est très développé chez Sofiane et que l'équipe rêvait de voir ce côté «rugir» de plus en plus sur le plateau. «Sofiane peut vous faire rire même en racontant comment il a acheté sa paire de chaussures», souligne-t-elle. Peut-être qu'à la prochaine saison de «Dzair Show», on verra le côté «one man show» de Sofiane s'affirmer davantage.
Notre visite prend fin sur le plateau de «Dzair Show». Les préparatifs vont bon train avant l'entame du deuxième numéro. Au Menu, Rym Ghazali et Hakim Dekkar.
L. B.


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