Le vice-président de l'Association algérienne de la relation-client (AARC), M. Charfaoui Karim, a indiqué hier, à Alger, que le moment est très indiqué pour développer le secteur des centres d'appels, et ce, lors d'une conférence de presse, animée au siège de la Direction générale d'Algérie Télécom, en compagnie de M.Boukaba, directeur général de la société de droit algérien VORAX, et ce, en marge du premier Salon de la relation-client qui a ouvert ses portes mardi dernier. M. Charfaoui a fait part de l'expérience marocaine dans le domaine des centres d'appels, qui ont permis à des milliers de jeunes Marocains de pouvoir faire partie de la classe moyenne naissante. « Les Marocains ont enregistré une avancée dans le domaine, par rapport à l'Algérie. Ils envisagent plusieurs perspectives pour le développement de ce secteur » souligne-t-il. Ce qui a freiné jusque-là l'expansion des centres d'appels dans notre pays se traduit par le coût des télécommunications, l'environnement des affaires qui a incontestablement enregistré des avancées mais qui reste moyen. Par ailleurs, à titre comparatif, la Tunisie, de son côté, est passée, en l'espace de six ans, de 4 à plus de 110 opérateurs. Les responsables tunisiens prévoient plus de 7.000 emplois directs engendrés par le développement de ce secteur. Abordant l'importance des call-centres, M. Charfaoui explique que « le principal bénéficiaire de ce nouveau marché, l'emploi des jeunes diplômés en Algérie. Quel secteur mieux que celui des centres d'appels, peut offrir aux jeunes des formations concrètes en informatique, en relation client ; et pour les plus ambitieux, des perspectives de carrières nouvelles ». Selon ce dernier, la proximité linguistique, culturelle et géographique des téléconseillers algériens avec l'Europe est un atout considérable pour les projets de centres d'appels à destination du marché francophone. De son côté, M. Boukaba Mbarek, directeur général de Vorax Algérie, a encouragé, en cette occasion, la création de centres d'appels, dans chaque wilaya, afin d'informer utilement et être à la disposition du simple citoyen. Rappelons, à ce titre, que le groupe Algérie Télécom, envisage de lancer 48 nouveaux centres d'appels, avec le concours de la société de droit algérien VORAX. En lançant ces centres, le groupe Algérie Télécom a fait preuve de sa disposition à dégager des voies et moyens susceptibles de proposer de nouveaux débouchés aux jeunes diplômés, d'où son adhésion dans la démarche de la société pour la relation-client. M.Boukaba a indiqué que « nous évoluons dans un contexte concurrentiel accru» et œuvrent pour préserver sa «part de marché et trouver d'autres sources de croissance » tout en prenant en considération les aspirations des jeunes. A. B. Le vice-président de l'Association algérienne de la relation-client (AARC), M. Charfaoui Karim, a indiqué hier, à Alger, que le moment est très indiqué pour développer le secteur des centres d'appels, et ce, lors d'une conférence de presse, animée au siège de la Direction générale d'Algérie Télécom, en compagnie de M.Boukaba, directeur général de la société de droit algérien VORAX, et ce, en marge du premier Salon de la relation-client qui a ouvert ses portes mardi dernier. M. Charfaoui a fait part de l'expérience marocaine dans le domaine des centres d'appels, qui ont permis à des milliers de jeunes Marocains de pouvoir faire partie de la classe moyenne naissante. « Les Marocains ont enregistré une avancée dans le domaine, par rapport à l'Algérie. Ils envisagent plusieurs perspectives pour le développement de ce secteur » souligne-t-il. Ce qui a freiné jusque-là l'expansion des centres d'appels dans notre pays se traduit par le coût des télécommunications, l'environnement des affaires qui a incontestablement enregistré des avancées mais qui reste moyen. Par ailleurs, à titre comparatif, la Tunisie, de son côté, est passée, en l'espace de six ans, de 4 à plus de 110 opérateurs. Les responsables tunisiens prévoient plus de 7.000 emplois directs engendrés par le développement de ce secteur. Abordant l'importance des call-centres, M. Charfaoui explique que « le principal bénéficiaire de ce nouveau marché, l'emploi des jeunes diplômés en Algérie. Quel secteur mieux que celui des centres d'appels, peut offrir aux jeunes des formations concrètes en informatique, en relation client ; et pour les plus ambitieux, des perspectives de carrières nouvelles ». Selon ce dernier, la proximité linguistique, culturelle et géographique des téléconseillers algériens avec l'Europe est un atout considérable pour les projets de centres d'appels à destination du marché francophone. De son côté, M. Boukaba Mbarek, directeur général de Vorax Algérie, a encouragé, en cette occasion, la création de centres d'appels, dans chaque wilaya, afin d'informer utilement et être à la disposition du simple citoyen. Rappelons, à ce titre, que le groupe Algérie Télécom, envisage de lancer 48 nouveaux centres d'appels, avec le concours de la société de droit algérien VORAX. En lançant ces centres, le groupe Algérie Télécom a fait preuve de sa disposition à dégager des voies et moyens susceptibles de proposer de nouveaux débouchés aux jeunes diplômés, d'où son adhésion dans la démarche de la société pour la relation-client. M.Boukaba a indiqué que « nous évoluons dans un contexte concurrentiel accru» et œuvrent pour préserver sa «part de marché et trouver d'autres sources de croissance » tout en prenant en considération les aspirations des jeunes. A. B.