L'Algérie a néanmoins exprimé ses besoins en terme de transfert de technologie dans ses options de partenariat pour diversifier son économie et se préparer ainsi à l'après-pétrole. L'Algérie a néanmoins exprimé ses besoins en terme de transfert de technologie dans ses options de partenariat pour diversifier son économie et se préparer ainsi à l'après-pétrole. La destination Algérie reste toujours une bonne option pour les hommes d'affaires étrangers. On en veut pour preuve le nombre de délégations économiques qui débarquent à Alger en quête de bonnes opportunités, alléchées par l'important investissement public de plus de 150 milliards de dollars. Les projets ne manquent pas et l'Algérie, en véritable chantier, attise les convoitises. Et c'est normal dira-t-on. Cependant, dans cette sphère économique, chacun entend d'abord défendre ses intérêts et souvent c'est ce qui prime davantage dans la balance. A telle enseigne que même sous couvert des relations bilatérales « à intensifier », le partenariat ne se décline que sous le seul angle d'un marché à gagner et d'une opportunité à saisir, en réalité personne n'est dupe en la matière. C'est donc dans l'ordre. L'Algérie a longtemps attendu le flux des investissements directs étrangers avec les avantages comparatifs qu'elle propose aux potentiels investisseurs avant de se rendre à l'évidence, à savoir qu'en dehors du secteur des hydrocarbures, les investisseurs ne se bousculent pas au portillon. L'embellie financière aidant, la décision d'injecter les fonds publics pour la relance de l'économie est prise avec une révision de la stratégie industrielle. L'Algérie a néanmoins exprimé ses besoins en terme de transfert de technologie dans ses options de partenariat pour diversifier son économie et se préparer ainsi à l'après-pétrole. Dans un contexte de crise financière mondiale qui se mue en crise économique, les choses s'accélèrent et la chute vertigineuse des prix du pétrole n'arrange pas les affaires de l'Algérie. Aussi, toutes les perspectives qui s'offrent sont toujours bonnes à étudier. Les horizons sont sombres, mais il faut faire avec. Les déclarations du DG du FMI, Dominique Strauss-Kahn, lors de sa tournée au Maghreb, sonnent comme un avertissement. Un de plus. Les pays du Maghreb sont peu touchés par la crise financière parce que non intégrés à l'économie financière, mais cela ne les épargne pas des conséquences économiques générales. Le tout avant de souligner que les pays du Maghreb n'ont rien à attendre de l'Europe. La France vraisemblablement veut rectifier le tir en faisant, par le biais de son ambassadeur à Alger, la promotion des relations économiques entre les deux pays et ce, en mettant en avant, d'une part que la France est le premier investisseur hors hydrocarbures en Algérie dans le but d'effacer un peu l'image de frilosité des investisseurs français, et d'autre part en soulignant que l'Algérie est un partenaire commercial de premier plan pour la France. Tout est dit mais comme si cela reste insuffisant, il fallait rajouter que les investissements français contribuent à la diversification de l'économie algérienne, une manière de signifier aussi que la France répond aux attentes de l'Algérie. La réalité, pour l'instant, est toute autre. Notre économie se résume au seul secteur des hydrocarbures. La destination Algérie reste toujours une bonne option pour les hommes d'affaires étrangers. On en veut pour preuve le nombre de délégations économiques qui débarquent à Alger en quête de bonnes opportunités, alléchées par l'important investissement public de plus de 150 milliards de dollars. Les projets ne manquent pas et l'Algérie, en véritable chantier, attise les convoitises. Et c'est normal dira-t-on. Cependant, dans cette sphère économique, chacun entend d'abord défendre ses intérêts et souvent c'est ce qui prime davantage dans la balance. A telle enseigne que même sous couvert des relations bilatérales « à intensifier », le partenariat ne se décline que sous le seul angle d'un marché à gagner et d'une opportunité à saisir, en réalité personne n'est dupe en la matière. C'est donc dans l'ordre. L'Algérie a longtemps attendu le flux des investissements directs étrangers avec les avantages comparatifs qu'elle propose aux potentiels investisseurs avant de se rendre à l'évidence, à savoir qu'en dehors du secteur des hydrocarbures, les investisseurs ne se bousculent pas au portillon. L'embellie financière aidant, la décision d'injecter les fonds publics pour la relance de l'économie est prise avec une révision de la stratégie industrielle. L'Algérie a néanmoins exprimé ses besoins en terme de transfert de technologie dans ses options de partenariat pour diversifier son économie et se préparer ainsi à l'après-pétrole. Dans un contexte de crise financière mondiale qui se mue en crise économique, les choses s'accélèrent et la chute vertigineuse des prix du pétrole n'arrange pas les affaires de l'Algérie. Aussi, toutes les perspectives qui s'offrent sont toujours bonnes à étudier. Les horizons sont sombres, mais il faut faire avec. Les déclarations du DG du FMI, Dominique Strauss-Kahn, lors de sa tournée au Maghreb, sonnent comme un avertissement. Un de plus. Les pays du Maghreb sont peu touchés par la crise financière parce que non intégrés à l'économie financière, mais cela ne les épargne pas des conséquences économiques générales. Le tout avant de souligner que les pays du Maghreb n'ont rien à attendre de l'Europe. La France vraisemblablement veut rectifier le tir en faisant, par le biais de son ambassadeur à Alger, la promotion des relations économiques entre les deux pays et ce, en mettant en avant, d'une part que la France est le premier investisseur hors hydrocarbures en Algérie dans le but d'effacer un peu l'image de frilosité des investisseurs français, et d'autre part en soulignant que l'Algérie est un partenaire commercial de premier plan pour la France. Tout est dit mais comme si cela reste insuffisant, il fallait rajouter que les investissements français contribuent à la diversification de l'économie algérienne, une manière de signifier aussi que la France répond aux attentes de l'Algérie. La réalité, pour l'instant, est toute autre. Notre économie se résume au seul secteur des hydrocarbures.