Qu'il s'agisse d'économie, de développement, de sécurité de la région ou d'actions sur les relations extérieures, Bouteflika souligne le «besoin de nouvelles capacités et de ressources pour donner à notre pays une réelle ambition». Qu'il s'agisse d'économie, de développement, de sécurité de la région ou d'actions sur les relations extérieures, Bouteflika souligne le «besoin de nouvelles capacités et de ressources pour donner à notre pays une réelle ambition». «L'appropriation des concepts et des pratiques de l'économie de la connaissance et des innovations les plus utiles au progrès de l'Algérie, (...) constituent de nouvelles exigences dont il faudra s'imprégner impérativement », a affirmé le chef de l'Etat dans un message adressé aux participants au Colloque des compétences nationales établies à l'étranger, et lu en son nom par M. Mohamed Ali Boughazi, conseiller à la présidence de la République. Tout en rappelant « l'existence d'une faculté d'adaptation permanente au changement qu'impose l'économie mondiale globalisée », le chef de l'Etat appelle à en saisir l'importance et à «appréhender le véritable sens de l'approfondissement des réformes de structure» que «l'Algérie poursuit en vue de l'«instauration d'un système productif basé sur la création des richesses ». Qu'il s'agisse d'économie, de développement, de sécurité de la région ou d'actions sur les relations extérieures, Bouteflika souligne le «besoin de nouvelles capacités et de ressources pour donner à notre pays une réelle ambition», plaidant pour « de nouvelles modalités d'engagement de tous les Algériens à la mesure des exigences de notre conjoncture historique dont je n'ai pas besoin de rappeler combien elle est, à tous les égards cruciale». Convaincu que «tous les espoirs sont permis», à travers cette rencontre de la diaspora algérienne qui a de «vastes ambitions», le président de la République souligne que lors de ces retrouvailles « il faudra inventer des solutions neuves dans plusieurs domaines et chercher patiemment les points d'articulation dans plusieurs directions à la fois », pour «donner un sens à l'engagement» de ces compétences. Louant le sens de l'abnégation et du patriotisme des participants à la rencontre, le chef de l'Etat exprime sa satisfaction de voir, de nouveau, des enfants de l'Algérie établis à l'étranger venir apporter leur concours au redressement de leur pays, en mettant leurs compétences à son service. Dans ce cadre, il appelle tous les Algériens à s'investir dans cet effort, en « concourant à l'émergence d'un environnement propice à l'éclosion de nouveaux modes de régulation et de médiations sociétales ». C'est de cette manière, affirme-t-il que « nous pourrons créer les conditions pour que les femmes participent au processus de prise de décision, et la jeunesse occupe la place qui lui revient dans la société, s'érigeant, ainsi, en acteurs responsables susceptibles de contribuer à la construction nationale, tout en façonnant leur propre futur». Il a fait remarquer que le passage de l'économie de l'information à l'économie de la croissance est « indispensable» à la mise en réseau de l'économie nationale, rappelant dans ce sens le processus engagé par l'Algérie pour « renforcer sa stabilité politique, construire sa sécurité globale et recomposer les bases de sa croissance économique ». Pour Abdelaziz Bouteflika, le Plan d'action élaboré par le Premier ministre pour la mise en œuvre du programme du président de la République s'inscrit dans «le droit fil de notre ambition de construire le développement durable sur des bases renouvelées en ayant en vue les attentes de notre peuple», observant que «les aspirations et les besoins sont devenus immenses et le monde incertain encore plus contraignant». Il exhorte à se rappeler que la meilleure assurance sur l'avenir que nous ayons en notre possession repose sur l'intelligence des femmes et des hommes de ce pays, estimant à ce propos que la poursuite du progrès exige un «nouveau type d'engagement de tous les enfants (de l'Algérie), particulièrement de ses élites, faisant plus que jamais appel à la connaissance, à l'expertise et au sens de l'innovation.» S. B. «L'appropriation des concepts et des pratiques de l'économie de la connaissance et des innovations les plus utiles au progrès de l'Algérie, (...) constituent de nouvelles exigences dont il faudra s'imprégner impérativement », a affirmé le chef de l'Etat dans un message adressé aux participants au Colloque des compétences nationales établies à l'étranger, et lu en son nom par M. Mohamed Ali Boughazi, conseiller à la présidence de la République. Tout en rappelant « l'existence d'une faculté d'adaptation permanente au changement qu'impose l'économie mondiale globalisée », le chef de l'Etat appelle à en saisir l'importance et à «appréhender le véritable sens de l'approfondissement des réformes de structure» que «l'Algérie poursuit en vue de l'«instauration d'un système productif basé sur la création des richesses ». Qu'il s'agisse d'économie, de développement, de sécurité de la région ou d'actions sur les relations extérieures, Bouteflika souligne le «besoin de nouvelles capacités et de ressources pour donner à notre pays une réelle ambition», plaidant pour « de nouvelles modalités d'engagement de tous les Algériens à la mesure des exigences de notre conjoncture historique dont je n'ai pas besoin de rappeler combien elle est, à tous les égards cruciale». Convaincu que «tous les espoirs sont permis», à travers cette rencontre de la diaspora algérienne qui a de «vastes ambitions», le président de la République souligne que lors de ces retrouvailles « il faudra inventer des solutions neuves dans plusieurs domaines et chercher patiemment les points d'articulation dans plusieurs directions à la fois », pour «donner un sens à l'engagement» de ces compétences. Louant le sens de l'abnégation et du patriotisme des participants à la rencontre, le chef de l'Etat exprime sa satisfaction de voir, de nouveau, des enfants de l'Algérie établis à l'étranger venir apporter leur concours au redressement de leur pays, en mettant leurs compétences à son service. Dans ce cadre, il appelle tous les Algériens à s'investir dans cet effort, en « concourant à l'émergence d'un environnement propice à l'éclosion de nouveaux modes de régulation et de médiations sociétales ». C'est de cette manière, affirme-t-il que « nous pourrons créer les conditions pour que les femmes participent au processus de prise de décision, et la jeunesse occupe la place qui lui revient dans la société, s'érigeant, ainsi, en acteurs responsables susceptibles de contribuer à la construction nationale, tout en façonnant leur propre futur». Il a fait remarquer que le passage de l'économie de l'information à l'économie de la croissance est « indispensable» à la mise en réseau de l'économie nationale, rappelant dans ce sens le processus engagé par l'Algérie pour « renforcer sa stabilité politique, construire sa sécurité globale et recomposer les bases de sa croissance économique ». Pour Abdelaziz Bouteflika, le Plan d'action élaboré par le Premier ministre pour la mise en œuvre du programme du président de la République s'inscrit dans «le droit fil de notre ambition de construire le développement durable sur des bases renouvelées en ayant en vue les attentes de notre peuple», observant que «les aspirations et les besoins sont devenus immenses et le monde incertain encore plus contraignant». Il exhorte à se rappeler que la meilleure assurance sur l'avenir que nous ayons en notre possession repose sur l'intelligence des femmes et des hommes de ce pays, estimant à ce propos que la poursuite du progrès exige un «nouveau type d'engagement de tous les enfants (de l'Algérie), particulièrement de ses élites, faisant plus que jamais appel à la connaissance, à l'expertise et au sens de l'innovation.» S. B.