En raison de l'encombrement des parkings avions et de salles d'embarquement à Djeddah, les retours des hadjis connaîtront probablement des retards. En raison de l'encombrement des parkings avions et de salles d'embarquement à Djeddah, les retours des hadjis connaîtront probablement des retards. Les vols retour des hadjis algériens ont été décalés sur leur horaires de décollage pour des raisons organisationnelles internes, propres à l'aéroport de Djeddah, ce qui va certainement retarder le retour de nos premiers pèlerins, a annoncé, dimanche soir, la compagnie nationale de transport aérien, Air Algérie. En effet, le communiqué de cette compagnie aérienne a précisé que « Air Algérie a été informé qu'en raison de l'encombrement des parkings avions et de salles d'embarquement à Djeddah, les retours des hadjis connaîtront probablement des retards ». Aucune explication n'a été donnée par les responsables d'Air Algérie concernant les heures d'embarquements de nos hadjis bloqués en Arabie Saoudite. Il est à signaler à ce titre que, les premiers groupes de hadjis algériens s'apprêtaient à regagner le pays après avoir accompli le 5e pilier de l'islam, dimanche matin, depuis l'aéroport de Djeddah. Une opération qui devait se poursuivre jusqu'au 3 janvier prochain. Face à cette situation, la compagnie Air Algérie rassure, toutefois, ses clients pèlerins qu'elle ne ménage aucun effort pour atténuer le plus possible la gêne et les désagréments engendrés par une situation que l'organisation aéroportuaire de Djeddah impose aux vols. De son coté, le responsable de l'Agence de voyage, Tropic-Tour, nous a affirmé hier, que ces voyagistes pris en charge aux lieux saints, rentreront les 20 et 21 de ce mois en cours, comme prévu. « Les hadjis pris en charge par notre agence regagnerons Constantine la semaine prochaine, sur leurs vol respectifs dont l'arrivée est programmée pour Samedi et Dimanche prochains à 8 heures du matin ». Par ailleurs, il faut dire que les conditions de transport et d'hébergement des hadjis algériens cette année, dans les camps d'Arafat ont été du moins qu'on puisse dire, admissibles. Par contre, celles ayant prévalu à Mina doivent être améliorées, vu que les tentes mises à disposition des hadjis algériens étaient insuffisantes, ce qui a amené les retardataires à passer la nuit dans les couloirs des camps, voire dans la rue, a suscité des mécontentements et des protestations. Par contre, la délégation algérienne n'a pas été la seule à se retrouver confrontée à cette situation, les délégations des autres pays n'ayant pas été mieux loties à Mina dont les rues et les passages menant vers les Djamarate se sont transformés en vrais dortoirs. Cela étant dit, les capacités d'accueil des camps de Mina doivent être renforcée car les lieux ne sauraient accueillir plus de trois millions de hadjis venus des quatre coins du monde et dont nombreux ont trouvé gîte au niveau des routes menant vers les Djamarate et La Mecque. D'un autre coté, le nombre des égarés a été très important pour ce hadj 2008, ce qui a nécessité des efforts considérables de la part des agents de la protection civile pour les égarés ramener à leurs tentes. Plus de 36.000 hadjis algériens, rappelle-t-on, ont accompli les rites du hadj cette année, et qui sont pris en charge par 26 agences de voyage réparties surtout le territoire national. A. B. Les vols retour des hadjis algériens ont été décalés sur leur horaires de décollage pour des raisons organisationnelles internes, propres à l'aéroport de Djeddah, ce qui va certainement retarder le retour de nos premiers pèlerins, a annoncé, dimanche soir, la compagnie nationale de transport aérien, Air Algérie. En effet, le communiqué de cette compagnie aérienne a précisé que « Air Algérie a été informé qu'en raison de l'encombrement des parkings avions et de salles d'embarquement à Djeddah, les retours des hadjis connaîtront probablement des retards ». Aucune explication n'a été donnée par les responsables d'Air Algérie concernant les heures d'embarquements de nos hadjis bloqués en Arabie Saoudite. Il est à signaler à ce titre que, les premiers groupes de hadjis algériens s'apprêtaient à regagner le pays après avoir accompli le 5e pilier de l'islam, dimanche matin, depuis l'aéroport de Djeddah. Une opération qui devait se poursuivre jusqu'au 3 janvier prochain. Face à cette situation, la compagnie Air Algérie rassure, toutefois, ses clients pèlerins qu'elle ne ménage aucun effort pour atténuer le plus possible la gêne et les désagréments engendrés par une situation que l'organisation aéroportuaire de Djeddah impose aux vols. De son coté, le responsable de l'Agence de voyage, Tropic-Tour, nous a affirmé hier, que ces voyagistes pris en charge aux lieux saints, rentreront les 20 et 21 de ce mois en cours, comme prévu. « Les hadjis pris en charge par notre agence regagnerons Constantine la semaine prochaine, sur leurs vol respectifs dont l'arrivée est programmée pour Samedi et Dimanche prochains à 8 heures du matin ». Par ailleurs, il faut dire que les conditions de transport et d'hébergement des hadjis algériens cette année, dans les camps d'Arafat ont été du moins qu'on puisse dire, admissibles. Par contre, celles ayant prévalu à Mina doivent être améliorées, vu que les tentes mises à disposition des hadjis algériens étaient insuffisantes, ce qui a amené les retardataires à passer la nuit dans les couloirs des camps, voire dans la rue, a suscité des mécontentements et des protestations. Par contre, la délégation algérienne n'a pas été la seule à se retrouver confrontée à cette situation, les délégations des autres pays n'ayant pas été mieux loties à Mina dont les rues et les passages menant vers les Djamarate se sont transformés en vrais dortoirs. Cela étant dit, les capacités d'accueil des camps de Mina doivent être renforcée car les lieux ne sauraient accueillir plus de trois millions de hadjis venus des quatre coins du monde et dont nombreux ont trouvé gîte au niveau des routes menant vers les Djamarate et La Mecque. D'un autre coté, le nombre des égarés a été très important pour ce hadj 2008, ce qui a nécessité des efforts considérables de la part des agents de la protection civile pour les égarés ramener à leurs tentes. Plus de 36.000 hadjis algériens, rappelle-t-on, ont accompli les rites du hadj cette année, et qui sont pris en charge par 26 agences de voyage réparties surtout le territoire national. A. B.