La critique littéraire italienne Jolanda Guardi au Midi Libre «C'est parce que j'aime l'Algérie que je m'intéresse à la littérature algérienne». Le complexe culturel abrite pendant trois jours, les 16, 17 et 18 décembre, le 11e séminaire sur le dramaturge Abdelhamid Benhaddouga, dont les œuvres ont été traduites dans différentes langues. Plusieurs plumes notoires, nationales et internationales, ont pris part à cette édition, notamment Z'hor Ounissi et Jolanda Guardi qui ont été spécialement honorées. Et lors de la première journée du séminaire, nous avons pu recueillir quelques propos de Jolanda Guardi, enseignante à l'université de Milan, faculté des sciences politiques, département des langues et cultures contemporaines. «C'est votre 3e participation au colloque, cela fait quel effet d'être honorée à côté de Z'hor Ounissi»? «Cela ne peut que m'émouvoir, comme vous pouvez le constater, d'être honoré à côté d'une femme de lettres, ancienne ministre, qui, à mon sens, incarne la femme algérienne.» Et sur le secret d'une Italienne «dépaysée» qui s'intéresse à la littérature algérienne d'expression arabe et française, notre interlocutrice nous répondra dans un français avec accent mêlé à un éclat de rire typiquement italien «Quand j'étais étudiante, tout le monde s'intéressait aux cultures moyen-orientales, syrienne, égyptienne, libanaise… Moi, mon choix est tombé sur la culture algérienne. De par sa diversité linguistique. D'autant plus que j'aime l'Algérie, un autre argument qui a fait que je m'intéresse tant à la littérature algérienne.» M. A. La critique littéraire italienne Jolanda Guardi au Midi Libre «C'est parce que j'aime l'Algérie que je m'intéresse à la littérature algérienne». Le complexe culturel abrite pendant trois jours, les 16, 17 et 18 décembre, le 11e séminaire sur le dramaturge Abdelhamid Benhaddouga, dont les œuvres ont été traduites dans différentes langues. Plusieurs plumes notoires, nationales et internationales, ont pris part à cette édition, notamment Z'hor Ounissi et Jolanda Guardi qui ont été spécialement honorées. Et lors de la première journée du séminaire, nous avons pu recueillir quelques propos de Jolanda Guardi, enseignante à l'université de Milan, faculté des sciences politiques, département des langues et cultures contemporaines. «C'est votre 3e participation au colloque, cela fait quel effet d'être honorée à côté de Z'hor Ounissi»? «Cela ne peut que m'émouvoir, comme vous pouvez le constater, d'être honoré à côté d'une femme de lettres, ancienne ministre, qui, à mon sens, incarne la femme algérienne.» Et sur le secret d'une Italienne «dépaysée» qui s'intéresse à la littérature algérienne d'expression arabe et française, notre interlocutrice nous répondra dans un français avec accent mêlé à un éclat de rire typiquement italien «Quand j'étais étudiante, tout le monde s'intéressait aux cultures moyen-orientales, syrienne, égyptienne, libanaise… Moi, mon choix est tombé sur la culture algérienne. De par sa diversité linguistique. D'autant plus que j'aime l'Algérie, un autre argument qui a fait que je m'intéresse tant à la littérature algérienne.» M. A.