Le conseil national a délégué à l'instance exécutive la prérogative de la proclamation du soutien du parti à la candidature de Bouteflika une fois que ce dernier se serait prononcé officiellement sur la question, ce qui n'est pas le cas actuellement. Le conseil national a délégué à l'instance exécutive la prérogative de la proclamation du soutien du parti à la candidature de Bouteflika une fois que ce dernier se serait prononcé officiellement sur la question, ce qui n'est pas le cas actuellement. Le conseil national du parti a déclaré son plein soutien à la candidature « du moudjahid militant, le frère Abdelaziz Bouteflika ». Lors de sa 3éme réunion ordinaire de deux jours, qui s‘est achevée hier, cette instance du parti, sorte de cénacle au sein duquel siégent 550 personnes, et comme attendu, a consigné cette décision dans une de ses résolutions finales. Le conseil national a délégué à l‘instance exécutive la prérogative de la proclamation du soutien du parti à la candidature de Bouteflika une fois que ce dernier se serait prononcé officiellement sur la question, ce qui n‘est pas le cas actuellement. « L‘instance exécutive validera alors de manière officielle, lors de sa prochaine réunion extraordinaire, la candidature de Bouteflika » a indiqué, hier, le secrétaire général du parti. Abdelaziz Belkhadem, qui s‘exprimait lors d‘une conference de presse, a souligné que « la sémantique a son importance car nous voulons élargir la base politique de Bouteflika et c‘est pourquoi nous avons dit soutien au citoyen Bouteflika et non pas au président Bouteflika qui est une institution ». Le conférencier a déclaré qu‘ « il n‘y a pas de divergences entre le programme électoraldu président et celui du FLN » estimant qu‘il y a beaucoup de convictions communes comme c‘est le cas à propos de la question de la cession des terres. Vague explication qui n‘indique pas avec précision la similitude qu‘il y a entre les programmes des deux parties. Lors des débats Abdelkader Hadjar a dit ne pas comprendre comment le FLN, un grand parti, ne met pas en valeur son propre programme politique, se suffisant toujours de le diluer au sein du programme du président. Abdelaziz Belkhadem, qui semble n‘avoir pas apprécié le fond de la pensée de l‘ambassadeur d‘Algérie en Egypte, a voulu de suite reprendre la parole, ce qui n‘a pas plu à l‘intervenant. Cela a été considéré par nombre de présents comme le signe que la guerre des clans qui fait, effectivement, rage au FLN. Cette « gueguerre » a fini par faire avorter le projet de Belkhadem, annoncé pourtant juste vendredi devant les membres de l ‘instance exécutive, d‘élargir la composante du secrétariat du parti avec l‘entrée particulièrement de Abdelaziz Ziari et d‘une autre personnalité. « Il n‘y a ni conflits ni guerre de positions au FLN. Le statut du parti permet l‘élargissement du secrétariat exécutif à 9 membres (ils sont 7 actuellement NDLR), et il y a une volonté de l‘élargir et ça viendra au moment opportun » a estimé Belkhadem. Ce dernier a aussi annoncé que le parti prépare activement la prochaine échéance électorale et va installer une commission à cet effet pour élaborer sa strategie. Refusant par ailleurs de faire le moindre commentaire sur la teneur de la rencontre qu‘il a eu avec Abdallah Djaballah, il dira par contre que son récent entretien avec Louisa Hanoune a permis de déboucher sur la création d‘un groupe de travail , ouvert aux autres partis , pour réfléchir sur l‘amendement de la loi électorale en vue de faire obstacle au nomadisme politique. Il a réitéré la volonté de son parti de revendiquer une révision profonde de la constitution donnant l‘exemple du Conseil de la nation, dont les dispositions régissant son fonctionnement et ses prérogatives devraient être revues. Il a aussi annoncé l‘institution d‘une commission qui aura à charge de faire des propositions pour réactualiser certaines lois. A. S. Le conseil national du parti a déclaré son plein soutien à la candidature « du moudjahid militant, le frère Abdelaziz Bouteflika ». Lors de sa 3éme réunion ordinaire de deux jours, qui s‘est achevée hier, cette instance du parti, sorte de cénacle au sein duquel siégent 550 personnes, et comme attendu, a consigné cette décision dans une de ses résolutions finales. Le conseil national a délégué à l‘instance exécutive la prérogative de la proclamation du soutien du parti à la candidature de Bouteflika une fois que ce dernier se serait prononcé officiellement sur la question, ce qui n‘est pas le cas actuellement. « L‘instance exécutive validera alors de manière officielle, lors de sa prochaine réunion extraordinaire, la candidature de Bouteflika » a indiqué, hier, le secrétaire général du parti. Abdelaziz Belkhadem, qui s‘exprimait lors d‘une conference de presse, a souligné que « la sémantique a son importance car nous voulons élargir la base politique de Bouteflika et c‘est pourquoi nous avons dit soutien au citoyen Bouteflika et non pas au président Bouteflika qui est une institution ». Le conférencier a déclaré qu‘ « il n‘y a pas de divergences entre le programme électoraldu président et celui du FLN » estimant qu‘il y a beaucoup de convictions communes comme c‘est le cas à propos de la question de la cession des terres. Vague explication qui n‘indique pas avec précision la similitude qu‘il y a entre les programmes des deux parties. Lors des débats Abdelkader Hadjar a dit ne pas comprendre comment le FLN, un grand parti, ne met pas en valeur son propre programme politique, se suffisant toujours de le diluer au sein du programme du président. Abdelaziz Belkhadem, qui semble n‘avoir pas apprécié le fond de la pensée de l‘ambassadeur d‘Algérie en Egypte, a voulu de suite reprendre la parole, ce qui n‘a pas plu à l‘intervenant. Cela a été considéré par nombre de présents comme le signe que la guerre des clans qui fait, effectivement, rage au FLN. Cette « gueguerre » a fini par faire avorter le projet de Belkhadem, annoncé pourtant juste vendredi devant les membres de l ‘instance exécutive, d‘élargir la composante du secrétariat du parti avec l‘entrée particulièrement de Abdelaziz Ziari et d‘une autre personnalité. « Il n‘y a ni conflits ni guerre de positions au FLN. Le statut du parti permet l‘élargissement du secrétariat exécutif à 9 membres (ils sont 7 actuellement NDLR), et il y a une volonté de l‘élargir et ça viendra au moment opportun » a estimé Belkhadem. Ce dernier a aussi annoncé que le parti prépare activement la prochaine échéance électorale et va installer une commission à cet effet pour élaborer sa strategie. Refusant par ailleurs de faire le moindre commentaire sur la teneur de la rencontre qu‘il a eu avec Abdallah Djaballah, il dira par contre que son récent entretien avec Louisa Hanoune a permis de déboucher sur la création d‘un groupe de travail , ouvert aux autres partis , pour réfléchir sur l‘amendement de la loi électorale en vue de faire obstacle au nomadisme politique. Il a réitéré la volonté de son parti de revendiquer une révision profonde de la constitution donnant l‘exemple du Conseil de la nation, dont les dispositions régissant son fonctionnement et ses prérogatives devraient être revues. Il a aussi annoncé l‘institution d‘une commission qui aura à charge de faire des propositions pour réactualiser certaines lois. A. S.