«Ils se sont tus», le court métrage de l'Algérien Khaled Benaissa, a remporté le «Taghit d'Or» et la «Caméra d'or», prix qui lui ont été décernés samedi soir par le jury du 2éme festival international du court métrage qui s'est tenu du 15 au 20 décembre à Taghit (Béchar). Le prix du meilleur scénario est revenu au Jordanien Hazem Bitar pour son œuvre «La vue», alors que le Tunisien Reda Tlili a décroché celui de la meilleure réalisation pour son œuvre «Ayan Kan». Le prix de la meilleure interprétation féminine a été décerné à la Marocaine Asma Adrami pour son rôle dans «La jeune femme et l'instit» réalisé par Mohamed Nadif, jeune acteur et cinéaste marocain, tandis que celui de la meilleure interprétation masculine est revenu à Aurelien D'Auclause pour son rôle dans «Os» de la réalisatrice française Marie Vanaret. Par ailleurs, le jury a décerné cinq mentions spéciales pour la qualité des productions et du langage cinématographique notamment «Kika Belkika» de l'Egyptien Ahmed Mjdi, «Goullili» de Sabrina Drawi et «Une berceuse pour un enfant» du serbe Milos Puskic. Pour Selama Bekkar, réalisatrice tunisienne et présidente du jury, cette deuxième édition du festival de Taghit a été une réussite de même qu'elle a permis d'offrir un espace d'expression aux jeunes cinéastes des 14 pays participants. «Ils se sont tus», le court métrage de l'Algérien Khaled Benaissa, a remporté le «Taghit d'Or» et la «Caméra d'or», prix qui lui ont été décernés samedi soir par le jury du 2éme festival international du court métrage qui s'est tenu du 15 au 20 décembre à Taghit (Béchar). Le prix du meilleur scénario est revenu au Jordanien Hazem Bitar pour son œuvre «La vue», alors que le Tunisien Reda Tlili a décroché celui de la meilleure réalisation pour son œuvre «Ayan Kan». Le prix de la meilleure interprétation féminine a été décerné à la Marocaine Asma Adrami pour son rôle dans «La jeune femme et l'instit» réalisé par Mohamed Nadif, jeune acteur et cinéaste marocain, tandis que celui de la meilleure interprétation masculine est revenu à Aurelien D'Auclause pour son rôle dans «Os» de la réalisatrice française Marie Vanaret. Par ailleurs, le jury a décerné cinq mentions spéciales pour la qualité des productions et du langage cinématographique notamment «Kika Belkika» de l'Egyptien Ahmed Mjdi, «Goullili» de Sabrina Drawi et «Une berceuse pour un enfant» du serbe Milos Puskic. Pour Selama Bekkar, réalisatrice tunisienne et présidente du jury, cette deuxième édition du festival de Taghit a été une réussite de même qu'elle a permis d'offrir un espace d'expression aux jeunes cinéastes des 14 pays participants.