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Le rush sur les restaurants étrangers
Publié dans Le Midi Libre le 23 - 12 - 2008

Les préparatifs pour la soirée de fin d'année vont, d'ores et déjà, bon train. Chacun de son côté, les organisateurs d'événements et les consommateurs, se préparent pour une
«soirée rush». Beaucoup de familles et de personnes choisissent des restaurants étrangers pour fêter cet événement. Assia, qui a jeté son dévolu sur un restaurant indien l'année passée n'est pas sûre de renouveler l'expérience. «Il y avait tellement de monde qu'on n'a même pas eu le loisir d'apprécier le repas» a-t-elle déploré. « Il fallait manger vite et partir pour céder la place aux foules qui attendaient ». Il semble que les restaurants étrangers connaissent un rush plus important que les autres. Questionnée sur ce choix, Assia a expliqué que depuis quatre années, elle essaye, chaque fois que l'occasion se présente, une cuisine exotique. « C'est juste une histoire de changer » a-t-elle expliqué. Ahmed, récemment marié, a expliqué que son choix repose principalemment sur le budget dont dispose la nouvelle famille. Avec sa femme, ils ont pris la décision de dîner dans un restaurant italien. « C'est la seule option qui nous permet de passer une soirée et savourer un dîner un peu hors du commun avec un coût moyen. Un dîner pour deux va nous coûter dans les 6.000 dinars » a-t-il indiqué.
Ce fonctionnaire a souligné, par ailleurs, que ses moyens ne lui permettent pas d'envisager de s'offrir une soirée dans un hôtel de renommée où il est proposé des menus spéciaux agrémentés, parfois, de programmes artistiques. Les coûts restent très élevés. Pour s'offrir une telle soirée, il faut débourser au moins 10.000 dinars par personne.
Birender Singh, propriétaire du Taj Mahal, un restaurant indien, indique que son établissement accueille, la veille du jour de l'an, le double voire le triple du nombre de clients que lors de soirée ordinaires. « Il est vrai qu'il y un grand rush sur notre restaurant en cette occasion » a-t-il reconnu. S'agissant du menu, M. Singh a fait savoir que son restaurant ne propose pas de menus spéciaux. « Ce sont les plats indiens habituels » a-t-il dit. Au sujet des coûts, ce même responsable assure que les prix dans son restaurant restent les mêmes.
Ils varient entre 1.300 et 2.500 dinars pour un menu complet moyen (entrée, plat de résistance et dessert), et ce pour une seule personne. Cependant, M. Singh a reconnu qu'effectivement certains clients sont contraints d'attendre que des tables soit libres, mais il rassure, toutefois, que la durée d'attente n'est pas très longue. Elle ne saurait, selon lui, dépasser les 20 minutes.
Il est à mentionner que les restaurants étrangers poussent comme des champignons à Alger. On y trouve des restaurants turc, libanais, italien, mexicain, tunisien, marocain, syrien,…
L.B.
Les préparatifs pour la soirée de fin d'année vont, d'ores et déjà, bon train. Chacun de son côté, les organisateurs d'événements et les consommateurs, se préparent pour une
«soirée rush». Beaucoup de familles et de personnes choisissent des restaurants étrangers pour fêter cet événement. Assia, qui a jeté son dévolu sur un restaurant indien l'année passée n'est pas sûre de renouveler l'expérience. «Il y avait tellement de monde qu'on n'a même pas eu le loisir d'apprécier le repas» a-t-elle déploré. « Il fallait manger vite et partir pour céder la place aux foules qui attendaient ». Il semble que les restaurants étrangers connaissent un rush plus important que les autres. Questionnée sur ce choix, Assia a expliqué que depuis quatre années, elle essaye, chaque fois que l'occasion se présente, une cuisine exotique. « C'est juste une histoire de changer » a-t-elle expliqué. Ahmed, récemment marié, a expliqué que son choix repose principalemment sur le budget dont dispose la nouvelle famille. Avec sa femme, ils ont pris la décision de dîner dans un restaurant italien. « C'est la seule option qui nous permet de passer une soirée et savourer un dîner un peu hors du commun avec un coût moyen. Un dîner pour deux va nous coûter dans les 6.000 dinars » a-t-il indiqué.
Ce fonctionnaire a souligné, par ailleurs, que ses moyens ne lui permettent pas d'envisager de s'offrir une soirée dans un hôtel de renommée où il est proposé des menus spéciaux agrémentés, parfois, de programmes artistiques. Les coûts restent très élevés. Pour s'offrir une telle soirée, il faut débourser au moins 10.000 dinars par personne.
Birender Singh, propriétaire du Taj Mahal, un restaurant indien, indique que son établissement accueille, la veille du jour de l'an, le double voire le triple du nombre de clients que lors de soirée ordinaires. « Il est vrai qu'il y un grand rush sur notre restaurant en cette occasion » a-t-il reconnu. S'agissant du menu, M. Singh a fait savoir que son restaurant ne propose pas de menus spéciaux. « Ce sont les plats indiens habituels » a-t-il dit. Au sujet des coûts, ce même responsable assure que les prix dans son restaurant restent les mêmes.
Ils varient entre 1.300 et 2.500 dinars pour un menu complet moyen (entrée, plat de résistance et dessert), et ce pour une seule personne. Cependant, M. Singh a reconnu qu'effectivement certains clients sont contraints d'attendre que des tables soit libres, mais il rassure, toutefois, que la durée d'attente n'est pas très longue. Elle ne saurait, selon lui, dépasser les 20 minutes.
Il est à mentionner que les restaurants étrangers poussent comme des champignons à Alger. On y trouve des restaurants turc, libanais, italien, mexicain, tunisien, marocain, syrien,…
L.B.


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