Le nouvel an approche, et voilà que les pâtissiers, les gérant d'hôtels et de restaurants se préparent pour le fameux réveillon. A Annaba, de nombreux citoyens sont envahis par l'idée de fêter à tout prix ce jour de fin d'année. Des sapins en plastique, des bûches et du chocolat, sous toutes ses formes, se vendent un peu partout dans des magasins en ville, présentant un décor réellement attirant. Or, comme d'habitude, la bûche, qui devient désormais le gâteau préféré pour cette occasion, coûte de 500 à 1 000 DA, ce qui est loin d'être à la portée des familles algériennes. Des citoyens interrogés soulignent que ces coutumes appartiennent à une tradition chrétienne et non musulmane .D'autres gens ont choisi de prendre attache avec des agences de voyages qui proposent des destinations vers la Tunisie et autres pays à des prix concurrentiels. Les hôtels de la ville proposent une soirée animée avec des chanteurs et DJ, accompagnée d'un dîner à la chandelle.