La rencontre n'a pas débouché sur grand-chose à part la révision de l'échelonnement des enseignants du technique. Quant au autres revendications, le ministère de l'Education a estimé qu'elles ne font pas partie de ses prérogatives. La rencontre n'a pas débouché sur grand-chose à part la révision de l'échelonnement des enseignants du technique. Quant au autres revendications, le ministère de l'Education a estimé qu'elles ne font pas partie de ses prérogatives. La réunion entre le Conseil national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Cnapest) et les responsable du ministère de l'Education s'est tenue jeudi dernier au siège du ministère. Une réunion qui n'a réglé qu'une petite partie des problèmes des enseignements du technique. Sur les quatre revendications du Cnapest, une seule a été retenue. Résultat : la grève est maintenue ! La rencontre qui a réuni le secrétaire du ministère de l'Education Boubekeur Khaldi, les directeurs de l'éducation et les représentant du Cnapest en présence du ministre de l'Education, Boubakeur Benbouzid, n'a pas débouché sur grand-chose à part la révision de l'échelonnement des enseignants du technique. Le syndicat avait demandé de revoir à la hausse le classement de ses enseignants. Ce qui lui a été accordé suite à la rencontre en question. Quant au autres revendications, le ministère de l'Education a estimé qu'elles ne font pas partie de ses prérogatives. Il est à rappeler que les revendications du Cnapest tournent autour du statut particulier des enseignants du technique. Le syndicat demande à revoir ce statut initié par le ministère seul, sans impliquer les premiers concernés, soit les enseignants, par le biais des syndicats. Les revendications se résument à trois points : la prise en considération de l'ancienneté dans l'évaluation de l'échelon des enseignants, l'ouverture des négociations s'agissant du système d'indemnisation et, enfin, le calcul des primes sur la base des nouveaux salaires. Ces revendications relevées par le Cnapest ne « font pas partie des prérogatives du ministère de l'Education, mais de celles du gouvernement», selon Messaoud Boudiba, secrétaire national chargé de la communication du Cnapest. Le même syndicaliste s'était dit peu confiant quant aux résultats attendus la veille même de la rencontre. Le fait d'avoir revu l'échelonnement des enseignants des lycées techniques est déjà un bon pas pour lui. « Les conditions de ces derniers sont cependant loin du compte » a-t-il estimé. Dans le but justement de redresser la situation actuelle, la grève s'avère le seul moyen de faire entendre la voix des syndicalistes. La rencontre qui a eu lieu jeudi n'a pas avancé les choses. Le mouvement de protestation prévu pour le 10 janvier prochain est maintenu. Il est à mentionner que le conseil national du Cnapest est prévu pour le 7 janvier, soit 3 jours avant la date de la grève. D'ici là, beaucoup de choses peuvent changer. L.B. La réunion entre le Conseil national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Cnapest) et les responsable du ministère de l'Education s'est tenue jeudi dernier au siège du ministère. Une réunion qui n'a réglé qu'une petite partie des problèmes des enseignements du technique. Sur les quatre revendications du Cnapest, une seule a été retenue. Résultat : la grève est maintenue ! La rencontre qui a réuni le secrétaire du ministère de l'Education Boubekeur Khaldi, les directeurs de l'éducation et les représentant du Cnapest en présence du ministre de l'Education, Boubakeur Benbouzid, n'a pas débouché sur grand-chose à part la révision de l'échelonnement des enseignants du technique. Le syndicat avait demandé de revoir à la hausse le classement de ses enseignants. Ce qui lui a été accordé suite à la rencontre en question. Quant au autres revendications, le ministère de l'Education a estimé qu'elles ne font pas partie de ses prérogatives. Il est à rappeler que les revendications du Cnapest tournent autour du statut particulier des enseignants du technique. Le syndicat demande à revoir ce statut initié par le ministère seul, sans impliquer les premiers concernés, soit les enseignants, par le biais des syndicats. Les revendications se résument à trois points : la prise en considération de l'ancienneté dans l'évaluation de l'échelon des enseignants, l'ouverture des négociations s'agissant du système d'indemnisation et, enfin, le calcul des primes sur la base des nouveaux salaires. Ces revendications relevées par le Cnapest ne « font pas partie des prérogatives du ministère de l'Education, mais de celles du gouvernement», selon Messaoud Boudiba, secrétaire national chargé de la communication du Cnapest. Le même syndicaliste s'était dit peu confiant quant aux résultats attendus la veille même de la rencontre. Le fait d'avoir revu l'échelonnement des enseignants des lycées techniques est déjà un bon pas pour lui. « Les conditions de ces derniers sont cependant loin du compte » a-t-il estimé. Dans le but justement de redresser la situation actuelle, la grève s'avère le seul moyen de faire entendre la voix des syndicalistes. La rencontre qui a eu lieu jeudi n'a pas avancé les choses. Le mouvement de protestation prévu pour le 10 janvier prochain est maintenu. Il est à mentionner que le conseil national du Cnapest est prévu pour le 7 janvier, soit 3 jours avant la date de la grève. D'ici là, beaucoup de choses peuvent changer. L.B.