Chaque postulant à la candidature devra réunir 75.000 signatures de citoyens dans 25 wilayas ou la signature de 600 élus locaux ou nationaux. Chaque postulant à la candidature devra réunir 75.000 signatures de citoyens dans 25 wilayas ou la signature de 600 élus locaux ou nationaux. Mme Louisa Hanoune, secrétaire générale du parti des Travailleurs (PT), Moussa Touati, président du FNA (Front national algérien), Mohamed Hadef, président du MNE (Mouvement national d'espérance), Ali Fawzi Rebaïne, président de AHD 54, Ali Zeghdoud du RA (Rassemblement Algérien), Amar Bouacha du MNJA et Belaïd Mohand Oussaïd ont effectué le retrait des formulaires de souscription de signatures a indiqué un communiqué du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales. Pour rappel, chaque postulant à la candidature devra réunir 75.000 signatures de citoyens dans 25 wilayas ou la signature de 600 élus locaux ou nationaux. Jusqu'à aujourd'hui, seuls les président du FNA et de AHD 54 ont annoncé officiellement leur intention de briguer la présidentielle. Louisa Hanoune, quant à elle, temporise en laissant le soin aux structures de son parti de trancher quant à une éventuelle participation à ce scrutin populaire. Nous le ferons en temps opportun, avait-elle pris le soin de préciser en plusieurs occasions. Le président du MNE, Mohamed Hadef, annoncera, lui, officiellement, aujourd'hui au cours d'une conférence de presse qu'il tiendra à l'hôtel Safir à Alger, la position du Mouvement national d'espérance à l'égard de la prochaine élection présidentielle ainsi que les grandes lignes de son programme d'action politique. Il a déjà annoncé tout de même que son Mouvement, force autonome par sa ligne politique, participera activement à cette prochaine élection présidentielle, évènement politique national impliquant et concernant de droit toutes les Algériennes et les Algériens et toutes les forces politiques, économiques, sociales, culturelles et morales nationales. Ali Zeghdoud et Amar Bouache comptent, pour leur part, effectuer leur come-back à la politique à la faveur de la consultation populaire. Ils feront un petit tour, s'ils réussissent à récolter les signatures nécessaires à leur candidature et ils retourneront d'où ils sont venus. Il sera difficile pour d'illustres inconnus dans la scène politique nationale de satisfaire aux obligations de la loi électorale et à plus forte raison en ces temps de démobilisation politique des Algériens. Il reste Belaïd Mohand Oussaïd qui ne se réclame d'aucune chapelle politique. Ce sera un miracle s'il arrive à réunir les 75.000 signatures de citoyens, une disposition contraignante de la loi électorale. S. B. Mme Louisa Hanoune, secrétaire générale du parti des Travailleurs (PT), Moussa Touati, président du FNA (Front national algérien), Mohamed Hadef, président du MNE (Mouvement national d'espérance), Ali Fawzi Rebaïne, président de AHD 54, Ali Zeghdoud du RA (Rassemblement Algérien), Amar Bouacha du MNJA et Belaïd Mohand Oussaïd ont effectué le retrait des formulaires de souscription de signatures a indiqué un communiqué du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales. Pour rappel, chaque postulant à la candidature devra réunir 75.000 signatures de citoyens dans 25 wilayas ou la signature de 600 élus locaux ou nationaux. Jusqu'à aujourd'hui, seuls les président du FNA et de AHD 54 ont annoncé officiellement leur intention de briguer la présidentielle. Louisa Hanoune, quant à elle, temporise en laissant le soin aux structures de son parti de trancher quant à une éventuelle participation à ce scrutin populaire. Nous le ferons en temps opportun, avait-elle pris le soin de préciser en plusieurs occasions. Le président du MNE, Mohamed Hadef, annoncera, lui, officiellement, aujourd'hui au cours d'une conférence de presse qu'il tiendra à l'hôtel Safir à Alger, la position du Mouvement national d'espérance à l'égard de la prochaine élection présidentielle ainsi que les grandes lignes de son programme d'action politique. Il a déjà annoncé tout de même que son Mouvement, force autonome par sa ligne politique, participera activement à cette prochaine élection présidentielle, évènement politique national impliquant et concernant de droit toutes les Algériennes et les Algériens et toutes les forces politiques, économiques, sociales, culturelles et morales nationales. Ali Zeghdoud et Amar Bouache comptent, pour leur part, effectuer leur come-back à la politique à la faveur de la consultation populaire. Ils feront un petit tour, s'ils réussissent à récolter les signatures nécessaires à leur candidature et ils retourneront d'où ils sont venus. Il sera difficile pour d'illustres inconnus dans la scène politique nationale de satisfaire aux obligations de la loi électorale et à plus forte raison en ces temps de démobilisation politique des Algériens. Il reste Belaïd Mohand Oussaïd qui ne se réclame d'aucune chapelle politique. Ce sera un miracle s'il arrive à réunir les 75.000 signatures de citoyens, une disposition contraignante de la loi électorale. S. B.