Ils étaient des milliers, en majorité des mineurs, à se rassembler ce mardi au complexe sportif Badji Mokhtar pour répondre à l'appel lancé par les partis de la coalition, les organisations de masse et la société civile et organiser une marche en guise de solidarité avec le peuple palestinien victime de la barbarie juive dans la bande de Ghaza. Bien encadrés par un impressionnant dispositif de sécurité, les manifestants ont déferlé à travers les rues de la ville scandant des slogans hostiles à l'état sioniste et ses alliés avant d'arriver devant le musée de la ville où la foule s'est dispersée dans le calme. L'agression que commet l'état sioniste contre les innocents de Ghaza n'a laissé aucun indifférent à Souk-Ahras (wilaya de moudjahidine et de chouhada, connue pour être la base de l'est); dans la rue comme aux cafés, dans les maisons comme dans les lieux de travail, on ne parle que de ces actes de barbarie; l'émotion a atteint son pic; la colère populaire s'est retournée contre les dirigeants des états arabes qui, selon des avis recueillis lors de la marche, se contentent de condamner mais n'osent même pas lever le petit doigt pour arrêter le massacre des enfants. Certains, plus excités, sont allés encore plus loin dans leurs déclarations. K. M. Ils étaient des milliers, en majorité des mineurs, à se rassembler ce mardi au complexe sportif Badji Mokhtar pour répondre à l'appel lancé par les partis de la coalition, les organisations de masse et la société civile et organiser une marche en guise de solidarité avec le peuple palestinien victime de la barbarie juive dans la bande de Ghaza. Bien encadrés par un impressionnant dispositif de sécurité, les manifestants ont déferlé à travers les rues de la ville scandant des slogans hostiles à l'état sioniste et ses alliés avant d'arriver devant le musée de la ville où la foule s'est dispersée dans le calme. L'agression que commet l'état sioniste contre les innocents de Ghaza n'a laissé aucun indifférent à Souk-Ahras (wilaya de moudjahidine et de chouhada, connue pour être la base de l'est); dans la rue comme aux cafés, dans les maisons comme dans les lieux de travail, on ne parle que de ces actes de barbarie; l'émotion a atteint son pic; la colère populaire s'est retournée contre les dirigeants des états arabes qui, selon des avis recueillis lors de la marche, se contentent de condamner mais n'osent même pas lever le petit doigt pour arrêter le massacre des enfants. Certains, plus excités, sont allés encore plus loin dans leurs déclarations. K. M.