Une collégienne de 7e année du CEM de la cité FLN de Annaba est décédée dans l'enceinte de l'établissement. Elle aurait reçu sur les mains plusieurs coups de bâton que lui auraient infligés son enseignante.La fillette perd connaissance et succombe quelques minutes après. Ce triste évènement a mis en émoi les élèves et les enseignants, d'une part et les parents d'èlèves ainsi que la population d'autre part. Une enquête judiciaire est en cours pour déterminer les causes exactes de ce drame. Le ministère a, quant à lui, suspendu l'enseignante en attendant les conclusions de l'autopsie. Pour le président de l'Association des parents d'élèves, les enseignants sont mal préparés psychologiquement et pédagogiquement. Pour lui , l'enseignant n'a aucune excuse pour justifier les coups. Cependant, le problème doit être pris en charge sérieusement, d'où l'instauration obligatoire par le département de Benbouzid de tests psychologiques pour tous les enseignants, qui permettront de dépister ceux qui souffrent de problèmes psychiques. Une collégienne de 7e année du CEM de la cité FLN de Annaba est décédée dans l'enceinte de l'établissement. Elle aurait reçu sur les mains plusieurs coups de bâton que lui auraient infligés son enseignante.La fillette perd connaissance et succombe quelques minutes après. Ce triste évènement a mis en émoi les élèves et les enseignants, d'une part et les parents d'èlèves ainsi que la population d'autre part. Une enquête judiciaire est en cours pour déterminer les causes exactes de ce drame. Le ministère a, quant à lui, suspendu l'enseignante en attendant les conclusions de l'autopsie. Pour le président de l'Association des parents d'élèves, les enseignants sont mal préparés psychologiquement et pédagogiquement. Pour lui , l'enseignant n'a aucune excuse pour justifier les coups. Cependant, le problème doit être pris en charge sérieusement, d'où l'instauration obligatoire par le département de Benbouzid de tests psychologiques pour tous les enseignants, qui permettront de dépister ceux qui souffrent de problèmes psychiques. Décès de l'élève Marwa dans un CEM de Annaba Benbouzid suspend la prof d'arabe Le décès d'une collégienne à Annaba, des suites d'une maltraitance subie au sein de l'école, et les sévices sur beaucoup d'autres, battus par leurs professeurs, rouvrent le dossier épineux de la la violence scolaire, phénomène dont l'ampleur devient de plus en plus inquiétante. Le bilan des élèves victimes de cette forme de violence, encore occultée, continue à s'alourdir de jour en jour. Et pour cause. A Annaba, plus précisément, au CEM de la cité FLN (ex-CNET), une jeune collégienne a trouvé la mort suite à une sevère correction de la part de son professeur d'arabe. Le tragique drame a eu lieu vers les coup de 14 heures, quand le professeur d'arabe dans ledit CEM B.F, asséna des coups violents à la jeunette âgée de 12 ans, en 7e année, qui perdit connaissance quelques minutes après. Tout commence, selon les déclarations de ses camarades, au moment où B. F, professeur d'arabe à Annaba, constate que Maroua chahutait. Très en colère. Elle administra à la collégienne des coups de bâton sur les doigts. Maroua, n'en supportant pas la violence ni la douleur a aussitôt perdu connaissance. Evacuée en urgence dans la cour de l'enceinte scolaire, la collégienne présente un cas d'hémorragie nasale, ensuite des oreilles puis de la bouche, avant de rendre l'âme sous le regard ahuris de ses camarades, des professeurs et de l'administration de l'institution scolaire, qui a alerté les secours. Sitôt les services de la protection civile contactés, le corps de la fillette fut transporté vers la morgue du CHU Ibn Rochd de Annaba, pendant que les services sécuritaires près la Sûreté de wilaya de Annaba ont procédé à une enquête afin de déterminer les circonstances du décès. L'enseignante, contre laquelle deux actions en Justice ont été intentées, a fait l'objet de mandat d'arrêt après avoir été relevée de ses fonctions juste après l'annonce du décès de Maroua Boulayoune. Par ailleurs, le ministre de l'Education nationale, M. Boubekeur Benbouzid a déclaré lundi, lors de la journée parlementaire sur l'alphabétisation en Algérie, l'ouverture d'une enquête judiciaire pour déterminer les circonstances de la mort de Maroua. Il est à signaler que cet évènement a provoqué un profond émoi dans les rangs des élèves ainsi que parmi les enseignants, les parents d'élèves et la population de la ville de Annaba A ce titre, plusieurs parents d'élèves, consternés par le drame, ont incriminé le ministère de l'Education, qui ne réussit pas à imposer des sanctions dissuasives pour obliger les enseignants à cesser ces violences faites aux élèves. Aujourd'hui, en attendant l'aboutissement de l'enquête, on ne saura jamais combien d'enfants subissent au quotidien des sévices physiques et psychologique dont les répercussions sont dangereuses de l'avis de plus d'un psychologue. L'ignorance des parents aidant, l'absence de loi dissuasives, le silence complice de certains membres du corps éducatif semble contribuer à cette situation alarmante. Enfin, il méride de noter que la liste des élèves martyres de l'éducation et victimes de châtiments corporels est bien longue, sans parler des traumatismes et handicaps engendrés par les enseignants : ecchymoses, contusions, œil perdu, estafilades, fractures, dents cassées, hémorragies internes, etc. L'urgence n'est-elle pas de promulguer une loi qui protège l'enfant contre ces actes? La sensibilisation de la société civile au danger de cette violence reste une priorité. D. S. Décès de l'élève Marwa dans un CEM de Annaba Benbouzid suspend la prof d'arabe Le décès d'une collégienne à Annaba, des suites d'une maltraitance subie au sein de l'école, et les sévices sur beaucoup d'autres, battus par leurs professeurs, rouvrent le dossier épineux de la la violence scolaire, phénomène dont l'ampleur devient de plus en plus inquiétante. Le bilan des élèves victimes de cette forme de violence, encore occultée, continue à s'alourdir de jour en jour. Et pour cause. A Annaba, plus précisément, au CEM de la cité FLN (ex-CNET), une jeune collégienne a trouvé la mort suite à une sevère correction de la part de son professeur d'arabe. Le tragique drame a eu lieu vers les coup de 14 heures, quand le professeur d'arabe dans ledit CEM B.F, asséna des coups violents à la jeunette âgée de 12 ans, en 7e année, qui perdit connaissance quelques minutes après. Tout commence, selon les déclarations de ses camarades, au moment où B. F, professeur d'arabe à Annaba, constate que Maroua chahutait. Très en colère. Elle administra à la collégienne des coups de bâton sur les doigts. Maroua, n'en supportant pas la violence ni la douleur a aussitôt perdu connaissance. Evacuée en urgence dans la cour de l'enceinte scolaire, la collégienne présente un cas d'hémorragie nasale, ensuite des oreilles puis de la bouche, avant de rendre l'âme sous le regard ahuris de ses camarades, des professeurs et de l'administration de l'institution scolaire, qui a alerté les secours. Sitôt les services de la protection civile contactés, le corps de la fillette fut transporté vers la morgue du CHU Ibn Rochd de Annaba, pendant que les services sécuritaires près la Sûreté de wilaya de Annaba ont procédé à une enquête afin de déterminer les circonstances du décès. L'enseignante, contre laquelle deux actions en Justice ont été intentées, a fait l'objet de mandat d'arrêt après avoir été relevée de ses fonctions juste après l'annonce du décès de Maroua Boulayoune. Par ailleurs, le ministre de l'Education nationale, M. Boubekeur Benbouzid a déclaré lundi, lors de la journée parlementaire sur l'alphabétisation en Algérie, l'ouverture d'une enquête judiciaire pour déterminer les circonstances de la mort de Maroua. Il est à signaler que cet évènement a provoqué un profond émoi dans les rangs des élèves ainsi que parmi les enseignants, les parents d'élèves et la population de la ville de Annaba A ce titre, plusieurs parents d'élèves, consternés par le drame, ont incriminé le ministère de l'Education, qui ne réussit pas à imposer des sanctions dissuasives pour obliger les enseignants à cesser ces violences faites aux élèves. Aujourd'hui, en attendant l'aboutissement de l'enquête, on ne saura jamais combien d'enfants subissent au quotidien des sévices physiques et psychologique dont les répercussions sont dangereuses de l'avis de plus d'un psychologue. L'ignorance des parents aidant, l'absence de loi dissuasives, le silence complice de certains membres du corps éducatif semble contribuer à cette situation alarmante. Enfin, il méride de noter que la liste des élèves martyres de l'éducation et victimes de châtiments corporels est bien longue, sans parler des traumatismes et handicaps engendrés par les enseignants : ecchymoses, contusions, œil perdu, estafilades, fractures, dents cassées, hémorragies internes, etc. L'urgence n'est-elle pas de promulguer une loi qui protège l'enfant contre ces actes? La sensibilisation de la société civile au danger de cette violence reste une priorité. D. S.