Vers la mi-février, le président de la République convoquera le corps électoral Les candidats à la présidentielle devront déposer leur dossier de candidature. Vers la mi-février, le président de la République convoquera le corps électoral Les candidats à la présidentielle devront déposer leur dossier de candidature. Le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, devrait annoncer sa candidature aux élections présidentielles le lundi, 2 février lors d'un rassemblement populaire qu'organisera le Front de libération nationale (FLN) à la Coupole du 5 Juillet à Alger. Selon une source proche du FLN, les partis de l'Alliance présidentielle devront également prendre part à cette rencontre à laquelle assisteront également plusieurs figures de la scène politique qui manifesteront ainsi leur soutien à la candidature du Président. «La rencontre est organisée par le FLN dont M. Bouteflika est président, mais les membres de l'alliance présidentielle ont également été associés aux préparatifs» explique notre interlocuteur. Moins d'une semaine après cette annonce, soit vers la mi-février, le président de la République convoquera le corps électoral selon notre interlocuteur. Les candidats à la présidentielle devront alors, conformément à la loi électorale déposer leur dossier de candidature au plus tard 15 jours après cette convocation. Depuis l'ouverture, le 9 janvier dernier de l'opération de retrait des formulaires de souscription, 17 candidats ont retiré le fameux document. La majorité des candidats étant libres, seuls sept chefs de partis politiques sont inscrits jusqu'à présent dans cette course, avait annoncé le ministère de l'Intérieur dans un récent communiqué. Il s'agit, du président du FNA, Moussa Touati, de la secrétaire générale du PT, Louisa Hanoune, du président de Ahd 54, Ali Faouzi Rebaïne. Pour le reste ce sont des partis politiques appelés traditionnellement «petits partis» qui ont pris l'habitude de n'investir le terrain politique national qu'à la faveur de rendez-vous électoraux. Toutefois, faut-il encore le préciser, le retrait des dossiers de souscription n'est pas forcément synonyme de billet d'accès pour la candidature proprement dite. Pour pouvoir décrocher une place sur le sprint, les candidats pour la candidature doivent rassembler, tel que le stipule la loi électorale, au moins 75. 000 signatures d'électeurs inscrits. Un défis que seul, peu de candidats sont susceptibles de relever. Ce problème ne se pose évidement pas pour des partis tels que le PT ou encore le FNA qui dispose déjà d'une assise politique étoffée d'un nombre important d'élus dans les différentes assemblées. La loi électorale permet aux candidats de rassembler soit 600 signatures d'élus soit 75 000 parrainages d'électeurs répartis sur 25 wilayas à raison de 1.600 signatures par wilaya. Ainsi, même si le nombre de candidats à cette élection peut paraître important de prime abord, il sera inéluctablement appelé à être revu à la baisse, la «récolte» des signatures n'étant pas une tâche aisée. Le RCD a décidé de geler ses activités politiques pour une durée indéterminée et son président n'écarte pas un éventuel retrait des institutions, le FFS quant à lui ressort sa carte du boycott. Le trio formant l'Alliance présidentielle ont fait le choix de se conglomérer autour du Président sortant, dont la candidature est devenue un secret de Polichinelle depuis la révision de la Constitution au mois de novembre dernier. Pour écarter le spectre de l'abstention, le ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales a lancé une large campagne de sensibilisation sous le slogan «Ne laissez pas les autres choisir à votre place». Le département de Zerhouni envisage, entre autres, de signer une convention avec les différents opérateurs de téléphonie mobile pour l'envoi de SMS motivant les citoyens à aller voter. Aussi, des agents de l'administration ont été chargés de faire du «porte à porte» particulièrement dans les nouvelles bâtisses récemment construites pour sensibiliser les citoyens ayant changé de lieu de résidence à s'inscrire sur les listes électorales. Nos différentes ambassades ainsi que les consulats seront également associés à cette opération pour sensibiliser la communauté algérienne établie à l'étranger sur la nécessité de voter. S. H. Le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, devrait annoncer sa candidature aux élections présidentielles le lundi, 2 février lors d'un rassemblement populaire qu'organisera le Front de libération nationale (FLN) à la Coupole du 5 Juillet à Alger. Selon une source proche du FLN, les partis de l'Alliance présidentielle devront également prendre part à cette rencontre à laquelle assisteront également plusieurs figures de la scène politique qui manifesteront ainsi leur soutien à la candidature du Président. «La rencontre est organisée par le FLN dont M. Bouteflika est président, mais les membres de l'alliance présidentielle ont également été associés aux préparatifs» explique notre interlocuteur. Moins d'une semaine après cette annonce, soit vers la mi-février, le président de la République convoquera le corps électoral selon notre interlocuteur. Les candidats à la présidentielle devront alors, conformément à la loi électorale déposer leur dossier de candidature au plus tard 15 jours après cette convocation. Depuis l'ouverture, le 9 janvier dernier de l'opération de retrait des formulaires de souscription, 17 candidats ont retiré le fameux document. La majorité des candidats étant libres, seuls sept chefs de partis politiques sont inscrits jusqu'à présent dans cette course, avait annoncé le ministère de l'Intérieur dans un récent communiqué. Il s'agit, du président du FNA, Moussa Touati, de la secrétaire générale du PT, Louisa Hanoune, du président de Ahd 54, Ali Faouzi Rebaïne. Pour le reste ce sont des partis politiques appelés traditionnellement «petits partis» qui ont pris l'habitude de n'investir le terrain politique national qu'à la faveur de rendez-vous électoraux. Toutefois, faut-il encore le préciser, le retrait des dossiers de souscription n'est pas forcément synonyme de billet d'accès pour la candidature proprement dite. Pour pouvoir décrocher une place sur le sprint, les candidats pour la candidature doivent rassembler, tel que le stipule la loi électorale, au moins 75. 000 signatures d'électeurs inscrits. Un défis que seul, peu de candidats sont susceptibles de relever. Ce problème ne se pose évidement pas pour des partis tels que le PT ou encore le FNA qui dispose déjà d'une assise politique étoffée d'un nombre important d'élus dans les différentes assemblées. La loi électorale permet aux candidats de rassembler soit 600 signatures d'élus soit 75 000 parrainages d'électeurs répartis sur 25 wilayas à raison de 1.600 signatures par wilaya. Ainsi, même si le nombre de candidats à cette élection peut paraître important de prime abord, il sera inéluctablement appelé à être revu à la baisse, la «récolte» des signatures n'étant pas une tâche aisée. Le RCD a décidé de geler ses activités politiques pour une durée indéterminée et son président n'écarte pas un éventuel retrait des institutions, le FFS quant à lui ressort sa carte du boycott. Le trio formant l'Alliance présidentielle ont fait le choix de se conglomérer autour du Président sortant, dont la candidature est devenue un secret de Polichinelle depuis la révision de la Constitution au mois de novembre dernier. Pour écarter le spectre de l'abstention, le ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales a lancé une large campagne de sensibilisation sous le slogan «Ne laissez pas les autres choisir à votre place». Le département de Zerhouni envisage, entre autres, de signer une convention avec les différents opérateurs de téléphonie mobile pour l'envoi de SMS motivant les citoyens à aller voter. Aussi, des agents de l'administration ont été chargés de faire du «porte à porte» particulièrement dans les nouvelles bâtisses récemment construites pour sensibiliser les citoyens ayant changé de lieu de résidence à s'inscrire sur les listes électorales. Nos différentes ambassades ainsi que les consulats seront également associés à cette opération pour sensibiliser la communauté algérienne établie à l'étranger sur la nécessité de voter. S. H.