Au 31 janvier dernier, le taux de remplissage des barrages a été évalué par le ministère des Ressources en eau à 61 % contre 48, 26 % l'année précédente. Ainsi, selon un communiqué du ministère des Ressources en eau, le stockage global de la ressource au niveau des 60 barrages est passé de 3,065 milliards de mètres cubes à 3, 538 milliards de mètres cubes en à peine un mois, soit un apport de 473 millions de mètres cubes. Ce chiffre ne tiens évidemment pas compte des prélèvements opérés pour les besoins d'alimentation en eau potable, industrielle et agricole du mois. Les écarts respectifs comparativement aux années précédentes et à la même période ont été de 27,06%, 20,79% et de 12, 74%. Il est à noter, affirment les spécialistes, que le cycle de reconstitution de la réserve en eau superficielle se poursuit et la réserve des barrages se reconstitue à hauteur d'un milliard de mètres cubes. Quant aux nappes phréatiques, elles ont à leur tour connu des apports notables ce qui fait dire aux responsables du ministère de tutelle que « la ressource hydrique est disponible pour une bonne couverture des besoins nationaux ». R. N. Au 31 janvier dernier, le taux de remplissage des barrages a été évalué par le ministère des Ressources en eau à 61 % contre 48, 26 % l'année précédente. Ainsi, selon un communiqué du ministère des Ressources en eau, le stockage global de la ressource au niveau des 60 barrages est passé de 3,065 milliards de mètres cubes à 3, 538 milliards de mètres cubes en à peine un mois, soit un apport de 473 millions de mètres cubes. Ce chiffre ne tiens évidemment pas compte des prélèvements opérés pour les besoins d'alimentation en eau potable, industrielle et agricole du mois. Les écarts respectifs comparativement aux années précédentes et à la même période ont été de 27,06%, 20,79% et de 12, 74%. Il est à noter, affirment les spécialistes, que le cycle de reconstitution de la réserve en eau superficielle se poursuit et la réserve des barrages se reconstitue à hauteur d'un milliard de mètres cubes. Quant aux nappes phréatiques, elles ont à leur tour connu des apports notables ce qui fait dire aux responsables du ministère de tutelle que « la ressource hydrique est disponible pour une bonne couverture des besoins nationaux ». R. N.