L'émissaire américain pour le Proche-Orient, George Mitchell, est attendu le 26 février à Ramallah, en Cisjordanie occupée, pour y rencontrer le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas. L'émissaire américain pour le Proche-Orient, George Mitchell, est attendu le 26 février à Ramallah, en Cisjordanie occupée, pour y rencontrer le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas. Mitchell rencontrera le président Abbas le 26 février à Ramallah", et non le 22 comme évoqué auparavant, a déclaré à la presse ce responsable. Le changement de date est dû à un report décidé par les Etats-Unis, a-t-il expliqué. "Cette deuxième visite depuis sa prise de fonction en novembre confirme le réel intérêt que l'administration du président américain Barack Obama prête au règlement du conflit israélo-palestinien", a-t-il ajouté. Mardi, la chef de la diplomatie américaine, Hillary Clinton, avait annoncé après un entretien avec M. Mitchell, de retour d'une première mission d'information dans la région, que celui-ci y repartirait "avant la fin du mois". Lors de sa première tournée dans la région fin janvier, une visite qui intervient alors qu'à Ghaza des bulldozers israéliens ont démoli hier quatre maisons palestiniennes dans la localité d'al-Aïssaouia, à al-Qods occupée, arguant l'"absence d'autorisation de construction". Rapporte l'APS qui cite des sources palestiniennes, les bulldozers appartenant aux autorités d'occupation israéliennes, escortés par des policiers israéliens, ont pénétré dans la zone et commencé à démolir les quatre maisons. Les autorités palestiniennes ont qualifié cette opération de démolition d'inhumaine, assurant que le but d'Israël est d'exiler les Palestiniens vivant à al-Qods en les empêchant de construire sur leurs terres. Au total, 11 maisons et logements ont été détruits dernièrement par les autorités d'occupation, au moment où des dizaines d'autres habitations sont menacées par les bulldozers israéliens pour des raisons mensongères, comme l''"absence d'autorisation de construction". De son coté le CICR affirme qu'environ 300.000 personnes souffrent du manque d'eau potable dans la bande de Ghaza après la destruction du système d'approvisionnement en eau par les agressions militaires israéliennes. Ces milliers de personnes manquent toujours d'eau courante dans ce territoire, ce qui pousse certaines familles à se ravitailler par des camions-citernes qui leur vendent de l'eau pour remplir les réservoirs, alors que d'autres en achètent de plus petites quantités à des marchands ambulants, a précisé le Comité, citant le service des eaux de Ghaza Face à cette situation, l'ingénieur hydraulicien du CICR a fait savoir que le Comité avait besoin de conduites et de pièces détachées pour "pouvoir réparer et entretenir le système d'approvisionnement en eau". En raison du blocus imposé par Israël sur la bande de Ghaza, l'importation de ce matériel est soumise à d'importantes restrictions depuis plus de 18 mois, selon le CICR. M. Mitchell avait multiplié les appels à la consolidation du cessez-le-feu dans la bande de Ghaza après une offensive israélienne barbare (27 décembre-18 janvier) qui a fait plus de 1.330 martyrs et plus de 5.000 blessés palestiniens. R. I. synthèse APS Mitchell rencontrera le président Abbas le 26 février à Ramallah", et non le 22 comme évoqué auparavant, a déclaré à la presse ce responsable. Le changement de date est dû à un report décidé par les Etats-Unis, a-t-il expliqué. "Cette deuxième visite depuis sa prise de fonction en novembre confirme le réel intérêt que l'administration du président américain Barack Obama prête au règlement du conflit israélo-palestinien", a-t-il ajouté. Mardi, la chef de la diplomatie américaine, Hillary Clinton, avait annoncé après un entretien avec M. Mitchell, de retour d'une première mission d'information dans la région, que celui-ci y repartirait "avant la fin du mois". Lors de sa première tournée dans la région fin janvier, une visite qui intervient alors qu'à Ghaza des bulldozers israéliens ont démoli hier quatre maisons palestiniennes dans la localité d'al-Aïssaouia, à al-Qods occupée, arguant l'"absence d'autorisation de construction". Rapporte l'APS qui cite des sources palestiniennes, les bulldozers appartenant aux autorités d'occupation israéliennes, escortés par des policiers israéliens, ont pénétré dans la zone et commencé à démolir les quatre maisons. Les autorités palestiniennes ont qualifié cette opération de démolition d'inhumaine, assurant que le but d'Israël est d'exiler les Palestiniens vivant à al-Qods en les empêchant de construire sur leurs terres. Au total, 11 maisons et logements ont été détruits dernièrement par les autorités d'occupation, au moment où des dizaines d'autres habitations sont menacées par les bulldozers israéliens pour des raisons mensongères, comme l''"absence d'autorisation de construction". De son coté le CICR affirme qu'environ 300.000 personnes souffrent du manque d'eau potable dans la bande de Ghaza après la destruction du système d'approvisionnement en eau par les agressions militaires israéliennes. Ces milliers de personnes manquent toujours d'eau courante dans ce territoire, ce qui pousse certaines familles à se ravitailler par des camions-citernes qui leur vendent de l'eau pour remplir les réservoirs, alors que d'autres en achètent de plus petites quantités à des marchands ambulants, a précisé le Comité, citant le service des eaux de Ghaza Face à cette situation, l'ingénieur hydraulicien du CICR a fait savoir que le Comité avait besoin de conduites et de pièces détachées pour "pouvoir réparer et entretenir le système d'approvisionnement en eau". En raison du blocus imposé par Israël sur la bande de Ghaza, l'importation de ce matériel est soumise à d'importantes restrictions depuis plus de 18 mois, selon le CICR. M. Mitchell avait multiplié les appels à la consolidation du cessez-le-feu dans la bande de Ghaza après une offensive israélienne barbare (27 décembre-18 janvier) qui a fait plus de 1.330 martyrs et plus de 5.000 blessés palestiniens. R. I. synthèse APS