Le discours du Président, prononcé dans une salle omnisport archicomble, a été l'occasion pour lui de lancer en filigrane des réponses à ceux qui, «doutent des réalisations et des améliorations palpables, tous niveaux confondus, du pays». Le discours du Président, prononcé dans une salle omnisport archicomble, a été l'occasion pour lui de lancer en filigrane des réponses à ceux qui, «doutent des réalisations et des améliorations palpables, tous niveaux confondus, du pays». Le président de la République a fustigé, une nouvelle fois hier, les voix qui s'élèvent ici et là pour apporter de faux témoignages à propos de notre guerre de Libération afin de tenter de «falsifier» plusieurs pans de l'histoire de l'Algérie. Les desseins inavoués de ce genre de pratiques obéissent sans aucun doute au fait d'en «tirer des dividendes personnels aux desseins obscurs». Dans un discours qu'il a prononcé lors d'un rassemblement populaire dans la wilaya de Blida à l'occasion de la célébration de la Journée nationale du Chahid, le chef de l'Etat a rappelé la nécessité de pallier ce genre de pratique en «continuant à accorder à l'écriture de l'histoire» une importance primordiale. Se félicitant des acquis décrochés jusqu'à présent dans ce domaine, M. Abdelaziz Bouteflika a affirmé que grâce aux efforts consentis, il a été permis, ces dernières années, de redonner à la guerre de Libération la place qui lui sied. «L'Etat a consenti ces dernières années des efforts colossaux dans le renforcement de l'histoire que ce soit sur le plan de son écriture ou encore de la mise en valeur des sites historiques, des musées et des centres de torture». Toutefois, en dépit de ces «importantes» réalisations, le chef de l'Etat estime que beaucoup reste encore à faire dans les prochaines années, particulièrement dans le domaine de l'encrage des valeurs nationalistes chez les jeunes. «Nous devons être conscients qu'à chaque fois que nous rectifions de mauvaises compréhensions de notre histoire, nous venons à terme d'une fausse note de notre identité héritée du temps du colonialisme». Le discours du Président, prononcé dans une salle omnisport archicomble, décorée entièrement de bleu, a été l'occasion pour lui de lancer en filigrane des réponses à ceux qui, dit-il, «doutent des réalisations et des améliorations palpables, tous niveaux confondus, du pays». Pour faire passer son message, M. Abdelaziz Bouteflika n'hésite pas à user de formules assez coriaces et sévères. «Il n'y a que les jaloux ou les ingrats qui pourraient oser remettre en cause tout ce qui a été fait dans le pays durant les dernières années». a t-il déploré. D'ailleurs, pour lui, ces personnes «passent à côté de leur objectif de déstabiliser une coriace volonté d'aller davantage de l'avant». Invitées à bien placer leur curseur, ces personnes, dont le président de la République taira évidemment les noms, devraient à son sens «se mettre à l'évidence que rien qu'en sillonnant les quatre coins du pays, ils peuvent voir ce qui a été fait essentiellement en grande partie pour améliorer le vécu des citoyens». Pour le chef de l'Etat, «rien n'est plus à prouver dans le domaine des nouvelles exécutions». C'est pourquoi, dit-il, «il faut remercier les compétences nationales qui ont amplement participé, durant ces dernières années, à porter l'Algérie sur le niveau mondial en termes de services et d'infrastructures». Toutefois, tient encore à préciser M. Bouteflika, beaucoup de choses restent encore à faire. «Le chemin vaut la peine d'être poursuivi», lance-t-il sous de fortes ovations de son auditoire. En plus de l'ouverture de cette cérémonie, le président de la République a effectué une visite de travail dans la wilaya à laquelle ont pris part plusieurs membres du gouvernement. Plusieurs poses de nouvelles pierrse pour le démarrage de grands chantier ou encore des inaugurations étaient au menu de cette visite caractérisés par un accueil populaire chaleureux. S. H. Le président de la République a fustigé, une nouvelle fois hier, les voix qui s'élèvent ici et là pour apporter de faux témoignages à propos de notre guerre de Libération afin de tenter de «falsifier» plusieurs pans de l'histoire de l'Algérie. Les desseins inavoués de ce genre de pratiques obéissent sans aucun doute au fait d'en «tirer des dividendes personnels aux desseins obscurs». Dans un discours qu'il a prononcé lors d'un rassemblement populaire dans la wilaya de Blida à l'occasion de la célébration de la Journée nationale du Chahid, le chef de l'Etat a rappelé la nécessité de pallier ce genre de pratique en «continuant à accorder à l'écriture de l'histoire» une importance primordiale. Se félicitant des acquis décrochés jusqu'à présent dans ce domaine, M. Abdelaziz Bouteflika a affirmé que grâce aux efforts consentis, il a été permis, ces dernières années, de redonner à la guerre de Libération la place qui lui sied. «L'Etat a consenti ces dernières années des efforts colossaux dans le renforcement de l'histoire que ce soit sur le plan de son écriture ou encore de la mise en valeur des sites historiques, des musées et des centres de torture». Toutefois, en dépit de ces «importantes» réalisations, le chef de l'Etat estime que beaucoup reste encore à faire dans les prochaines années, particulièrement dans le domaine de l'encrage des valeurs nationalistes chez les jeunes. «Nous devons être conscients qu'à chaque fois que nous rectifions de mauvaises compréhensions de notre histoire, nous venons à terme d'une fausse note de notre identité héritée du temps du colonialisme». Le discours du Président, prononcé dans une salle omnisport archicomble, décorée entièrement de bleu, a été l'occasion pour lui de lancer en filigrane des réponses à ceux qui, dit-il, «doutent des réalisations et des améliorations palpables, tous niveaux confondus, du pays». Pour faire passer son message, M. Abdelaziz Bouteflika n'hésite pas à user de formules assez coriaces et sévères. «Il n'y a que les jaloux ou les ingrats qui pourraient oser remettre en cause tout ce qui a été fait dans le pays durant les dernières années». a t-il déploré. D'ailleurs, pour lui, ces personnes «passent à côté de leur objectif de déstabiliser une coriace volonté d'aller davantage de l'avant». Invitées à bien placer leur curseur, ces personnes, dont le président de la République taira évidemment les noms, devraient à son sens «se mettre à l'évidence que rien qu'en sillonnant les quatre coins du pays, ils peuvent voir ce qui a été fait essentiellement en grande partie pour améliorer le vécu des citoyens». Pour le chef de l'Etat, «rien n'est plus à prouver dans le domaine des nouvelles exécutions». C'est pourquoi, dit-il, «il faut remercier les compétences nationales qui ont amplement participé, durant ces dernières années, à porter l'Algérie sur le niveau mondial en termes de services et d'infrastructures». Toutefois, tient encore à préciser M. Bouteflika, beaucoup de choses restent encore à faire. «Le chemin vaut la peine d'être poursuivi», lance-t-il sous de fortes ovations de son auditoire. En plus de l'ouverture de cette cérémonie, le président de la République a effectué une visite de travail dans la wilaya à laquelle ont pris part plusieurs membres du gouvernement. Plusieurs poses de nouvelles pierrse pour le démarrage de grands chantier ou encore des inaugurations étaient au menu de cette visite caractérisés par un accueil populaire chaleureux. S. H.