Seuls 11 candidats à la candidature ont pu, finalement, réussir à franchir l'obstacle de la collecte de signatures et, partant, déposer leurs dossiers de candidature auprès du Conseil constitutionnel. Seuls 11 candidats à la candidature ont pu, finalement, réussir à franchir l'obstacle de la collecte de signatures et, partant, déposer leurs dossiers de candidature auprès du Conseil constitutionnel. Si au départ, comme l'a souligné le ministre de l'Intérieur, Nouredine Yazid Zerhouni, ils étaient 18 personnes à avoir manifesté l'intention de se porter candidat à l'élection présidentielle du 9 avril, à l'arrivée il ne reste plus qu'une dizaine de prétendants. En effet, seuls 11 candidats à la candidature ont pu, finalement, réussir à franchir l'obstacle de la collecte de signatures et, partant, déposer leurs dossiers de candidature auprès du Conseil constitutionnel. Ces 11 personnes, qui ont été reçu séparément par le président du Conseil constitutionnel, Boualem Bessaih et à qui ils ont remis leur dossier, sont Abdelaziz Bouteflika, l'actuel président de la République, Moussa Touati, président du FNA, Louisa Hanoune, secrétaire général du PT, Mohamed Djahid Younsi, secrétaire général du mouvement El Islah, Mohamed Hadef, président du parti MEN, Mohamed Saïd, qui a tout récemment créé un parti non encore agréé, Omar Bouacha, président du mouvemen, El Infitah, Fawzi Rebaine, président de AHD 54, Ali Zeghdoud, président du RA (Rassemblement algérien ), ainsi que Rachid Bouaziz et Loth Bonatiro, tous deux candidats indépendants et donc sans attaches partisanes. Ces 11 prétendants ne sont pas encore certains d'être sur la ligne de départ le 9 avril prochain. En effet, le Conseil constitutionnel, conformément à la loi organique portant code électoral, va se pencher sur les dossiers en vue de s'assurer de leur conformité avec les dispositions des textes de loi en la matière. Le conseil dispose d'une période de dix jours, à partir de la clôture du dépôt des dossiers, pour statuer et rendre ainsi son « verdict ». Cela étant , ces 11 candidats ont donné quelques aperçus de leur programme de ce qu'ils comptent faire pour séduire les électeurs citoyens le jour « J ». A. S. Si au départ, comme l'a souligné le ministre de l'Intérieur, Nouredine Yazid Zerhouni, ils étaient 18 personnes à avoir manifesté l'intention de se porter candidat à l'élection présidentielle du 9 avril, à l'arrivée il ne reste plus qu'une dizaine de prétendants. En effet, seuls 11 candidats à la candidature ont pu, finalement, réussir à franchir l'obstacle de la collecte de signatures et, partant, déposer leurs dossiers de candidature auprès du Conseil constitutionnel. Ces 11 personnes, qui ont été reçu séparément par le président du Conseil constitutionnel, Boualem Bessaih et à qui ils ont remis leur dossier, sont Abdelaziz Bouteflika, l'actuel président de la République, Moussa Touati, président du FNA, Louisa Hanoune, secrétaire général du PT, Mohamed Djahid Younsi, secrétaire général du mouvement El Islah, Mohamed Hadef, président du parti MEN, Mohamed Saïd, qui a tout récemment créé un parti non encore agréé, Omar Bouacha, président du mouvemen, El Infitah, Fawzi Rebaine, président de AHD 54, Ali Zeghdoud, président du RA (Rassemblement algérien ), ainsi que Rachid Bouaziz et Loth Bonatiro, tous deux candidats indépendants et donc sans attaches partisanes. Ces 11 prétendants ne sont pas encore certains d'être sur la ligne de départ le 9 avril prochain. En effet, le Conseil constitutionnel, conformément à la loi organique portant code électoral, va se pencher sur les dossiers en vue de s'assurer de leur conformité avec les dispositions des textes de loi en la matière. Le conseil dispose d'une période de dix jours, à partir de la clôture du dépôt des dossiers, pour statuer et rendre ainsi son « verdict ». Cela étant , ces 11 candidats ont donné quelques aperçus de leur programme de ce qu'ils comptent faire pour séduire les électeurs citoyens le jour « J ». A. S.