Un cheikh émirati veut acheter 40 % du club de football de l'AC Milan, propriété du chef du gouvernement italien, Silvio Berlusconi, et pourrait pour cela débourser 500 millions d'euros, écrit mardi le Corriere della Sera. Cette information a été démentie plus tard dans la matinée par le club. "Le groupe Abu Dhabi United pour le Développement et l'Investissement est prêt à racheter 40 % des actions du Milan, versant dans les caisses de l'équipe le chiffre monstre de 500 millions d'euros", a annoncé le principal quotidien italien. Cette société est dirigée par un membre de la famille régnante d'Abou Dhabi, le cheikh Mansour ben Zayed al Nahyane, dont la fortune personnelle est évalué à 18 milliards d'euros, ajoute le quotidien, précisant que l'homme possède déjà 5 % de Mediaset, le groupe de télévision privé de la famille Berlusconi. Cette proposition a été avancée il y a environ un mois, lorsque l'équipe anglaise de Manchester City, propriété de la famille régnante des Emirats Arabes Unis, a tenté, sans succès, d'acheter le Brésilien Kaka à l'AC Milan. Selon le Corriere della Sera, même si le chef du gouvernement italien a toujours affirmé que son club était "une question de coeur" et donc pas d'argent, "il semble qu'un OK ait été donné" pour lancer les négociations avec les dirigeants émiratis. Le chiffre d'affaires de l'AC Milan AC, 210 millions d'euros l'année dernière selon le journal, est le plus important en Italie, mais le club a enregistré dans le même temps une perte de près de 32 millions d'euros et M. Berlusconi, "fatigué de combler les pertes de l'équipe", pourrait "changer d'idée" et décider de la vendre. Le journal affirme en outre que Marina Berlusconi, la fille du chef du gouvernement et également présidente de la Fininvest, la holding familiale, "a fait part à plusieurs reprises de son insatisfaction" devant le coût du club. Dans un communiqué publié sur son site internet, l'AC Milan a assuré que "ce qui a été publié ce matin par le Corriere della Sera concernant une éventuelle cession d'actions est dénué de tout fondement". Un cheikh émirati veut acheter 40 % du club de football de l'AC Milan, propriété du chef du gouvernement italien, Silvio Berlusconi, et pourrait pour cela débourser 500 millions d'euros, écrit mardi le Corriere della Sera. Cette information a été démentie plus tard dans la matinée par le club. "Le groupe Abu Dhabi United pour le Développement et l'Investissement est prêt à racheter 40 % des actions du Milan, versant dans les caisses de l'équipe le chiffre monstre de 500 millions d'euros", a annoncé le principal quotidien italien. Cette société est dirigée par un membre de la famille régnante d'Abou Dhabi, le cheikh Mansour ben Zayed al Nahyane, dont la fortune personnelle est évalué à 18 milliards d'euros, ajoute le quotidien, précisant que l'homme possède déjà 5 % de Mediaset, le groupe de télévision privé de la famille Berlusconi. Cette proposition a été avancée il y a environ un mois, lorsque l'équipe anglaise de Manchester City, propriété de la famille régnante des Emirats Arabes Unis, a tenté, sans succès, d'acheter le Brésilien Kaka à l'AC Milan. Selon le Corriere della Sera, même si le chef du gouvernement italien a toujours affirmé que son club était "une question de coeur" et donc pas d'argent, "il semble qu'un OK ait été donné" pour lancer les négociations avec les dirigeants émiratis. Le chiffre d'affaires de l'AC Milan AC, 210 millions d'euros l'année dernière selon le journal, est le plus important en Italie, mais le club a enregistré dans le même temps une perte de près de 32 millions d'euros et M. Berlusconi, "fatigué de combler les pertes de l'équipe", pourrait "changer d'idée" et décider de la vendre. Le journal affirme en outre que Marina Berlusconi, la fille du chef du gouvernement et également présidente de la Fininvest, la holding familiale, "a fait part à plusieurs reprises de son insatisfaction" devant le coût du club. Dans un communiqué publié sur son site internet, l'AC Milan a assuré que "ce qui a été publié ce matin par le Corriere della Sera concernant une éventuelle cession d'actions est dénué de tout fondement".