Une nouvelle réduction de la production de pétrole par l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) est «fort possible», a affirmé, dimanche à Oran, le ministre de l'Energie et des Mines, M. Chakib Khelil. «Il est fort possible que l'OPEP décide de procéder à une nouvelle réduction de sa production en raison de la baisse de la demande sur le marché, induite par les effets de la crise économique mondiale», a expliqué M. Khelil lors d'une conférence de presse, organisée à l'IAP (Institut algérien de pétrole) en marge de la cérémonie de sortie de la première promotion de techniciens vénézuéliens. La crise économique mondiale a entraîné la chute de la demande sur les matières premières, y compris le pétrole avec une baisse structurelle estimée à 1,2 million de barils/jour, a-t-il noté. Le recours à cette option d'une coupe supplémentaire sur la production, dans le but de stabiliser les prix du pétrole, sera débattu lors de la réunion de l'OPEP, prévue le 15 mars à Vienne (Autriche), a-t-il indiqué. Le ministre de l'Energie et des Mines a fait savoir, en outre, que les décisions ayant sanctionné la réunion extraordinaire de l'OPEP à Oran (17 décembre 2008) sont aujourd'hui appliquées à 100% par les pays membres de l'Organisation. La production de l'OPEP, qui couvre 40% du marché mondial, a été réduite en 2008 de 4,2 millions de barils/jour dont un volume de 2,2 millions décidé lors de la rencontre d'Oran. Le taux d'application de cette dernière mesure est passé de 85% à la fin janvier dernier, à 100% actuellement, a précisé le ministre. Une nouvelle réduction de la production de pétrole par l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) est «fort possible», a affirmé, dimanche à Oran, le ministre de l'Energie et des Mines, M. Chakib Khelil. «Il est fort possible que l'OPEP décide de procéder à une nouvelle réduction de sa production en raison de la baisse de la demande sur le marché, induite par les effets de la crise économique mondiale», a expliqué M. Khelil lors d'une conférence de presse, organisée à l'IAP (Institut algérien de pétrole) en marge de la cérémonie de sortie de la première promotion de techniciens vénézuéliens. La crise économique mondiale a entraîné la chute de la demande sur les matières premières, y compris le pétrole avec une baisse structurelle estimée à 1,2 million de barils/jour, a-t-il noté. Le recours à cette option d'une coupe supplémentaire sur la production, dans le but de stabiliser les prix du pétrole, sera débattu lors de la réunion de l'OPEP, prévue le 15 mars à Vienne (Autriche), a-t-il indiqué. Le ministre de l'Energie et des Mines a fait savoir, en outre, que les décisions ayant sanctionné la réunion extraordinaire de l'OPEP à Oran (17 décembre 2008) sont aujourd'hui appliquées à 100% par les pays membres de l'Organisation. La production de l'OPEP, qui couvre 40% du marché mondial, a été réduite en 2008 de 4,2 millions de barils/jour dont un volume de 2,2 millions décidé lors de la rencontre d'Oran. Le taux d'application de cette dernière mesure est passé de 85% à la fin janvier dernier, à 100% actuellement, a précisé le ministre.