M. Ouyahia a estimé que si malgré la réalisation de 825.000 logements au 31 décembre 2008 la demande «est toujours aussi importante», c'est à cause du «bricolage» dans la distribution. «L'Algérie n'a jamais construit autant de logements, même quand le baril était à 44 dollars, du temps où cette devise etait trés forte, ce qui représentait plus de 150 dollars de maintenant», a-t-il relevé, ajoutant qu'avant le 31 mars, le pays aura construit 950.000 logements. M. Ouyahia a également incriminé «une politique dite sociale qui se fait sur le dos de la société». Il a, à cette occasion, rappelé «les mesures annoncées par le chef de l'Etat même, qui permettront de faire évoluer cette situation». Par ailleurs, M. Ouyahia a démenti le chiffre d'un million de logements vides, avancé par certains. «Je démens le plus officiellement du monde le chiffre de 1 million de logements vides, c'est une fabulation», a-t-il dit. Au sujet du taux de chômage (11,3%, soit 1.400.000), donné par l'Office national des statistiques (ONS) et que «certains contestent», M. Ouyahia a expliqué que l'office se base sur les critères du bureau international du travail (BIT). Il a, néanmoins, souligné que «le pays a une sérieuse bataille de chômage à mener, même si ce chiffre de la baisse du chômage est une réalité». Interrogé sur l'effacement de la dette des agriculteurs, annoncé par le président de la République, M. Ouyahia a estimé que «ce n'est que justice», relevant qu'un travail a été fait au sein du gouvernement ayant abouti à cette décision. «La dette des agriculteurs n'est pas accompagnée de subventions, c'est la seule activité qui est exposée au cataclysme climatique», a-t-il dit ajoutant que «la sécheresse non seulement empêche l'agriculteur de payer sa dette mais elle le met par terre». M. Ouyahia a estimé que si malgré la réalisation de 825.000 logements au 31 décembre 2008 la demande «est toujours aussi importante», c'est à cause du «bricolage» dans la distribution. «L'Algérie n'a jamais construit autant de logements, même quand le baril était à 44 dollars, du temps où cette devise etait trés forte, ce qui représentait plus de 150 dollars de maintenant», a-t-il relevé, ajoutant qu'avant le 31 mars, le pays aura construit 950.000 logements. M. Ouyahia a également incriminé «une politique dite sociale qui se fait sur le dos de la société». Il a, à cette occasion, rappelé «les mesures annoncées par le chef de l'Etat même, qui permettront de faire évoluer cette situation». Par ailleurs, M. Ouyahia a démenti le chiffre d'un million de logements vides, avancé par certains. «Je démens le plus officiellement du monde le chiffre de 1 million de logements vides, c'est une fabulation», a-t-il dit. Au sujet du taux de chômage (11,3%, soit 1.400.000), donné par l'Office national des statistiques (ONS) et que «certains contestent», M. Ouyahia a expliqué que l'office se base sur les critères du bureau international du travail (BIT). Il a, néanmoins, souligné que «le pays a une sérieuse bataille de chômage à mener, même si ce chiffre de la baisse du chômage est une réalité». Interrogé sur l'effacement de la dette des agriculteurs, annoncé par le président de la République, M. Ouyahia a estimé que «ce n'est que justice», relevant qu'un travail a été fait au sein du gouvernement ayant abouti à cette décision. «La dette des agriculteurs n'est pas accompagnée de subventions, c'est la seule activité qui est exposée au cataclysme climatique», a-t-il dit ajoutant que «la sécheresse non seulement empêche l'agriculteur de payer sa dette mais elle le met par terre».