Ils n'ont donc pas souscrit aux dispositions de la loi organique portant code électoral et notamment dans le volet relatif à la collecte de 75.000 signatures de citoyens ou de 600 signatures d'élus. Ils n'ont donc pas souscrit aux dispositions de la loi organique portant code électoral et notamment dans le volet relatif à la collecte de 75.000 signatures de citoyens ou de 600 signatures d'élus. Les dossiers de 7 candidats à la candidature ont été rejetés par le Conseil constitutionnel. Selon le communiqué de l'institution de Boualem Bessaieh, « des candidats ont déposé un nombre de souscriptions largement en deçà du seuil minimal exigé par la loi ». Ils n'ont donc pas souscrit aux dispositions de la loi organique portant code électoral et notamment dans le volet relatif à la collecte de 75.000 signatures de citoyens ou de 600 signatures d'élus. Selon une source de cette institution, deux prétendants parmi les 7 « recalés », en l'occurrence Omar Douifi et Amar Cherifi, deux illustres inconnus, n'ont même pas présenté des dossiers administratifs complets. Pour ces prétendants au fauteuil de premier magistrat du pays, cela est synonyme d'un brusque retour, notamment pour certains, à la réalité. C'est certainement le cas pour Rachid Bouaziz qui, sans doute abattu par la nouvelle de sa disqualification de la course à la présidentielle, ne s'est pas présenté devant les journalistes, hier au CIP (Centre international de presse), alors qu'il a prévu d'organiser une conférence de presse. Le candidat malheureux, âgé de 42 ans et qui a soutenu avoir déposé un dossier contenant plus de 75.000 signatures de citoyens collectées dans 25 wilayas du pays, est un syndicaliste connu dans les milieux de l'Education nationale puisqu'il détenait un poste de responsabilité au sein du SNTE (Syndicat des travailleurs de l'éducation). Ainsi donc, ce natif de Ain Oussara, qui a fait preuve d'un optimisme excessif, a buté sur la dure réalité lui qui ne dispose pas d'un puissant appareil qui puisse l'aider à avoir le nombre suffisant de signatures. D'autres malheureux prétendants comme lui, à l'image de Ali Zeghdoud, Mohamed Hadef, Omar Bouacha, qui sont pourtant présents sur la scène politique nationale depuis des « lustres » et disposant de surcroît de partis politiques, n'ont pu, eux aussi, franchir ce seuil des signatures. Zeghdoud, président du parti du Rassemblement algérien (RA), et qui a d'emblée opté pour la formule de collecte de 600 signatures d'élus pensant peut être que c'est plus facile que de collecter 75.000 signatures de citoyens, s'est rendu compte que se présenter à une élection présidentielle n'est pas, loin s'en faut, une simple sinécure. Omar Bouacha, premier responsable du mouvement El Infitah, est dans le même registre, lui qui a clamé haut et fort qu'il a réuni plus de 128.000 signatures de citoyens. Il n'a pu passer les mailles du filet du Conseil constitutionnel qui a, ainsi, rejeté son dossier alors que Mohamed Hadef ne s'est fait aucune illusion quant à ses chances d'être retenu par l'institution de Boualem Bessaieh. Le président du MNE (Mouvement d'espérance national) s'est présenté au Conseil constitutionnel le 23 février dernier, avec un dossier incomplet. Les deux derniers à avoir été recalés sont Loth Bonatiro, « renvoyé » à ses cogitations scientifiques sur les séismes, et Abdallah Tamine qui devra attendre une autre occasion pour s'illustrer sur le plan mediatique. K. H. Les dossiers de 7 candidats à la candidature ont été rejetés par le Conseil constitutionnel. Selon le communiqué de l'institution de Boualem Bessaieh, « des candidats ont déposé un nombre de souscriptions largement en deçà du seuil minimal exigé par la loi ». Ils n'ont donc pas souscrit aux dispositions de la loi organique portant code électoral et notamment dans le volet relatif à la collecte de 75.000 signatures de citoyens ou de 600 signatures d'élus. Selon une source de cette institution, deux prétendants parmi les 7 « recalés », en l'occurrence Omar Douifi et Amar Cherifi, deux illustres inconnus, n'ont même pas présenté des dossiers administratifs complets. Pour ces prétendants au fauteuil de premier magistrat du pays, cela est synonyme d'un brusque retour, notamment pour certains, à la réalité. C'est certainement le cas pour Rachid Bouaziz qui, sans doute abattu par la nouvelle de sa disqualification de la course à la présidentielle, ne s'est pas présenté devant les journalistes, hier au CIP (Centre international de presse), alors qu'il a prévu d'organiser une conférence de presse. Le candidat malheureux, âgé de 42 ans et qui a soutenu avoir déposé un dossier contenant plus de 75.000 signatures de citoyens collectées dans 25 wilayas du pays, est un syndicaliste connu dans les milieux de l'Education nationale puisqu'il détenait un poste de responsabilité au sein du SNTE (Syndicat des travailleurs de l'éducation). Ainsi donc, ce natif de Ain Oussara, qui a fait preuve d'un optimisme excessif, a buté sur la dure réalité lui qui ne dispose pas d'un puissant appareil qui puisse l'aider à avoir le nombre suffisant de signatures. D'autres malheureux prétendants comme lui, à l'image de Ali Zeghdoud, Mohamed Hadef, Omar Bouacha, qui sont pourtant présents sur la scène politique nationale depuis des « lustres » et disposant de surcroît de partis politiques, n'ont pu, eux aussi, franchir ce seuil des signatures. Zeghdoud, président du parti du Rassemblement algérien (RA), et qui a d'emblée opté pour la formule de collecte de 600 signatures d'élus pensant peut être que c'est plus facile que de collecter 75.000 signatures de citoyens, s'est rendu compte que se présenter à une élection présidentielle n'est pas, loin s'en faut, une simple sinécure. Omar Bouacha, premier responsable du mouvement El Infitah, est dans le même registre, lui qui a clamé haut et fort qu'il a réuni plus de 128.000 signatures de citoyens. Il n'a pu passer les mailles du filet du Conseil constitutionnel qui a, ainsi, rejeté son dossier alors que Mohamed Hadef ne s'est fait aucune illusion quant à ses chances d'être retenu par l'institution de Boualem Bessaieh. Le président du MNE (Mouvement d'espérance national) s'est présenté au Conseil constitutionnel le 23 février dernier, avec un dossier incomplet. Les deux derniers à avoir été recalés sont Loth Bonatiro, « renvoyé » à ses cogitations scientifiques sur les séismes, et Abdallah Tamine qui devra attendre une autre occasion pour s'illustrer sur le plan mediatique. K. H.